LES DÉFIS DE LA STABILITÉ INSTITUTIONNELLE – COMMENT SORTIR DE L’IMPASSE – A. BENEDETTI Les enjeux actuels et les perspectives pour sortir de l’impasse Arnaud Benedettii analyse la décision du Président de la République face à l’hypothèse d’un gouvernement du Nouveau Front populaire et explore les défis de la stabilité institutionnelle. Découvrez les enjeux actuels et les perspectives pour sortir de l’impasse. ARTICLE – L’édito d’Arnaud Benedetti Par ARNAUD BENEDETTI. REVUE POLITIQUE ET PARLEMENTAIRE. 30 AOÛT 2024 Le Président de la République a refermé la porte à l’hypothèse d’un gouvernement du Nouveau Front populaire, considérant celle-ci comme peu viable sur la durée en raison de la large opposition parlementaire qu’elle soulevait parmi les autres forces politiques de l’Assemblée nationale. » Déni de démocratie » professe t’on à gauche , » faute institutionnelle » pour l’ancien Président de la République François Hollande : la réalité pourtant est du côté de l’actuel Chef de l’Etat. La plus forte des minorités en sièges ne fait pas une majorité parlementaire, à fortiori quand en voix la coalition de gauche n’est pas plus … …/…
Post de Thierry-Yves Lidolff
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P. MOSCOVICI, 1er MINIsTRE IDÉAL : Comme le montre l’article ci-joint les 4 Partis du NFP ont mal géré le vide suivant l’élection ! L’intervention malencontreuse de JL Mélenchon le 7/07 a 20h04 a plombé la discussion interne qui aurait dû intervenir du fait de l’absence de majorité absolue. Surtout le PR a manoeuvré de façon abusive pour éviter de choisir un 1er Ministre indépendant qui conduirait une politique économique et sociale différente de la sienne ! Il n’a pas admis que son coup de dé législatif n’ait pas remporté la mise et a même semé la discorde dans son camp. Après avoir écouté tous les politiques sans les entendre, le PR a commencé à chercher des profils de techniciens sans appartenance politique affirmée. Cela n’a rien donné car le PR a 2 objectifs quasi inconciliables : - que le futur Gouvernement recueille une majorité ou au moins une absence de censure - que sa politique ne soit pas désavouée trop fortement. Mais les contingences financières sont lourdes et urgentes : - l’UE a notifié l’urgence d’un Plan de réduction du déficit sur 5 ans pour le 20/09 - B Lemaire vient de déclarer que le déficit va encore s’aggraver en 2024 en atteignant plus de 5%. Le PR doit prendre un spécialiste des comptes publics : - le Directeur de la Banque de France et membre de la Banque Européenne ?(F.Villeroy de Galhau) - le Président de la Cour des Comptes (P. MOSCOVICI) qui réunit beaucoup d’avantages : - il est social démocrate - il a une grande expérience de Ministre en France et de Commissaire Européen - il est Pt de la Cdes Comptes depuis des années et à ce titre, il a fait publier des centaines de rapports rendant non seulement compte de la situation comptable mais aussi des propositions pour être plus efficients sur tout ce qui touche à l’argent public ! Surtout, il alerte le PR et les Gouvernements depuis des années sur les lourdes conséquences pour la France du fait de l’aggravation constante du déficit … sans être écouté ! La Cour des Comptes ayant un gros service central et des services régionaux, il connaît aussi le fonctionnement des Collectivités Territoriales et des nombreuses sociétés publiques vivant de subventions… Bref, je ne comprends pas pourquoi le PR n’y a pas encore pensé ? Il est encore temps de me lire !🥴 https://lnkd.in/eJTZ-VNF
« Le rapport de force qu’a tenté d’imposer le NFP au cours de l’été s’est révélé particulièrement inopérant »
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APRÈS LE FIASCO DÉMOCRATIQUE DE LA DISSOLUTION, LA PLUS GRANDE CONFUSION INSTITUTIONNELLE ET POLITIQUE – MÀJ 8 7 24 UNE DISSOLUTION QUI AFFAIBLIT CONSIDÉRABLEMENT LA DÉMOCRATIE Aucune majorité absolue, une gauche en tête mais à l’unité fragile, un camp présidentiel qui « sauve les meubles » mais devra composer, un RN désenchanté… Des résultats du second tour à l’envers de ceux du second en raison d’une campagne sans précédent de nombreux acteurs contre le RN ( médias, milieux économiques et financiers, représentants religieux, fonctionnaires, juges, travailleurs de la culture et du social… ). Campagne qui a donné son efficacité aux retraits, désistements et appels aux votes du « front républicain « auquel les observateurs et sondeurs ne prêtaient plus guère d’efficacité. Emmanuel Macron demande à Gabriel Attal de rester premier ministre « pour le moment » et d’« assurer la stabilité du pays » Le premier ministre a présenté sa démission, mais le chef de l’Etat lui a demandé de rester en poste pour « assurer la stabilité du pays », selon l’Elysée. Il avait déjà annoncé qu’il attendrait la « structuration » de la nouvelle Assemblée avant de nommer un successeur. L’Elysée a fait savoir que le chef de l’Etat, qui partira mardi à Washington pour participer au sommet de l’OTAN, attendait la « structuration de la nouvelle assemblée » pour « prendre les décisions nécessaires ». UNE DÉMOCRATIE ET UNE ÉLECTION CONFISQUÉES ? Comment les citoyens peuvent ils s’y retrouver ? En 8 jours on est passé de la perspective d’un gouvernement avec le RN, puis avec le NFP, et on s’oriente vers un Gouvernement ENSEMBLE. « « Cette alliance contre le RN aboutit à une forme de paradoxe institutionnel. Les électeurs se sont mobilisés et ont répondu à cet appel, mais pour produire une France ingouvernable à ce stade », a commenté Martial Foucault du Cevipof. « On va expérimenter le temps des discussions, sans doute des revirements », prévoit-il. « Est-ce la plus grande crise de notre Ve République ? C’est fort possible », a même estimé Gaël Sliman, président d’Odoxa. « Emmanuel Macron avait souhaité une clarification avec la dissolution, là on est dans l’incertitude totale. Un très grand brouillard ». » ARTICLE 1 PHILIPPE, ATTAL, DARMANIN, BAYROU, BRAUN PINET… MACRON TRAVAILLENT POUR UNE MAJORITÉ AU CENTRE ÉLARGIE À L’EXCLUSION DES DEUX EXTRÊMES …/…
APRÈS LE FIASCO DÉMOCRATIQUE DE LA DISSOLUTION, LA PLUS GRANDE CONFUSION INSTITUTIONNELLE ET POLITIQUE – MÀJ 8 7 24
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« Aujourd’hui, ni le président de la République, ni le gouvernement ne paraissent assez solides pour susciter la confiance des Français. » Alors que le Premier ministre Michel Barnier a réalisé hier son discours de politique générale devant une Assemblée nationale fragmentée, Beverley TOUDIC revient pour l'Institut Rousseau sur la situation exceptionnelle que connaît notre démocratie. Après une dissolution et des législatives expresses, s'il apparaît « qu'aucun bloc politique (NFP, Ensemble, RN) ne peut gouverner sans risquer la censure des deux autres » , les aspirations du peuple français sont claires : « davantage de justice sociale, de pouvoir d’achat mais surtout une volonté de changement drastique dans la méthode de gouverner, voire un rejet du système ». Dans ce contexte, ce rejet s'exprime avec trois majorités : 👉 Une volonté de rupture dans la façon de gouverner s’impose, dérivant d’un manque de légitimité ressenti par les citoyens. 👉 Une volonté de rupture avec la politique jupitérienne conduite tant sur le fond que sur la forme, depuis 2017. 👉 Celle du Front Républicain qui se place largement en tête. 3 majorités, 3 constats qui semblent avoir été enterrés au moment de la composition de ce nouveau gouvernement. Résultat, c'est face à un chef d'État fragilisé, des Ministres critiqués et un avenir politique flou que nous nous trouvons... Beverley Toudic rappelle qu' « en outre, aucune dissolution ne pourra être prononcée avant un an après cet épisode électoral. Reste donc l’incertitude du jeu de la motion de censure, brouillé par un RN devant qui le nouveau gouvernement courbe l’échine, faisant obstruction au Front républicain. » Questionnements sur l'avenir politique de notre pays, propositions concrètes et ressources complémentaires... Découvrez le point de vue de Beverley Toudic 👉 https://lnkd.in/eaJ99wHG #démocratie #france #politiquegénérale
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Cet après-midi, le Premier ministre répondra seul, comme il le fait depuis une semaine et le fera pendant encore un mois le mercredi, aux questions des députés. Une manœuvre grossière qui vise à démontrer le fractionnement des oppositions et qui se retournera contre l’hôte de Matignon, acculé au cordage des QAG d’hier et surtout menacé d’une censure qui devrait lui commander la prudence et non la surexposition verbeuse de sa charge. Mais derrière cette "modernisation" affichée de l'exercice du contrôle parlementaire, dialogue Potemkine à l'heure où l'exécutif n'a jamais été aussi déraciné, se cache une tendance longue de quinze ans qui vise à imiter tout ce qui nous vient d'ailleurs sans jamais comprendre la pertinence - et surtout la singularité - de notre héritage institutionnel. En réformant la Constitution en 2008, le Président Sarkozy avait cédé à une triple pulsion, brouillonne et contradictoire : présidentialiser davantage, en permettant au Chef de l'Etat de s'exprimer devant le Congrès - pâle copie du "discours sur l'état de l'Union" délivré chaque année, au Capitole, par le locataire de la Maison Blanche - limiter dans le même temps la prééminence de l'exécutif, en partageant davantage le calendrier parlementaire