Salestorrs, plus qu'une semaine après le gouvernement de Michel Barnier a été renversé par le Parlement, vendredi, le Président français Emmanuel Macron a élu François Bayrou pour le remplacer. Bayrou, 73 ans, dirige le parti centriste Mouvement Démocrate (MoDem) qui a soutenu Macron pendant la campagne électorale de 2017. Bayrou est un membre d’alliance au pouvoir de Macron. Il était ministre de la Justice en 2017, mais a démissionné lorsque son parti a été accusé d’emploi frauduleux d’assistants parlementaires. Il a été blanchi de toutes les accusations cette année. Ce qui s’est passé avant la nomination de Bayrou ? Découvrez plus dans le #SalestorrsNouvelles150 d’aujourd’hui. Les activités en 150 mots. LIEN DANS LES COMMENTAIRES CI-DESSOUS. Écrivé, pas traduit ! #salestorrs #salestors #nouvellesfrançais #lesnouvelles #lactivitéenfrançais #newsinfrench #newsinbrief #frenchpresident #françaispremierministre
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LES DÉFIS DE LA STABILITÉ INSTITUTIONNELLE – COMMENT SORTIR DE L’IMPASSE – A. BENEDETTI Les enjeux actuels et les perspectives pour sortir de l’impasse Arnaud Benedettii analyse la décision du Président de la République face à l’hypothèse d’un gouvernement du Nouveau Front populaire et explore les défis de la stabilité institutionnelle. Découvrez les enjeux actuels et les perspectives pour sortir de l’impasse. ARTICLE – L’édito d’Arnaud Benedetti Par ARNAUD BENEDETTI. REVUE POLITIQUE ET PARLEMENTAIRE. 30 AOÛT 2024 Le Président de la République a refermé la porte à l’hypothèse d’un gouvernement du Nouveau Front populaire, considérant celle-ci comme peu viable sur la durée en raison de la large opposition parlementaire qu’elle soulevait parmi les autres forces politiques de l’Assemblée nationale. » Déni de démocratie » professe t’on à gauche , » faute institutionnelle » pour l’ancien Président de la République François Hollande : la réalité pourtant est du côté de l’actuel Chef de l’Etat. La plus forte des minorités en sièges ne fait pas une majorité parlementaire, à fortiori quand en voix la coalition de gauche n’est pas plus … …/…
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Tentative désespérée. C’est pathétique et consternant !!! Questionnement de la concentration du pouvoir de la fonction présidentielle quand celui-ci est auc mains d’un dirigeant égotiste narcissique comme E Macron incapable de construire une vision un cap pour conduire le pays, une conception du modèle économique et social nécessaire et la maîtrise des finances publiques et du budget. Soit on encadre cette fonction par des jalons soit on met autour de lui un comité des sages!!! Nous sommes dans une impasse politique totale doublée d’un énorme risque de banqueroute.
🔴 En direct - Élections législatives 2024 : Emmanuel Macron a promis dimanche «d'agir jusqu'en mai 2027»
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La décision soudaine d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale au soir des élections européennes a plongé la France dans une crise politique majeure. Derrière ses appels au compromis, le chef de l’État semble presque se satisfaire de la situation, comme si elle était inéluctable. Mais en réalité, ce choix funeste a considérablement dégradé le paysage politique français. Un véritable supplice démocratique Plus qu’une simple épreuve, c’est un véritable supplice que le président a infligé aux Français avec cette dissolution. Une déstabilisation brutale suivie d’une campagne électorale névrotique où la raison a souvent cédé la place aux émotions les plus extrêmes. Des termes comme « guerre civile », « fascisme » ou « faillite » ont été brandis à tort et à travers. Les grandes peurs ont d’abord été entretenues contre le Rassemblement national, finalement battu dans les urnes, puis contre La France insoumise, qui a au contraire été soutenue par les électeurs. Une contradiction parmi tant d’autres dans cette période chaotique. Le spectre de l’ingouvernabilité Avec une Assemblée nationale morcelée où aucune majorité claire ne se dégage, c’est le spectre de l’ingouvernabilité qui plane désormais sur le pays. Les appels d’Emmanuel Macron à un « compromis » sonnent creux face à l’ampleur de la crise qu’il a lui-même provoquée. Il a suffi d’un caprice présidentiel pour mettre tout un pays dans l’impasse. Un éditorialiste politique Une dégradation durable de la vie politique Au-delà des difficultés immédiates pour constituer un gouvernement et voter des lois, c’est une dégradation profonde et durable de la vie politique française qui s’annonce. La dissolution aura laissé des traces et des rancœurs qui empoisonneront durablement le débat. Défiance accrue des citoyens envers les institutions Radicalisation des oppositions Tentations du blocage et de l’obstruction à l’Assemblée Emmanuel Macron mesure-t-il réellement les conséquences de son choix sur le long terme ? Rien n’est moins sûr au vu de la façon dont il semble presque s’accommoder du résultat de sa funeste décision. La grande déglingue politique dans laquelle il a plongé le pays risque hélas de durer. The post Macron et la dégradation de la politique française first appeared on ViralMag.fr.
La décision soudaine d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale au soir des élections européennes a plongé la France dans une crise politique majeure. Derrière ses appels au compromis, le chef de l’État semble presque se satisfaire de la situation, comme si elle était inéluctable. Mais en réalité, ce choix funeste a considérablement dégradé le paysage politique français. Un vérita...
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La "stabilité institutionnelle" rejoindra tant d'autres trouvailles du PR comme le "en même temps", aussi brillantes qu'improbables, mais toujours à double interprétation ! Au premier ressenti, elles apparaissent comme contre-productives et contraires à la mission d'incarnation et rassemblement d'un président et elles le sont...Mais elles permettent de brouiller l'essentiel : le délitement par étapes de la vie démocratique et sociale pour assurer le séparatisme fiscal et patrimonial des puissants ! Après les corps intermédiaires, les syndicats, le parlement, les médias, les organes de contrôle...c'est maintenant le gouvernement qui est contourné par le déni du verdict des urnes ! La seule énigme qui subsiste est de savoir si cette accélération de l'installation d'une "démocratie limitée", chère aux oligarques hors sol (there is no alternative !) , est expressément sollicitée du PR où s'il s'agit d'un résultat d'aubaine lié à ses errements ou caprices narcissiques ? L'effet produit sur le pays est le même et l'alternative de rupture est la seule qui soit à la mesure du danger en cours pour la démocratie ! https://lnkd.in/g8PAWiJr
Comment Emmanuel Macron s’est piégé tout seul avec son critère de « non-censure »
huffingtonpost.fr
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Depuis sa défaite aux élections législatives de juillet dernier, Emmanuel Macron semble avoir adopté une nouvelle posture : celle du retrait. “Le président préside”, martèle-t-on à l’Élysée pour signifier que le chef de l’État entend désormais se tenir à distance de la conduite des affaires nationales. Une stratégie de repli sur ses “domaines réservés” qui ne manque pas d’intriguer. Un président en retrait ? Si Emmanuel Macron continue de recevoir régulièrement des députés de son camp en petit comité, comme il l’a fait ce mardi avec une dizaine d’entre eux juste avant la déclaration de politique générale de Michel Barnier, son influence sur la marche du gouvernement semble moins évidente qu’auparavant. “Qu’ils se démerdent !” aurait-il même lâché en privé à propos de son gouvernement selon certains échos. Cette mise en retrait volontaire traduit-elle un désengagement du président vis-à-vis des enjeux nationaux ? Pas si simple. Il s’agirait plutôt d’un repli stratégique sur ce que l’on appelle les “domaines réservés” du président, à savoir principalement les questions internationales et régaliennes comme la défense ou la diplomatie. Garder la main malgré tout En laissant une plus grande marge de manœuvre à Michel Barnier et à son gouvernement sur les dossiers intérieurs, Emmanuel Macron cherche à se préserver d’un contexte politique compliqué marqué par l’absence de majorité absolue à l’Assemblée. Une façon de ne pas “se brûler les ailes”, analyse un proche du président. Mais le chef de l’État n’a pas pour autant renoncé à peser sur les orientations gouvernementales. Les déjeuners réguliers avec des parlementaires de la majorité lui permettent de continuer à prendre le pouls de son camp et potentiellement d’influer, même indirectement, sur certains arbitrages. Il veut montrer qu’il garde la main, même de loin. Un proche d’Emmanuel Macron Un équilibre des pouvoirs inédit Cette nouvelle donne politique inaugure en réalité un exercice inédit du pouvoir sous la Vème République. Pour la première fois, le président doit composer avec un gouvernement qui ne dispose pas de la majorité absolue au Parlement, l’obligeant à un subtil jeu d’équilibriste. “C’est un vrai défi pour Emmanuel Macron qui doit à la fois laisser de l’espace à son Premier ministre pour négocier des compromis, tout en s’assurant que les réformes ne dénaturent pas son projet présidentiel”, analyse un constitutionnaliste. L’opposition dans le viseur En se mettant en retrait, le président semble aussi vouloir laisser l’opposition se déchirer et encourir le risque de l’impopularité. “L’idée c’est de leur faire porter le chapeau en cas de blocage et d’apparaître en recours”, décrypte un stratège macroniste. Un pari risqué alors que les oppositions, notamment la NUPES et le RN, comptent bien utiliser leur poids à l’Assemblée pour mettre en difficulté l’exécutif et arracher des concessions, quitte à gripper la machine. Vers une dissolution ? Si la situation devait se...
