Re-ENCHANTER NOS VILLAGES EN ESSONNE Un projet avec 3 volets : -Une « Epicerie alimentaire » avec la priorité aux producteurs locaux. -Un « Espace de Vie Sociale, écologique et culturelle". -Des services de proximité C'est un projet de justice sociale et de solidarité , d'éducation populaire , et du « Mieux Vivre Ensemble ». Un CONSTAT : En sud-Essonne au moins 50 villages n'ont plus aucun commerce ni service public: la vie locale et les relations s'étiolent, l'isolement s'aggrave et le sentiment d'abandon ruine la confiance dans les institutions et la démocratie ! Alors que s'aggravent les menaces de l'inflation, des conflits et de l'insécurité, de l'alimentation, des perturbations climatiques et énergétiques , et les difficultés d'adaptation dans un monde informatisé ! Une EXPERIENCE de 10 ans SUR LE TERRAIN: à Cerny, et les communes de la CCVE, l'association AVEC ( Agir et Vivre Ensemble) a réussi dès 2013 : « Familles à énergie positive », le « printemps des poètes » , le carnaval , « un enfant/un arbre » , 3 Amap ( Cerny, La Ferté alais, Itteville) , le « PtitCerny » Café associatif , la création de « EcoJolie TerresVivantes » , « un potager dans chaque école » , et le magasin de producteurs depuis décembre 2021 à Dhuison-Longueville, qui améliore toujours ses produits de qualité " Bio et Local" . Ces actions concernent l'alimentation ( Plan Alimentation Territorial) , l'action sociale , l'éducation et la culture, les exclusions , la santé , l'action contre les pollutions et le climat, l'énergie , les déchets, etc... qui sont d'importantes priorités qu'il convient d'assumer ! C'est aussi le développement local et l'agriculture maraîchère, le Vivre Ensemble pour « Ré-enchanter les Villages » . DES ACTES : Pour mettre en œuvre ce PROJET, il y a la nécessité de coopération et de partenariat avec les Habitants – Elus locaux -Associations – Services publics , et l'appui financier de la Région Ile de France, des collectivités territoriales , de l'Etat , Institutions publiques et privées, ( MSA , CAF , Fondations, Entreprises, etc) et la création de la Société Coopérative d'Intérêt Collectif « EcoJolie-les Coquelicots » ,pour en assurer la gestion partagée . UN PROGRAMME Sur 3 années 2025 / 2026/ 2027 POUR CRÉER : 8 « Epiceries de Village » et 36 Villages desservis avec « L'Epicerie Mobile » DES PROJETS et un CADRE pour RE-ENCHANTER nos VILLAGES Pour les Villages qui n'ont pas de « local permanent » , un local ( le RELAI ) une fois par semaine au moins, permettra à EcoJolie de livrer les commandes avec le Camion « EcoJolie-mobile » . EcoJolie, et la SCIC « les Coquelicots » s'inscrivent dans un partenariat plus large avec un « PTCE » en Essonne, et la MEUP ( Maison de l'Ecologie Urbaine et Pratique) de Paray Vieille Poste ( 91) document descriptif sur demande C'EST POSSIBLE , C'EST CONCRET , C'EST NECESSAIRE ! Besoin de soutien financier , et d'expertise. [email protected]. 06 81 00 63 84. michel mombrun , président
Post de Michel Mombrun
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[ 𝗖𝗥𝗘 𝗟𝗮𝗻𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗫 𝗡𝗼𝘂𝗿𝗿𝗶𝗿 𝗟𝗮𝗻𝗮𝘂𝗱𝗶𝗲̀𝗿𝗲 ] 🌟 Une collaboration qui fait germer l’espoir! 🌟 Le CRE Lanaudière et Nourrir Lanaudière annoncent avec enthousiasme la poursuite de la collaboration visant à renforcer les initiatives horticoles locales dans le cadre de la phase 2 du soutien aux initiatives horticoles lanaudoises. 🤝🌱 Avec cette collaboration, nous visons à : 🌾 𝗔𝗺𝗲́𝗹𝗶𝗼𝗿𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝗰𝗰𝗲̀𝘀 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗻𝗼𝘂𝗿𝗿𝗶𝘁𝘂𝗿𝗲 sur notre territoire grâce à l'agriculture de proximité. 🤝 𝗦𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗹𝗮 𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗶𝗹𝗹𝗮𝗴𝗲𝘀 entre les différents partenaires. 🌻 𝗩𝗮𝗹𝗼𝗿𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗱’𝗶𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀𝗶𝗼𝗻 au sein de la communauté en encourageant des personnes en situation de précarité à des activités de jardinage. Cette collaboration est une occasion pour nous tous de travailler ensemble, d'échanger des idées, et de cultiver un avenir plus vert et solidaire. En plus de nous permettre de poursuivre l'accompagnement entamé à la phase 1 et ainsi favoriser la pérennité des initiatives sur le territoire. Découvrez-en plus sur Nourrir Lanaudière et explorez le concept de système alimentaire durable : https://tpdsl.org/ Nourrir Lanaudière est une concertation coordonnée par Développement social Lanaudière (anciennement la TPDSL).