et survaloriser le Conseil constitutionnel, transformé en Cour d'arbitrage avec l'introduction de la QPC. La pratique de l'exercice du pouvoir depuis quarante ans démontre aussi la fascination d'une certaine élite pour ce qui se fait ailleurs : promesse d'une proportionnelle dont le Général s'est toujours - et à raison - méfié, introduction du quinquennat et alignement des calendriers électoraux, extension du droit de saisine rue Montpensier, contournement systématique du Premier ministre qu’on parla même un temps de remplacer par un vice-président - les deux fonctions n’ont pourtant rien à voir - fascination pour les "coalitions" à l'allemande, au détriment du "fait majoritaire", décentralisation tirant désormais sur la différenciation à la manière d'une dévolution britannique dont nous constatons les dangers outre-manche... Et voici que Monsieur Attal rêve de ses Despatch Boxes, au-dessus desquelles s’écharpent - toujours poliment - MM. Sunak et Starmer. Mais l’Assemblée, ce n’est pas Westminster ! À chaque pays ses mœurs. Nous connaissions l'aversion légitime de Chesterton pour la "dégradante obligation d'être de son temps", cette mode qui nous empêche de chérir ce qui nous vient de si loin et que nous devrions préserver au lieu de le détruire sous de faux airs de progrès. Nous connaissons maintenant la propension actuelle à l'imitation, cette forme d'injonction à être de l'Europe et du monde au détriment de la France et, en particulier, de son héritage institutionnel. Il est temps d'en revenir à l'essence même de la Vème et de cesser les calques ridicules venus d'autres régimes héritiers d'autres histoires qui ne sont pas les nôtres.
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Depuis sa défaite aux élections législatives de juillet dernier, Emmanuel Macron semble avoir adopté une nouvelle posture : celle du retrait. “Le président préside”, martèle-t-on à l’Élysée pour signifier que le chef de l’État entend désormais se tenir à distance de la conduite des affaires nationales. Une stratégie de repli sur ses “domaines réservés” qui ne manque pas d’intriguer. Un président en retrait ? Si Emmanuel Macron continue de recevoir régulièrement des députés de son camp en petit comité, comme il l’a fait ce mardi avec une dizaine d’entre eux juste avant la déclaration de politique générale de Michel Barnier, son influence sur la marche du gouvernement semble moins évidente qu’auparavant. “Qu’ils se démerdent !” aurait-il même lâché en privé à propos de son gouvernement selon certains échos. Cette mise en retrait volontaire traduit-elle un désengagement du président vis-à-vis des enjeux nationaux ? Pas si simple. Il s’agirait plutôt d’un repli stratégique sur ce que l’on appelle les “domaines réservés” du président, à savoir principalement les questions internationales et régaliennes comme la défense ou la diplomatie. Garder la main malgré tout En laissant une plus grande marge de manœuvre à Michel Barnier et à son gouvernement sur les dossiers intérieurs, Emmanuel Macron cherche à se préserver d’un contexte politique compliqué marqué par l’absence de majorité absolue à l’Assemblée. Une façon de ne pas “se brûler les ailes”, analyse un proche du président. Mais le chef de l’État n’a pas pour autant renoncé à peser sur les orientations gouvernementales. Les déjeuners réguliers avec des parlementaires de la majorité lui permettent de continuer à prendre le pouls de son camp et potentiellement d’influer, même indirectement, sur certains arbitrages. Il veut montrer qu’il garde la main, même de loin. Un proche d’Emmanuel Macron Un équilibre des pouvoirs inédit Cette nouvelle donne politique inaugure en réalité un exercice inédit du pouvoir sous la Vème République. Pour la première fois, le président doit composer avec un gouvernement qui ne dispose pas de la majorité absolue au Parlement, l’obligeant à un subtil jeu d’équilibriste. “C’est un vrai défi pour Emmanuel Macron qui doit à la fois laisser de l’espace à son Premier ministre pour négocier des compromis, tout en s’assurant que les réformes ne dénaturent pas son projet présidentiel”, analyse un constitutionnaliste. L’opposition dans le viseur En se mettant en retrait, le président semble aussi vouloir laisser l’opposition se déchirer et encourir le risque de l’impopularité. “L’idée c’est de leur faire porter le chapeau en cas de blocage et d’apparaître en recours”, décrypte un stratège macroniste. Un pari risqué alors que les oppositions, notamment la NUPES et le RN, comptent bien utiliser leur poids à l’Assemblée pour mettre en difficulté l’exécutif et arracher des concessions, quitte à gripper la machine. Vers une dissolution ? Si la situation devait se...