Depuis sa défaite aux élections législatives de juillet dernier, Emmanuel Macron semble avoir adopté une nouvelle posture : celle du retrait. “Le président préside”, martèle-t-on à l’Élysée pour signifier que le chef de l’État entend désormais se tenir à distance de la conduite des affaires nationales. Une stratégie de repli sur ses “domaines réservés” qui ne manque pas d’intriguer. Un...
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Très pertinent ! Effectivement le refus de négocier est profitable au RN , pour 2027. Le Front populaire réussi cette fois à faire barrage à l’extrême droite, mais cela sera sans suite s il est incapable de négocier et de s entendre sur des compromis avec le centre droit pour gouverner La nouvelle politique pour la France c est peut être cela, se fixer des orientations politiques issues de débats positifs et avancer de manière constructive avec les autres , sur chaque orientation ainsi définie .
Il faut sortir du déni et agir de manière responsable. Macron doit sortir du déni : il a perdu les élections. Le nouveau front populaire doit sortir du déni : il n’a pas de majorité absolue. Il faut donc négocier.
Aurore Lalucq : "Nous n'avons pas la majorité absolue, ça veut dire qu'il faut accepter de négocier"
radiofrance.fr
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QUAND MACRON FAiT DE LA RESISTANCE, LE FRONT POPULAIRE MONTRE LES CROCS Macron résiste, mais il n' a pas tout à fait tort, nul n' est sorti gagnant des élections législatives. Du point de vue majoritaire en nombre de voix, le grand gagnant est le RN. En ne pas installant la proportionnelle, Macron écrivait en lettre de feu sa trouille de ce qui s' est produit, et que tout les français ont vu venir : la puissance du rassemblement national à fédérer autour de ses idées. Ils le disent dangereux, mais soutiennent LFI bien plus dangereux et nocif pour l' entreprise et les forces de l' ordre, en l' occurence la sécurité au sens large du terme. Des millions de capitaux quittent le pays, ou s' apprêtent à le quitter. La victoire du Front populaire signe l' échec de l' économie, l' arrêt de l' entrepreneuriat et ouvre l' ère des fermetures des PME et la fuite des grosses structures avec en prime la croissance du chômage, et la décroissance de l' économie. L' échec d' un pays en voie de réindustrialisation qui sombre toujours plus. Bien joué M.Macron, vous serez le sauveur de cet état que vous avez précipité dans le gouffre. Mais les détenteurs des gros capitaux, l' oxygène de la nation ne semblent pas vous avoir tourné le dos. Mais quel est donc votre plan pour reprendre la main sur ce pays que vous n' affectionnez pas, mais qui reste le marche pied vers l' ordre mondial auquel vous aspirez ? Des actions sont à engager très rapidement car la démocratie vous oblige, bon gré, mal gré à respecter les résultats des urnes qui vous ont rejeté.
