Post de Julia Fawaz

Pour assurer transparence et circularité des produits de #consommation, la Commission Européenne souhaite imposer aux industriels le Passeport numérique des produits. Comment transformer cette future obligation réglementaire en avantage concurrentiel ?   Passer au #QRcode augmenté aura plusieurs avantages pour les commerçants : 🏷️ Diminution de la démarque via la gestion d'un stock à la maille Lot/DLC 🍇 Amélioration de la sécurité alimentaire via l'activation du scan QR en caisse/stock à la maille Lot ❤️ Augmentation de l'engagement de l'enseigne via la mise à disposition des informations de production/origine   👉 Vous souhaitez en savoir plus ? Consultez notre documentation et contactez-nous en direct.   #Retail #DigitalProductPassport #DPP #Biensdeconsommation GS1 France Accenture France Julia Fawaz Sylvain Dupuis Benjamin Rondeau Julien Bonnefoy François-Xavier O'Mahony Benjamin Noudelberg Grégory Boulanger Adrien Gras Nicolas Gery

🤝 GS1 France salue cette initiative d'un de nos partenaires, Accenture, pour accompagner toutes les entreprises de nos écosystèmes vers la migration du code-barres au #QRCodeaugmentéGS1 et les travaux sur le #DPP dans le cadre de la réglementation européenne. 🌲 Le code-barres a 50 ans et il est scanné 10 milliards de fois tous les jours, dans le monde. C'est ce symbole du commerce que nous allons progressivement changer avec le #QRCodeaugmentéGS1, pour davantage d'information produit pour le consommateur, d'information environnementale sur les origines, sur les impacts de nos produits. ➡ Pour réussir cela à l'échelle, nous devons collaborer et organiser cette migration qui a déjà démarré. ➡ Les équipes de GS1 France et tous nos parties prenantes sont mobilisées pour réussir ce projet commun. Didier Veloso Xavier Barras Paul BOUNAUD Benjamin GALLO Aurélie ESCOBAR Marie Burnay Stéphanie van Rossum Sophie Le Pallec Sophie Delattre

Tesco met en oeuvre le Passeport Digital du Produit pour les produits textiles en avance sur la règlementation européenne. (lien vers l'article en commentaire 👇) Ainsi on pourra voir en scannant le QR Code du produit : Sa composition 🏳️🌈L’origine des matériaux Les certificats d'origine et la traçabilité des textiles 🚛L'empreinte environnementale du produit (conditions de production et de transport) ♻️Comment recycler le textile 🎁et bien d'autres informations que le vendeur voudra partager avec ses consommateurs En le mettant en oeuvre, Tesco repond non seulement à la règlementation mais aussi au besoin croissant de transparence sur le produit. La mise en oeuvre du passeport implique: 1️⃣ une nouvelle manière de collaborer entre entreprises (fournisseurs et clients) et de partager des informations 2️⃣ de bien maitriser les données produit 3️⃣ Bien communiquer aux consommateurs ces informations Un DPP c'est la résultante d'un nombre de flux d'informations dans l'entreprise. Le DPP etant obligatoire, 🚫 Il ne faut pas que les entreprises répètent l'erreur faite avec l'ecommerce (où elles ont créé des websites et ensuite réfléchi à comment les alimenter). ✅Il faut dès maintenant réfléchir de manière sereine à comment structurer, organiser et maitriser ses données, développer une architecture data simple avant de mettre en oeuvre un DPP. Sinon cela ne fera que rajouter de la complexité à l'entreprise qui résultera par des coûts de gestion des données non maitrisés.

Apprenez-en davantage sur l’avenir de l’étiquetage à la source en examinant des informations sur les étiquettes antivol à double fréquence, les pratiques de développement durable et les expériences client améliorées dans le commerce de détail. https://ow.ly/vQl050Sl7n4 #SensormaticEMEA

[Nos actions pour lutter contre le #greenwashing]. Récemment, nous avons interpellé une grande enseigne Française de vente de produits high tech et culturels. Les caisses électroniques proposaient un ticket électronique en affirmant que celui-ci était plus favorable à l’environnement que l’équivalent papier. Or, cette approche ne respecte pas la réglementation en vigueur. En outre, le ticket de caisse numérique n’est pas une alternative a priori plus favorable pour l’environnement que le ticket de caisse papier. De ce fait, nous avons demandé que l’allégation “moins de gaspillage papier” disparaisse des bornes d’achat, ce qui a été appliqué. Nous souhaitons que le consommateur puisse faire un choix éclairé entre papier et numérique, en fonction de ses besoins réels, et que les informations ne soient pas biaisées au détriment du papier. #papier #digital #choix #environnement #twosides