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Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), 20 % des produits consommés seront issus de l’agriculture urbaine en 2030, contre moins de 8 % aujourd’hui. Pour la FAO, l’agriculture urbaine représente un réel enjeu par rapport à d’autres formes de production alimentaire dans la mesure où « (…) elle garantit la disponibilité d’aliments frais et accessibles à proximité des marchés urbains ».
Lucile Delorme, présidente de l’AFAUP, milite pour "un quartier, un jardin nourricier". À travers l’agriculture urbaine, c’est tout un modèle d’habitat urbain qui doit être repensé. 🏙️🌱 "On a besoin d’une politique publique forte pour ancrer les projets d’agriculture urbaine dans le temps. Il faut un cadre juridique pour sécuriser les projets. Les baux utilisés sont trop souvent précaires et ne permettent pas aux exploitants d’envisager sereinement l’avenir." ✅ Pour la représentante de l’association, l’agriculture urbaine a besoin de reconnaissance et d’un vrai statut : "elle ne doit pas être la caution verte d’un projet ni servir de compensation via l’application du ZAN."
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Une belle politique publique qui va dans le sens des enjeux de notre territoire régional
Après l'installation au printemps de 4 agriculteurs.trices sur St Victoret, la Métropole Aix Marseille Provence lance un nouvel appel à candidatures pour un terrain de 4,7 ha, sur la commune de Cuges- les- Pins. Une action concrète de son Projet alimentaire territorial qui vise, notamment, à préserver les terres, encourager l'installation d'exploitations agricoles et rendre plus accessible la consommation de produits locaux. Ce projet permet de : - Maintenir une capacité productive agricole, vecteur d'économie et d'emploi, à proximité des bassins de consommation - Sensibiliser les populations à la question alimentaire et à la richesse de l'agriculture métropolitaine - Maintenir des milieux agricoles en milieu périurbain, en tant que supports de fonctionnalité écologique et de régulation des effets du changement climatique, mais aussi en tant qu'espaces de respiration indispensables à la vie des habitants. Toutes les informations sur l'appel à candidatures, les contacts techniques et dates clés sont décrites dans le document joint et accessibles en ligne sur le site de la Métropole : https://lnkd.in/dhp9M_KS
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👨🌾 Cultiver la Solidarité en Milieu Urbain avec LE PETIT REBOM 👍🏻 Le "Petit Rebom" au diocèse de #Vannes est un second site pour l'association Rebom et propose un autre lieu de #travail aux salariés en #transition #professionnelle. 🥬 Dans un monde où les défis #alimentaires et #environnementaux sont de plus en plus prégnants, la micro #ferme urbaine #solidaire se présente comme une solution innovante et #durable. Alliant #agriculture #urbaine et engagement communautaire, LE PETIT REBOM transforme l'espace urbain en terre maraîchère et de solidarité. ✅ Mais qu'est-ce qu'une micro ferme urbaine solidaire et comment fonctionne-t-elle ? 👉 La micro ferme urbaine solidaire est une exploitation agricole de petite échelle, située en plein cœur de Vannes, à la maison du diocèse. Elle vise à produire des aliments frais et sains tout en favorisant l'#inclusion #sociale et la solidarité. Le PETIT REBOM va se concentrer sur des cultures denses et diversifiées, et accueille de l'élevage avec des moutons. 👉L'objectif est de fournir des aliments frais, mais aussi de créer des espaces de rencontre et de partage où les habitants peuvent se reconnecter avec la nature, apprendre des pratiques agricoles durables et tisser des liens sociaux. ✅Le Petit Rebom repose sur plusieurs principes clés : 👉Durabilité environnementale : En utilisant des pratiques agricoles durables afin de minimiser l'empreinte environnementale et en favorisant la #biodiversité. 👉 Inclusion sociale : Le Petit Rebom est ouvert à tous. 👉 #Éducation et sensibilisation : Une fois lancé Le Petit Rebom souhaite organiser des ateliers et des événements #éducatifs, en encourageant la sensibilisation aux enjeux alimentaires et environnementaux, et en transmettant des connaissances pratiques sur l'agriculture urbaine et la gestion durable des ressources. ✅Partage des récoltes : Une partie des récoltes sera réservée à la cantine du diocèse et le reste des légumes destinés à la vente aux particuliers. 🕔 Vous souhaitez nous rendre visite ? Rendez-vous dès les jeudis et lundis de 12h à 17h . Marie-Laurence Gautier Xavier Briatte Emilie GLET Chloë Morice
Néo 56 reprend la micro-ferme urbaine de Montcalm à Vannes
letelegramme.fr
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Quand l’agriculture s’enracine dans les villes L’autosuffisance alimentaire est encore très faible dans la majorité des grandes villes françaises (en moyenne à peine 2 % de produits agricoles locaux consommés sur place). Ce constat d’une incapacité des villes à nourrir ses habitants a beaucoup servi la récente euphorie politique de la ville cultivée. Quelle métropole n’a pas encore lancé son "PAT", Projet Alimentaire Territorial ? Voilà donc une agriculture qui trouve aujourd’hui sa place dans les quartiers d’habitat collectif. Et ce n’est pas une illusion. Pour preuve, 70 % des projets lauréats du programme « Les Quartiers Fertiles » de l'ANRU - Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine concernent des espaces de pleine terre (délaissés urbains, friches ou morceaux de parcs) et ont, malgré leur taille réduite, une visée productive claire, en maraîchage notamment. Mais aujourd’hui, l’agriculture urbaine a besoin de reconnaissance et d’un vrai statut. Si elle doit s’installer dans les villes, ce n’est pas seulement pour être la caution verte d’un projet ni servir de compensation au calcul du #ZAN. Sa vocation n’est pas seulement nourricière. En générant du commun et en facilitant la reconnexion des citadins au vivant, l’agriculture urbaine promet, pour demain, une nouvelle manière d’habiter et de vivre la ville. Un article à lire dans le dernier numéro d'Objectif Métropoles de France avec Nicolas LE ROUX, Lucile Delorme, Jean-Jacques Bolzan de Toulouse Métropole, Patricia SUARD et Silvère Guérin de Tours Métropole Val de Loire. Illustration : Martin Etienne https://martinetienne.com
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🔎 🌾 ✊ [Recherche-action et coopération pour une agriculture urbaine levier de justice alimentaire (CAJAU) : résultats d'étude préliminaire] 📋 La recherche-action CAJAU part d’un constat : l’agriculture urbaine pourrait être un levier de justice agri-alimentaire notamment en quartiers populaires où l'offre alimentaire hors GMS est limitée et les espaces de nature en ville rares. Pourtant, dans la recherche ou sur le terrain, on observe que ces projets restent souvent confidentiels, avec une ouverture sociale restreinte, voire vecteurs de gentrification dite « verte ». 💡 En mars 2023, La Cité de l’agriculture, en partenariat avec le CIRAD (UMR MOISA - emmanuelle cheyns), ACTION CONTRE LA FAIM, Graines de Soleil et 3 projets agricoles marseillais (LeTalus, la ferme Capri, Terre d’Entraide et de Partage), a lancé un projet de recherche-action et de coopération, soutenu par la Fondation de France, la Commission Européenne dans le cadre du Project Cities, et l'ADEME, autour de la question : comment renforcer l’accessibilité de l’agriculture urbaine pour qu’elle s’insère dans le paysage vécu et alimentaire des habitant·e·s de quartiers populaires ? 🔬 Une phase préliminaire d’étude de terrain a mobilisé une approche, et méthodologie assortie, originales. Au delà des dimensions géographique (proximité) et économique (prix) de l'accessibilité, le projet CAJAU adopte une approche sensible, s'attardant sur les pratiques des personnes, les ambiances et la matérialité des lieux pour identifier les leviers d'hospitalité des lieux agriurbains - soit leur capacité à accueillir chacun.e avec ses vulnérabilités. 📔 Les résultats de cette étude sont riches et nombreux, en voici deux : ➡ Il est nécessaire que les projets identifient avec sincérité les exigences capacitaires que la pratique des lieux demande pour que les usager.e.s s'y sentent à l'aise (questionner les règles d’usages, le langage utilisé, les normes officieuses d’investissement en temps, les modalités d'accueil, les compétences techniques et l’autonomie,…) ➡ L’importance de cultiver l'aller-vers au sein des lieux d'AU, mais aussi dans les quartiers environnants (via un poste dédié de médiation, la culture de production répondant aux envies culinaires des habitant.e.s, des propositions d'activités dans d'autres lieux, plus proches du quotidien, la mise à disposition d'espaces à des associations de quartier, accompagnement d'une reprise du projet par des acteur.ice.s locaux.ale.s…) 🛠️Ci-dessous une synthèse de la méthodologie et des résultats principaux. 🤝 Sur la base de cette étude, une coopération multi-acteur.ice.s permettra de croiser les pratiques en matière d'hospitalité, pour co-construire des actions à tester et évaluer pour générer des espaces plus accueillants pour tou.te.s. N'hésitez pas à entrer en contact avec Alina Bekka ou Lise VALET, nous serons ravi.e.s d'échanger avec vous sur ces travaux : des collaborations sont envisageables et souhaitables ! 🌾
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Quelques pistes pour faire de l'agriculture urbaine un levier vers plus de justice alimentaire!
🔎 🌾 ✊ [Recherche-action et coopération pour une agriculture urbaine levier de justice alimentaire (CAJAU) : résultats d'étude préliminaire] 📋 La recherche-action CAJAU part d’un constat : l’agriculture urbaine pourrait être un levier de justice agri-alimentaire notamment en quartiers populaires où l'offre alimentaire hors GMS est limitée et les espaces de nature en ville rares. Pourtant, dans la recherche ou sur le terrain, on observe que ces projets restent souvent confidentiels, avec une ouverture sociale restreinte, voire vecteurs de gentrification dite « verte ». 💡 En mars 2023, La Cité de l’agriculture, en partenariat avec le CIRAD (UMR MOISA - emmanuelle cheyns), ACTION CONTRE LA FAIM, Graines de Soleil et 3 projets agricoles marseillais (LeTalus, la ferme Capri, Terre d’Entraide et de Partage), a lancé un projet de recherche-action et de coopération, soutenu par la Fondation de France, la Commission Européenne dans le cadre du Project Cities, et l'ADEME, autour de la question : comment renforcer l’accessibilité de l’agriculture urbaine pour qu’elle s’insère dans le paysage vécu et alimentaire des habitant·e·s de quartiers populaires ? 🔬 Une phase préliminaire d’étude de terrain a mobilisé une approche, et méthodologie assortie, originales. Au delà des dimensions géographique (proximité) et économique (prix) de l'accessibilité, le projet CAJAU adopte une approche sensible, s'attardant sur les pratiques des personnes, les ambiances et la matérialité des lieux pour identifier les leviers d'hospitalité des lieux agriurbains - soit leur capacité à accueillir chacun.e avec ses vulnérabilités. 📔 Les résultats de cette étude sont riches et nombreux, en voici deux : ➡ Il est nécessaire que les projets identifient avec sincérité les exigences capacitaires que la pratique des lieux demande pour que les usager.e.s s'y sentent à l'aise (questionner les règles d’usages, le langage utilisé, les normes officieuses d’investissement en temps, les modalités d'accueil, les compétences techniques et l’autonomie,…) ➡ L’importance de cultiver l'aller-vers au sein des lieux d'AU, mais aussi dans les quartiers environnants (via un poste dédié de médiation, la culture de production répondant aux envies culinaires des habitant.e.s, des propositions d'activités dans d'autres lieux, plus proches du quotidien, la mise à disposition d'espaces à des associations de quartier, accompagnement d'une reprise du projet par des acteur.ice.s locaux.ale.s…) 🛠️Ci-dessous une synthèse de la méthodologie et des résultats principaux. 🤝 Sur la base de cette étude, une coopération multi-acteur.ice.s permettra de croiser les pratiques en matière d'hospitalité, pour co-construire des actions à tester et évaluer pour générer des espaces plus accueillants pour tou.te.s. N'hésitez pas à entrer en contact avec Alina Bekka ou Lise VALET, nous serons ravi.e.s d'échanger avec vous sur ces travaux : des collaborations sont envisageables et souhaitables ! 🌾
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Lancé en 2019, le programme ville nourricière bat son plein et continue ses actions en faveur du bien-manger et des circuits courts. L'année 2023 a été productive ! En chiffres : 🥕 2372 (contre 2276 en 2022) habitants ont participé à 195 ateliers. Le public accueilli a été varié : 902 participations sont individuelles, et 1470 participations viennent des structures de la ville, comme les centres sociaux, les écoles, les accueils de loisirs, la maison de retraite Solemnes et la résidence Village d'or. 🥕 Notre pépinière participative Soli-serre a attiré le plus d'habitants, avec 70 % des participations. En 2023, 4456 plants ont été produits par les participants aux ateliers. Il s'agit de plants d’aromatiques, des plants potagers, de fleurs comestibles et des plants de petits fruitiers et même d’arbres fruitiers (amandiers, châtaigniers, figuiers, noyers). Au total, 60 espèces végétales ont été multipliées et diffusées. 🥕 Le potager bio du Plessis a accueilli 197 participations, et le Verger conservatoire du Coulevrain a mobilisé 165 inscrits tout au long de l'année ! ✅ L'agriculture urbaine, c'est le moyen pour les habitants des villes de se réapproprier leur alimentation et de mieux connaître le contenu de leurs assiettes, tout en créant du lien social entre quartiers et entre générations. https://lnkd.in/encnzswi
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🆕 Val de Gray, Quatre Rivières, Monts-de-Gy… En Pays Graylois, les 24 membres du nouveau Groupe d'Action Locale (GAL) fédèrent les acteurs locaux, publics et privés, autour de projets communs. L’objectif : revitaliser les zones rurales et créer des emplois. Doté d’une enveloppe de 1,59 millions d’euros dans le cadre de la démarche LEADER, le GAL concentre ses travaux autour de 4 axes de développement : ➡ Accompagner les acteurs locaux dans les transitions écologique, énergétique et numérique ➡ Développer l’économie de proximité ➡ Améliorer l’attractivité du territoire ➡ Développer les programmes culturels, sportifs et de loisirs Retrouvez notre focus sur 4 GAL dans la nouvelle revue du RNAR ⤵ https://lnkd.in/d7YrajuG #ruralité #réseau #bourgognefranchecomté #régions #LEADER Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ANCTerritoires Régions de France Leader France PETR Pays Graylois
Agricultures et ruralités : la revue du RNAR
xn--reseau-national-agricultures-ruralits-bkd.fr
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[PARTENAIRES] Mardi 3 septembre, Laurent #Duval, co-président de Terres en villes, maire de Languidic, intervenait à Ploeuc-l’Hermitage, comme de Saint-Brieuc Armor Agglomération, pour le lancement du projet #CAPITAL, conduit par Leader France. 🥔 La spécialité de Ploeuc ? La pomme de terre – la BF15 pour les connaisseurs - ! Mais dans cette commune d’un des départements agricoles les plus actifs de France, il a été plus largement question de politiques alimentaires. Thibaut Guignard,Président de Leader France et Maire de Ploeuc-L’Hermitage. "Ce sont des chaînes alimentaires locales qui font manger la majorité de la population mondiale. Le covid a montré que les chaînes longues n'ont pas tenu leurs promesses" 🥗 Gilles Maréchal 🍮,Fondateur TERRALIM SCOP, militant et chercheur. 🍓 "Lorsqu'on met en place des projets d'abattoirs, d'outil de transformation, on a besoin de financements. C'est pour les légitimer que l'on réclame l'attribution d'une compétence partagée "Alimentation" aux collectivités territoriales. Les Chambres d'agriculture sont incontournables pour aller au bout des projets". 🥕 Nous avons un repas 100% local une fois par mois. Les écoliers mangent les pâtes qui sont servies à l'#Elysée ! Nous expliquons que le prix du repas fait aussi vivre des familles d'agriculteurs de Languidic. Laurent Duval, Co-président Terres en villes. 🍮 "La commande publique est le meilleur levier pour un département, via les cantines des collèges. Aussi pour la sensibilisation au #gaspillage alimentaires, que nous travaillons via un banquet participatif où les collégiens choisissent la ration. En Côtes d'Armor, nous continuons à agir en finançant des paiements pour #service #environnemental, pour limiter le problème #algueverte, en revanche, les circuits courts n'ont pas vocation à devenir autre chose qu'une niche. Didier #Yon, Agriculteur et Conseiller Le Département des Côtes d'Armor, délégué à l’Agriculture et à la Pêche. 🍆 "La qualité des produits ne doit pas être réservée à l'élite. Nous avons acquis un frigo pour stocker des produits locaux et de qualité destinés à l'aide alimentaire". 🍎 On constatait des incompréhensions entre producteurs et restaurateurs. Les producteurs alertent sur les denrées produites en nombre afin que les chefs la choisissent dans un menu. Un des obstacles qui demeure, c'est le coût d'acheminement. Pascal Prido, Agriculteur et VP de Saint-Brieuc Armor Agglomération, en charge de l’Agriculture et de la Transition Alimentaire, Maire. Belle animation d'Emilie BLANQUAERT !
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