DIRECT. Législatives 2024 : Manuel Bompard appelle la gauche à s'accorder "immédiatement sur une candidature commune" pour la présidence de l'Assemblée nationale
francetvinfo.fr
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Dans les couloirs des cabinets ministériels, on raconte qu’il souhaite qu’on se souvienne de lui comme « le président qui aura résisté au peuple ». Depuis le début de son premier mandat, le président de la République Emmanuel Macron se caractérise par son imperméabilité aux revendications de la société civile, qu’elles viennent de la rue (Gilets Jaunes, Réforme des Retraites, entres autres) ou des institutions (Grand débat, Convention Citoyenne pour le Climat, etc.). La nomination de Michel Barnier comme Premier Ministre, puis de son gouvernement n’échappe donc pas à la règle. Pour que ce soit bien clair, le nouveau Premier ministre Michel Barnier l’a dit lui-même lors de sa première allocution télévisée : « Nous ne sommes pas en cohabitation. L’essentiel du socle parlementaire qui accompagne le gouvernement est composé pour beaucoup de personnalités qui accompagnent le gouvernement depuis sept ans ». C’est bien le gouvernement d’Emmanuel Macron qui reste aux commandes, et l’écologie semble désormais loin de ses prétendues préoccupations. Le poste de Secrétaire d’État à la biodiversité a été tout simplement supprimé, alors que 60% des oiseaux des champs ont disparu en Europe depuis 40 ans. La gestion de la forêt, elle, passe aux mains de l’agriculture tenue par Annie Genevard, vice-présidente LR de l’Assemblée nationale. Cette dernière a été dénoncée par L214 pour ses nombreuses oppositions à la protection de la nature. Quant à l’océan, le ministère « de la mer et de la pêche » dit tout dans son titre. L’occupant du poste, le lorientais Fabrice Loher, est d’ailleurs connu pour ses liens étroits avec Olivier Le Nézet, président du comité national des pêches et promoteur de la pêche industrielle en France. Plus préoccupant, la nomination au poste de ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques d’Agnès Pannier-Runacher. L’ancienne ministre de la transition énergétique est l’héritière de Perenco, n°2 du pétrole en France, et avait été épinglée pour conflit d’intérêts par Disclose.
Le déni démocratique est sévère. Fini le gouvernement macroniste avec des ministres LR, nous avons désormais un gouvernement LR avec des ministres macronistes. Tout cela sous l’étroite surveillance du Rassemblement National. Et tant pis pour les électeurs ayant favorisé la gauche à l’Assemblée nationale. https://lnkd.in/d6Jxqg2G Vous souhaitez ne rater aucun de nos articles ? Rejoignez les 80 000 lecteurs de notre newsletter pour vous informer librement : https://lnkd.in/efcbWp-n
Le gouvernement Barnier : virage à droite et déni démocratique
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Depuis son accession au pouvoir en 2017, Emmanuel Macron a souvent été accusé de gouverner de manière verticale, limitant les espaces de débat démocratique et s’appuyant sur des outils perçus comme autoritaires. Si certains louent son pragmatisme, d’autres dénoncent une dérive qui éloigne la France de ses principes républicains fondamentaux. Les manifestations contre des réformes impopulaires, comme celle des retraites, ont souvent été marquées par une répression policière jugée excessive par les observateurs internationaux. En parallèle, l’utilisation répétée de l’article 49.3 pour adopter des lois sans vote à l’Assemblée nationale a renforcé le sentiment d’une démocratie mise à mal. Le mandat de Macron a aussi été marqué par un éloignement croissant entre les institutions et les citoyens. La réforme institutionnelle promise en 2017, censée renforcer la participation citoyenne, n’a jamais vu le jour, aggravant le sentiment de défiance. Ce climat de tension politique a culminé avec la chute cet après midi du gouvernement dirigé par Michel Barnier. Pressenti comme une figure de compromis capable de relancer le dialogue, Barnier n’a pas su répondre aux attentes. Son gouvernement a été emporté par des désaccords internes et l’incapacité à apaiser une opinion publique lassée d’être ignorée. Cette chute est un symptôme de la crise démocratique française : la concentration du pouvoir dans les mains d’un exécutif surpuissant et l’affaiblissement des contre-pouvoirs. Il devient urgent pour la France de réinventer ses institutions afin de rétablir un équilibre entre pouvoir et participation citoyenne. Face à cette crise, la responsabilité d’Emmanuel Macron ne peut plus être éludée. La majorité des Français appellent désormais à sa démission, estimant qu’il incarne un modèle de gouvernance usé, incapable de répondre aux défis actuels. La République française mérite une direction qui respecte ses institutions, ses citoyens et ses valeurs fondamentales. Il est temps que la France reprenne son souffle démocratique, avant qu’il ne soit trop tard.
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