Depuis sa défaite aux élections législatives de juillet dernier, Emmanuel Macron semble avoir adopté une nouvelle posture : celle du retrait. “Le président préside”, martèle-t-on à l’Élysée pour signifier que le chef de l’État entend désormais se tenir à distance de la conduite des affaires nationales. Une stratégie de repli sur ses “domaines réservés” qui ne manque pas d’intriguer. Un...
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Bonsoir, La gauche française réalise le rêve de Macron. Incapable de sereinement proposer un nom de premier ministre, le Nouveau Front populaire (NFP) donne un aperçu peu rassurant de ce à quoi pourrait ressembler le quotidien de son gouvernement. Emmanuel Macron n'en demandait pas tant ❗La toute jeune alliance de la gauche française NFP, est déjà en train de prouver à la France entière qu'elle serait incapable de gouverner. A tel point que les négociations se sont arrêtées dès la première étape : celle de la proposition d'un nom de premier ministre. Avec sa lettre ouverte affirmant la semaine dernière que le camp destiné à prendre les manettes de la France n'est pas encore clair et qu'il faut attendre des partis qu'ils se débrouillent et montent une coalition avant de nommer un premier ministre, Emmanuel Macron s'en prenait frontalement au narratif du NFP. La gauche ne cesse effectivement d'affirmer depuis le soir des législatives précipitées que, comme son alliance est arrivée légèrement en tête de la nouvelle tripartition de l'Assemblée nationale, le président devrait se tourner vers elle pour nommer un premier ministre et former un gouvernement. Elle se plaint même à bon droit régulièrement qu'il ne l'ait pas encore fait, maintenant G.Attal à la tête du pays avec l'entièreté de ses prérogatives. C'est une malhonnêteté démocratique, comme la déchirure du texte de la Constitution ; Article 23 - Les fonctions de membres du Gouvernement sont incompatibles avec l'exercice de tout mandat parlementaire, de toute fonction de représentation (...). Les ministres élus s'apprêtent à siéger le 18 juillet et voter pour la présidence de celle-ci. Il y a une erreur flagrante dans la lecture de droit du texte suprême. A ce jour les hautes juridictions administratives n'ont mot dit comme le rapport de la Cour des comptes retardé dans sa publication (car défavorable au pouvoir). Toutes ces mauvaises manières se paieront un jour ou l'autre car la démocratie en France s'en sort toujours par le haut. E.Macron récuse formellement la transition démocratique et piétine la Constitution gaullienne. Les Français semblent abattus par tant de médiocrité dans les deux camps qui bataillent pour diriger le pays ❗ 🇫🇷
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Depuis son accession au pouvoir en 2017, Emmanuel Macron a souvent été accusé de gouverner de manière verticale, limitant les espaces de débat démocratique et s’appuyant sur des outils perçus comme autoritaires. Si certains louent son pragmatisme, d’autres dénoncent une dérive qui éloigne la France de ses principes républicains fondamentaux. Les manifestations contre des réformes impopulaires, comme celle des retraites, ont souvent été marquées par une répression policière jugée excessive par les observateurs internationaux. En parallèle, l’utilisation répétée de l’article 49.3 pour adopter des lois sans vote à l’Assemblée nationale a renforcé le sentiment d’une démocratie mise à mal. Le mandat de Macron a aussi été marqué par un éloignement croissant entre les institutions et les citoyens. La réforme institutionnelle promise en 2017, censée renforcer la participation citoyenne, n’a jamais vu le jour, aggravant le sentiment de défiance. Ce climat de tension politique a culminé avec la chute cet après midi du gouvernement dirigé par Michel Barnier. Pressenti comme une figure de compromis capable de relancer le dialogue, Barnier n’a pas su répondre aux attentes. Son gouvernement a été emporté par des désaccords internes et l’incapacité à apaiser une opinion publique lassée d’être ignorée. Cette chute est un symptôme de la crise démocratique française : la concentration du pouvoir dans les mains d’un exécutif surpuissant et l’affaiblissement des contre-pouvoirs. Il devient urgent pour la France de réinventer ses institutions afin de rétablir un équilibre entre pouvoir et participation citoyenne. Face à cette crise, la responsabilité d’Emmanuel Macron ne peut plus être éludée. La majorité des Français appellent désormais à sa démission, estimant qu’il incarne un modèle de gouvernance usé, incapable de répondre aux défis actuels. La République française mérite une direction qui respecte ses institutions, ses citoyens et ses valeurs fondamentales. Il est temps que la France reprenne son souffle démocratique, avant qu’il ne soit trop tard.
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MICHEL BERNIER : UN CHOIX QUI SEMBLE PERTINENT, MAIS... La gauche ne veut le pouvoir que pour instaurer la forme de dictature qu' elle souhaite imposer, au mépris des lois et de la croissance économique. La gauche tractée par LFI laisserait grand la porte ouverte aux quatre vents : l' immigration incontrôlée et incontrôlable, la criminalité impunie, la distribution d' aides sociales irréfléchie, autremendit le règne du chaos dans sa généralisation. Le fait de censurer le premier ministre avant même qu' il n' ait dévoilé la politique qu' il mettra en place , est un avoeu du mépris du fonctionnement de la démocratie et entérine que le bien du pays lui importe peu, à partir du moment où avoir la main mise sur celui- ci lui est refusée. Pour cette fois, nous avons échappé au pire ! Il nous reste à découvrir les ministres qui vont travailler avec Michel Bernier, en espérant qu' il maintienne Gerard Darmanin à son ministère, car il s' est montré exceptionnel à l' intérieur, selon mon avis. Malheureusement E.D.M à la justice était un choix malheureux d' où résulte la recrudescence d' une violence sans précédent. L' immigration non filtrée et la délinquance doivent être combattues sans relâche, en appliquant la tolérance zéro ! Nommer un ministre RN, qui représenterait 11 millions de français, ne rendrait que justice aux résultats des urnes et honorerait la démocratie.On ne peut pas écarter indéfiniment le RN qui occupe une place de choix dans l' électorat, de la gouvernance, tout en acceptant les cotisations sociales et la contribution fiscale de ses électeurs :bon pour payer doit rythmer avec avoir le droit de s' exprimer.
«Nous faisons face à une alliance des perdants» : à l’Assemblée, Michel Barnier déjà sous la menace d’une motion de censure
lefigaro.fr
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CHOIX DU PREMIER MINISTRE DANS LE NAUFRAGE ACTUEL …. LA PLUS GRANDE ET GRAVE CRISE DE LA FRANCE DEPUIS LA CRÉATION DE LA CINQUIÈME RÉPUBLIQUE! A situation exceptionnelle réponse et solution exceptionnelles . La solution possible pour être à la hauteur du désastre politique et économique qui nous frappe est le recours à un leader politique ‘ providentiel’ qui est prévu par la constitution cad en cas de décès ou de démission du Président de la République : le Président du Sénat, le deuxième personnage de l’Etat , c’est lui qui assure l’intérim. Gérard LARCHER est l’homme ‘ providentiel ‘ légitime pour tenir ce rôle. 1) il est connu pour être un inféodé au Président, 2). Il n’est pas candidat aux prochaines élections présidentielles , 3) il a l’expérience et le profil pour être l’homme des < l00 jours > . Capable autour de lui de finaliser rapidement un ‘ Pacte législatif gouvernemental ‘ à partir d’une liste d’actions prioritaires comme le proposent: Laurent Wauquiez le président de la nouvelle ‘ Droite Républicaine ‘ , Édouard Philippe Président de ´Horizon ´et même Gabriel Attal qui , Président du nouveau groupe ‘ Ensemble pour la République’ nouveau nom choisi par les députés de Renaissance. Sans oublier le Modem . En y ajoutant aussi les députés des partis responsables qui n’ont pas de groupes au parlement ( nombre insuffisant de députés). Il est illusoire de compter sur les députés supposés raisonnables du Parti socialiste du NFP . Ils sont trop ancrés et biberonnés dans le système LFI pour en sortir. Donc OUI il est maintenant possible en 100 jours autour du second personnage de L’ÉTAT le PRÉSIDENT du SÉNAT de d’abord soumettre au vote du Parlement début septembre un programme de gouvernement articulé autour de «six priorités»: rétablissement des comptes publics, défense de la laïcité et des institutions, pouvoir d'achat et logement, environnement, sécurité et service publics. Il faut tout faire pour éviter en preumier lieu une crise financière. Ce qui arrivera si nous ne parvenons pas à voter un budget avec 25 milliards d’économies . Ce programme de vérité aura bien sûr supprimé toutes les incohérences, les inepties et la volonté affichée du NFP de détruire la France . Que l’on en finisse vite avec ces trissotin de la décadence de notre pays. Une page noire à vite oublier. La honte pour la démocratie française qui porte toujours bien haut et en bandoulière l’exemplarité du modèle français que le < monde entier nous envie> notre cocorico ridicule habituel. Exemplarité que nous avons cependant prouvée au monde entier avec les JO 2024. Le village olympique a été notre fierté mais soyons lucides …. Il ne fut que le village Potemkine.
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Alors que le paysage politique français a été bouleversé par les résultats des élections législatives de dimanche, le Nouveau Front populaire met la pression sur le président Emmanuel Macron. Dans un communiqué commun publié mardi, l’alliance de gauche met «solennellement» en garde le chef de l’État contre «toute tentative de détournement des institutions», avec le maintien prolongé de Gabriel Attal à Matignon. L’ultimatum de la gauche à Emmanuel Macron Arrivé en tête du scrutin législatif, le Nouveau Front populaire estime que si le président «persistait» à maintenir Gabriel Attal comme Premier ministre, ce serait «une trahison de l’esprit de notre Constitution et un coup de force démocratique» auquel ils s’opposeraient «de toutes [leurs] forces». Un avertissement solennel signé par les quatre formations composant l’alliance : le Parti socialiste, La France insoumise, les Écologistes et le Parti communiste. Nous mettons solennellement en garde le Président de la République contre toute tentative de détournement des institutions. Communiqué du Nouveau Front populaire La gauche prête à former un gouvernement Face au refus d’Emmanuel Macron d’appeler le Nouveau Front populaire à former un nouveau gouvernement, les partis de gauche demandent au président de la République de se tourner vers eux «conformément à l’usage républicain en période de cohabitation». Ils se disent «prêts à gouverner [le] pays pour appliquer le programme du Nouveau Front populaire dès demain», en excluant toute «coalition contre-nature». La course à Matignon est lancée Depuis dimanche soir, socialistes et insoumis se livrent une féroce bataille en coulisses pour décrocher le poste de Premier ministre. Si le président Macron finit par se résoudre à nommer une personnalité de gauche à Matignon, il devra trancher entre ces deux formations. Un choix cornélien alors que les tractations s’intensifient entre les différents protagonistes. La balle est désormais dans le camp d’Emmanuel Macron, mis sous pression par une gauche unie et déterminée à imposer sa marque sur le prochain quinquennat. Le chef de l’État va devoir manœuvrer avec habileté dans ce nouveau rapport de force pour éviter une crise institutionnelle majeure. Depuis dimanche soir, socialistes et insoumis se livrent une féroce bataille en coulisses pour décrocher le poste de Premier ministre. Si le président Macron finit par se résoudre à nommer une personnalité de gauche à Matignon, il devra trancher entre ces deux formations. Un choix cornélien alors que les tractations s’intensifient entre les différents protagonistes. La balle est désormais dans le camp d’Emmanuel Macron, mis sous pression par une gauche unie et déterminée à imposer sa marque sur le prochain quinquennat. Le chef de l’État va devoir manœuvrer avec habileté dans ce nouveau rapport de force pour éviter une crise institutionnelle majeure. The post Législatives : La Gauche Met Solennellement En Garde Macron first appeared on ViralMag.fr.
Alors que le paysage politique français a été bouleversé par les résultats des élections législatives de dimanche, le Nouveau Front populaire met la pression sur le président Emmanuel Macron. Dans un communiqué commun publié mardi, l’alliance de gauche met «solennellement» en garde le chef de l’État contre «toute tentative de détournement des institutions», avec le maintien prolongé de Gabri...
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