A l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Consommateurs du 15 mars 2024, voici un aperçu des principaux changements pour les consommateurs en 2024 🙋♂️🙋♀️ 📢 Des consommateurs de plus en plus informés et vigilants : - Depuis le 17 février, les places de marché en ligne ("marketplaces") doivent respecter de nouvelles obligations pour garantir une meilleure protection des consommateurs. Ces mesures découlent du règlement européen sur les services numériques, visant à limiter la diffusion de contenus illicites et la vente de produits dangereux en ligne. - À partir de 2024, l'étiquetage des produits d'hygiène féminine doit inclure la composition, les précautions d'utilisation et les possibles effets indésirables. - La loi Antigaspillage pour une économie circulaire introduit un indice de réparabilité pour divers produits depuis 2021. En 2024, cet indice sera remplacé par un indice de durabilité, visant à encourager l'achat de produits durables et la réparation en cas de panne. - De nouvelles directives renforcent l'information des débiteurs lors du rachat de leur dette. 🍽 💄 La DGAl chargée de la sécurité alimentaire, la DGCCRF de celle des cosmétiques : - Depuis le 1er janvier, la Direction générale de l'alimentation (DGAI) prend en charge seule le contrôle de la sécurité sanitaire des aliments, tandis que la DGCCRF conserve son rôle dans la surveillance de la loyauté et de la lutte contre les fraudes. - Depuis le 1er janvier, la DGCCRF est responsable de la surveillance des établissements de production et de conditionnement des cosmétiques, en remplacement de l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé). 👉 Pour lire l'article complet : Consommation : ce qui change en 2024 | economie.gouv.fr ✅ POURQUERY LABORATOIRES s'engagent à tester et analyser vos biens de grande consommation afin de garantir une mise sur le marché de produits plus sûrs, durables et conformes. 📧 Pour toute demande : [email protected]

Oui, il faut informer les consommateurs quand les fabricants (ça concerne les grandes marques et les marques de distributeurs) changent le conditionnement de leurs produits ! Je suis 100% pour le notifier sur les emballages ou sur un QR code !  Mais pourquoi donc imposer aux seuls commerçants le signalement des cas de shrinkflation (aujourd'hui, par exemple, ceux qui réduisent la contenance sans réviser le prix à la baisse) ? 🙀 🙀 La shrinkflation, c'est une décision du fabricant. C'est lui (et lui seul) qui fait ce choix. Alors pourquoi ne pas lui demander de l'écrire lui-même sur ses emballages ? Avec l'arrêté ministériel en préparation, ce sont les employés des magasins qui vont devoir poser des étiquettes sur les paquets. Et l'industriel n'aura même pas l'obligation de les prévenir du changement. Il va donc falloir enquêter tous les jours pour débusquer les changements ? J'ai toujours dit qu'il y avait trop de communication sur ce sujet somme toute assez marginal. A la fin de l'agitation médiatique, c'est donc la distribution qui se récupère la gestion d'une décision qui n'est pas la sienne. On marche sur la tête ! On nous dit que la législation européenne actuelle empêche le gouvernement de l'imposer aux industriels. Ok, pourquoi pas... Alors je fais une proposition. Pourquoi est-ce que Bercy ne proposerait pas aux industriels (coucou l'ANIA, l'ILEC, Adepale et la Feef) de s'engager volontairement à signaler eux-mêmes aux consommateurs ces cas de shrinkflation ? Je n'imagine pas que les fabricants refuseront de prendre un tel engagement qui va dans l'intérêt des consommateurs. Chiche, Olivia Gregoire ?

Rendez-vous aujourd’hui sur le stand C25 à Tech for Retail ! C’est parti pour une nouvelle édition de Tech for Retail, à laquelle participe bien sûr Smartway ! 🤩 Retailers, vous cherchez de nouveaux leviers de revenus ! Mais en même temps, le gaspillage alimentaire toujours majeur en magasin est une grande perte de revenus. Et si vous releviez le défi de la lutte contre le gaspillage alimentaire ? Depuis 2012, les équipes Smartway accompagnent de nombreuses enseignes dans cette lutte incessante, pour valoriser leurs produits en date courte et éviter le gaspillage. Aujourd'hui, nous accélérons encore avec le Fresh Operating System ! 🍐 Saviez-vous qu’au rayon fruits et légumes, les pertes sont 4 fois plus importantes que dans les autres rayons? Sur le stand C25 de notre partenaire VusionGroup, nous présenterons comment nos technologies associées à l’IA permettent aux retailers de transformer la gestion de leurs rayons fruits et légumes⚡ Un pas de plus pour transformer positivement le quotidien des employés, la satisfaction clients et la performance des magasins ! A tout à l'heure sur le stand C25 ! #TechforRetail #RetailInnovation #IA

La revue de presse du retail : Transparence et info consommateur : le défi de l’agrégation: Les initiatives de transparence dans l’info consommateur se multiplient, au-delà des obligations légales. C’est d’ailleurs souvent l’argument des grincheux pour appuyer fort… sur le frein. De fait, il y a le Nutriscore, le Planet Score (ou son “ancêtre” l’éco-score) ou encore désormais Origin’Info. Et la liste pourrait encore s’allonger (par exemple avec des infos sur … L’article Transparence et info consommateur : le défi de l’agrégation est apparu en premier sur Olivier Dauvers. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail