Prise en compte du changement climatique dans la politique économique en Afrique Subsaharienne Le changement climatique est un défi majeur avec des impacts économiques, sociaux et environnementaux importants. En Afrique subsaharienne, intégrer les considérations climatiques dans les décisions de politique économique et budgétaire est crucial pour promouvoir la résilience climatique et réduire les risques économiques liés au climat. #Politiques fiscales et environnementales - Taxes carbone: inciter à réduire les émissions de gaz à effet de serre. -Subventions: supprimer les subventions aux combustibles fossiles et encourager les énergies renouvelables. #Politiques de dépenses et d'investissement -Budgétisation Verte: évaluer l'impact climatique des dépenses publiques. -Financement de l'adaptation et de l'atténuation: -Utiliser des fonds internationaux et encourager les partenariats public-privé. -Investissements dans l'innovation: soutenir la recherche et les technologies propres. #Gouvernance climatique -Cadre réglementaire: promouvoir la durabilité environnementale avec des lois et des réglementations appropriées. -Capacités institutionnelles: renforcer les institutions pour mieux gérer les risques climatiques. L'intégration des considérations climatiques dans les politiques économiques est essentielle pour le développement durable en Afrique subsaharienne. Une approche concertée peut atténuer les impacts du changement climatique et favoriser une économie verte et durable.
Post de Emmanuel Diagbouga
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Changement climatique et options de politiques publiques La Contribution déterminée au niveau national (CDN) 2021– 2030 qui prévoit une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 11 % en 2030, estime les besoins cumulés en financement à 47 516,3 millions d’USD sur la période 2021–2030, soit 4 319,8 millions d’USD par an en moyenne, dont 72,1 % sont destinés à l’atténuation. Toutefois, le pays ne dispose d’aucun mécanisme de financement dédié au climat. Les secteurs privé et bancaire sont très peu présents dans le financement climatique. Les ressources mobilisées (1 030,4 millions d’USD sur la période 2010–2020) proviennent principalement des partenaires internationaux. La méconnaissance des risques et des opportunités liés aux changements climatiques, le coût élevé des investissements pour l’adaptation aux changements climatiques, la faible disponibilité des ressources dédiées aux investissements verts pour le secteur privé sont autant d’obstacles à la participation du secteur privé mauritanien. Il est donc indispensable d’adopter des instruments financiers verts, tels que les émissions d’obligations vertes, pour accroître la mobilisation des ressources ; de disposer d’un fonds spécial vert dédié au secteur privé ; d’adopter des incitations fiscales pour favoriser les investissements privés verts ; et d’associer le secteur privé aux stratégies d’adaptation aux changements climatiques. Par ailleurs, la Mauritanie dispose d’un important capital naturel (gaz, hydrogène vert, fer, ressources halieutiques, terres agricoles), évalué à 24 249,7 millions d’USD en 2018, dont l’exploitation durable permettrait de soutenir le financement climatique et la croissance verte. En outre, la phase 1 du projet gazier Grand-Tortue/ Ahmeyim (GTA) fournirait une marge de manoeuvre budgétaire supplémentaire d’au moins 0,5 % du PIB à partir de 2024.
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#Leadership #Climat #COP29 #FinancePublique #Afrique 🌍 COP29, finances publiques et leadership africain face aux changements climatiques À l’approche de la COP29, il devient impératif de repenser la manière dont les pays africains mobilisent leurs ressources publiques pour répondre à l'urgence climatique. Dans un contexte où l’impact du dérèglement climatique se fait sentir plus durement en Afrique, le leadership des décideurs africains est plus crucial que jamais. 💡 Quels défis et opportunités pour les finances publiques en Afrique ? 1️⃣ Réorienter les dépenses publiques : Se concentrer sur des infrastructures résilientes et durables pour atténuer les effets climatiques. 2️⃣ Mobiliser les ressources locales et internationales : Exploiter des financements verts, tels que les obligations vertes et les partenariats public-privé, pour soutenir la transition. 3️⃣ Réduire les vulnérabilités économiques : Protéger les populations face aux chocs climatiques tout en maintenant la stabilité des finances publiques. 🎯 Un leadership fort et aligné sur les engagements climatiques Les dirigeants africains doivent incarner une vision à la fois ambitieuse et pragmatique, en : 1. Défendant les intérêts du continent dans le cadre de la responsabilité commune mais différenciée : malgré une contribution limitée aux émissions mondiales, l'Afrique est en première ligne pour lutter contre les impacts climatiques. 2. Renforçant l’efficacité et la transparence des finances publiques pour s’assurer que les financements climatiques internationaux soutiennent directement les Contributions Déterminées au niveau National (CDN) et les Plans Nationaux d’Adaptation (PNA). 3. Promouvant une croissance verte et inclusive : développer des stratégies locales alignées sur les CDN et PNA pour un impact réel et mesurable sur le terrain. 🌱 Vers une transition durable et équitable Les pays africains ne sont pas seulement les plus exposés aux effets du climat ; ils sont également en mesure de devenir des leaders du changement. Une approche intégrée alliant leadership visionnaire, innovation financière et politiques climatiques audacieuses est essentielle pour relever les défis à la fois environnementaux et économiques. 🤝 Quels sont, selon vous, les principaux leviers que les dirigeants africains peuvent activer pour accélérer la transition climatique tout en préservant les équilibres budgétaires ? Partagez vos idées en commentaire !
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Le financement climatique en Afrique est une question cruciale au cœur des discussions actuelles sur le développement durable et la lutte contre le changement climatique. L'Afrique, bien que responsable d'une proportion relativement faible des émissions mondiales de gaz à effet de serre, est l'un des continents les plus vulnérables aux impacts du changement climatique. Les phénomènes climatiques extrêmes tels que les sécheresses, les inondations et la désertification affectent fortement les communautés, menaçant la sécurité alimentaire, la disponibilité de l'eau, et la stabilité économique. Le financement climatique consiste à mobiliser les ressources financières nécessaires pour aider les pays à réduire leurs émissions et à s'adapter aux effets du changement climatique. Cependant, les flux financiers actuels vers l'Afrique sont souvent insuffisants pour répondre aux besoins urgents de la région. Les pays africains ont exprimé à plusieurs reprises le besoin d'un accès plus facile et plus rapide aux fonds internationaux et ont appelé à un renforcement des mécanismes de financement, tels que le Fonds vert pour le climat et d'autres initiatives internationales. De plus, il est essentiel que ce financement prenne en compte les spécificités locales et soit dirigé vers des projets qui favorisent un développement résilient et inclusif. Les investissements dans les énergies renouvelables, l'agriculture durable, et la gestion de l'eau sont particulièrement importants pour construire un avenir durable en Afrique. Enfin, il est crucial de développer des partenariats solides entre les gouvernements africains, les organisations internationales, et le secteur privé pour assurer une utilisation efficace et responsable des ressources financières allouées. L'engagement de la communauté mondiale envers un financement climatique juste et équitable sera déterminant pour la capacité de l'Afrique à surmonter les challenges climatiques et à s'engager sur la voie d'un développement durable. #Go-Environnement. Oxfam au Sénégal TERRE-OCEAN Centre National de Recherches Forestières (CNRF) Centre De Suivi Écologique
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PAYER LA FACTURE CLIMATIQUE DE L’AFRIQUE Les ressources financières du secteur privé sont indispensables à la lutte mondiale contre le changement climatique Les pays les plus pauvres du monde, et en particulier les pays africains, peinent à assumer le coût d’une crise climatique qu’ils ne peuvent pas se permettre. Augmenter l’endettement public n’est pas la solution : les besoins en matière d’investissements climatiques dépassent la capacité de prêt des institutions financières multilatérales, et de nombreux pays africains sont déjà en proie à des difficultés de financement. Il faut trouver de nouvelles solutions, notamment accroître les investissements du secteur privé en faveur de l’action climatique dans les pays pauvres. Ces initiatives ne peuvent pas se limiter à l’échelle d’un pays et doivent viser la réalisation des objectifs mondiaux de zéro émission nette de gaz à effet de serre. #economie #energie #climat #environnement #transition #emplois #travail #croissance #developpement #finance #innover #innovation #investir #investissement #industrie #education #gouvernance #international #geopolitique #population #numerique #ressources #technologies #afrique #puissances #management #industries #communication #durable #digital
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Le changement climatique est un phénomène irréversible qui menace l’écosystème et fragilise de plus en plus les économies du monde, particulièrement celles qui sont les plus vulnérables. Face à ce défi, le débat de ce phénomène devient nécessaire et mérite une attention particulière. A l’instar des autres pays du monde, les pays de l’UEMOA sont confrontés à ce phénomène malgré leur faible contribution aux émissions mondiales de gaz à effet de serre (0,5 % à l'échelle mondiale). Les pays côtiers de la zone UEMOA (Côte d’Ivoire, Bénin, Togo et Guinée-Bissau) sont responsables de 1/3 des émissions totales dans la région, tandis que les pays sahéliens (Mali, Niger, Burkina-Faso et Sénégal) contribuent aux 2/3 restants. Pour mitiger ces effets, les Etats de l'union ont besoin de financement pour les mesures d’atténuation et d’adaptation au changement climatique. D’ici 2030, le besoin de financement de l’UEMOA est estimé à 79,1 milliards de dollars, soit 3,25% du besoin de l’Afrique, répartis comme suit : 38,3 milliards de dollars pour l’adaptation, 39,5 milliards de dollars pour l’atténuation et 1,4 milliards de dollars pour les bénéfices doubles. Malgré ces besoins énormes, ces pays sont confrontés à plusieurs problèmes : - Capacité technique insuffisante pour accéder aux sources de financement de la part des organisations multilatérales ; - Difficulté à lever des fonds et des capitaux nationaux pour lutter contre le changement climatique ; - Rareté des données sur le financement public national du climat ; - Capacité insuffisante en matière de développement de projets climatiques. Face à ces défis multiformes, ces pays devraient : - Renforcer la capacité institutionnelle et les mécanismes au niveau régional pour coordonner la mobilisation du financement climatique ; - Stimuler l’émergence d’un environnement favorable ; - Renforcer les capacités techniques pour le développement et la mise en œuvre de projets d’atténuation et d’adaptation. #Changement #Climat #Financement #adaptation #atténuation #UEMOA #Réseau #Statisticien #Economiste #CREFDES #UCAD
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💎💎 Finance Climatique en Afrique : Flux, Défis et Opportunités Ce rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (UNDP) offre un panorama des flux financiers climatiques vers l'Afrique, les défis et les opportunités pour intensifier leur mobilisation. L'Afrique, bien que ne représentant que 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, est l'une des régions les plus affectées par le changement climatique. Malgré une hausse de 24 % des financements climatiques entre 2011 et 2021, ceux-ci ne répondent qu'à 11 % des besoins estimés de 277 milliards de dollars par an pour atteindre les objectifs climatiques du continent. Les principales difficultés rencontrées incluent la faible capacité institutionnelle des pays africains, un manque de données pertinentes, et des critères d'accès complexes pour les financements internationaux. Le rapport identifie également des opportunités telles que l'amélioration des cadres d'investissement climatique, l'implication accrue du secteur privé, et la nécessité d'élargir l'utilisation d'instruments financiers diversifiés comme les garanties et les obligations vertes. Source : Florent TOTO
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Le 14/09/2024 Le Maroc adopte une nouvelle stratégie pour développer la finance climatique d’ici 2030. La stratégie, composée de neuf piliers stratégiques avec trois piliers d'intervention en son sein, vise principalement à identifier les moyens d'accélérer la mobilisation des financements privés pour le climat et de renforcer la gestion des risques liés au climat, comme l'explique le ministère de l'Économie et des Finances , le secteur financier change. Pour rendre la stratégie pratique, une gouvernance appropriée sera mise en œuvre avec la participation des acteurs publics et privés, précise la même source, ajoutant que les organes de gouvernance seront en mesure de répondre de manière proactive et collaborative aux défis de diffusion de la stratégie et de supervision des actions spécifiques. L'élaboration de la nouvelle stratégie repose sur un diagnostic approfondi qui montre que les flux de financement climatique proviennent principalement du secteur public, avec des mesures d'atténuation prédominantes, notamment la production d'énergie renouvelable. Les actions d’adaptation sont principalement mises en œuvre par le secteur public et attirent encore moins de financements privés, à l’exception du secteur du dessalement. Le diagnostic note que le Maroc dispose d’une gamme assez complète d’instruments financiers verts, même s’il existe un écart entre l’offre et la demande pour ces produits. Il a également souligné que le développement du financement vert est affecté par le manque de définition (classification) des projets verts et le manque de données de haute qualité pour éclairer la prise de décision des investisseurs. Rappelons que le Ministère de l’Économie et des Finances, la BAM, l’AMMC et l’ACAPS se sont mobilisés pour élaborer une vision commune et cohérente pour accélérer la transformation verte du secteur financier marocain, en tirant parti des progrès et des principales réalisations de la feuille de route adoptée en 2016. Les marges de la COP22 à Marrakech visent à aligner toutes les composantes du secteur financier sur les enjeux du développement durable. En effet, le secteur financier marocain joue un rôle stratégique en soutenant la vision de lutte contre le changement climatique. Ce rôle devrait s’accélérer dans les années à venir pour répondre aux besoins croissants de financement des projets verts et climatiques. "L'adoption de la stratégie finance climat reflète un engagement fort de la part des Autorités financières marocaines pour contribuer à la mobilisation des capitaux privés nécessaires à la réussite de la transition verte de notre pays et à lutter contre les effets du changement climatique", conclut le ministère.
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À la COP29, qui se tient du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou, en Azerbaïdjan, les pays africains intensifient leur mobilisation pour obtenir un soutien climatique historique. Bien que l’Afrique représente seulement 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, elle subit des effets disproportionnés du changement climatique, notamment des sécheresses, des inondations et des pertes agricoles qui menacent les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire de sa population, estimée à 1,4 milliard d’habitants. 🟦 Des besoins de financement accrus pour l’adaptation Les nations africaines réclament un renforcement des engagements financiers des pays développés. L’objectif de 100 milliards de dollars par an, promis depuis 2009, reste insuffisant et n’est pas toujours atteint. Les dirigeants africains appellent à un engagement plus conséquent pour soutenir leurs efforts d’adaptation et de résilience, surtout face à des défis climatiques croissants qui menacent des millions de vies sur le continent. 🟦 Compensations pour pertes et préjudices Les pays africains insistent également sur la nécessité de mécanismes pour compenser les pertes et préjudices subis. Avec l’augmentation des catastrophes naturelles, des terres agricoles sont perdues chaque année, coûtant des milliards de dollars aux économies locales et affectant des millions de personnes. Ces mécanismes de compensation permettraient de financer les efforts de reconstruction et d’adaptation des communautés les plus vulnérables. 🟦 Un potentiel énergétique et des marchés du carbone prometteurs Pour exploiter son potentiel en énergies renouvelables, l’Afrique aurait besoin de 2 800 milliards de dollars d’investissements dans les infrastructures vertes d’ici 2030, selon la Banque africaine de développement. En outre, les marchés du carbone représentent une source de financement potentielle pour les pays africains, mais ils appellent à des règles équitables qui profitent aux communautés locales.
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La France, leader de la finance climat mondiale 🌍 La lutte contre le changement climatique passe par des financements massifs et bien ciblés. En 2023, la France a investi 7,2 milliards d'euros pour soutenir la transition énergétique, avec un focus particulier sur les pays vulnérables 🌱 🔑 Comment ? Grâce à un modèle public-privé innovant : L’Agence Française de Développement (AFD) et ses filiales mobilisent des fonds privés tout en réduisant les risques pour les investisseurs. Les prêts concessionnels et garanties facilitent l’accès aux financements dans les régions les plus touchées 🌪️ 💡 Une stratégie géographique claire : Afrique, Asie, Amérique Latine sont au cœur de l’effort pour renforcer la résilience climatique des pays en développement. Découvrez comment la France fait la différence dans la finance climat mondiale 👇 https://lnkd.in/eAU8zZQM #FinanceClimat #TransitionEnergétique #DéveloppementDurable #Climat
La finance climat française : un levier stratégique - Green Finance %
https://green-finance.fr
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Le monde a besoin de milliers de milliards de dollars par an pour lutter contre le changement climatique, mais la question de savoir d’où viendra ce financement se pose toujours.Les pays les plus pauvres sont les moins protégés et les plus durement touchés par les ravages croissants des vagues de chaleur, des ondes de tempête et d’autres phénomènes météorologiques extrêmes aggravés chaque année par le changement climatique. Nombre de ces pays ne disposent pas des ressources nécessaires pour entreprendre une transition rapide et juste vers une économie à faibles émissions de carbone et résiliente au changement climatique sans aide extérieure. Dans le cadre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et de l’Accord de Paris, les pays ont pris plusieurs engagements financiers, notamment un nouveau fonds destiné à aider les pays en développement à se remettre des événements climatiques extrêmes. Cette année, les pays doivent fixer un nouvel objectif financier visant à apporter les fonds indispensables aux pays en développement. Connu sous le nom de Nouvel objectif collectif quantifié (NCQG) , il remplacera l’objectif de 100 milliards de dollars que les pays développés se sont engagés à mobiliser chaque année pour les pays en développement jusqu’en 2025. Ces négociations ont donné lieu à une série de questions, notamment celle de savoir quels pays devraient contribuer à la réalisation de ces objectifs. La réponse à cette question implique un certain nombre de considérations, notamment les interprétations juridiques de l’Accord de Paris et les discussions sur la justice et l’équité. A ce jour, une liste de 23 pays, principalement à revenu élevé , connue sous le nom d’Annexe II de la Convention, ont été conjointement responsables de verser des contributions financières qui permettent aux pays en développement de parvenir à un développement à faibles émissions et à une plus grande résilience climatique. Cette liste comprend des pays comme les États-Unis, le Japon et l’Allemagne.World Resources Institute ONU Climat INDUSTRY 5.0 AMBASSADORS NETWORK Université Laval #changementclimaique.
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