EMERGENCE Magazine

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Un magazine portant un regard neuf sur l'évolution économique de la Mauritanie.

About us

Emergence est un magazine économique mauritanien mettant en lumière l'évolution des secteurs d'activités majeurs du pays. Il s'agit aussi d'une plateforme numérique, disponible sous un site web, permettant aux internautes d'obtenir des informations économiques fiables.

Website
https://emergence.mr/
Industry
Information Services
Company size
2-10 employees
Headquarters
Nouakchott
Type
Privately Held
Specialties
information economique

Locations

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Updates

  • Le ministre de l’Économie et des Finances, M. Sid’Ahmed Ould Bouh, a tenu, vendredi, une réunion avec M. Abdelkader Al-Moubarak, président-directeur général de la société saoudienne de sidérurgie “HADEED” et président du conseil d’administration de la société “Takamoul” (un partenariat entre la SNIM et HADEED). Étaient également présents M. Othmane Al-Maliky, vice-président de HADEED, et M. Mohamed Saad Al-Qahtani, membre du conseil d’administration de Takamoul. Lors de cette rencontre, les discussions ont porté sur les projets de la société, notamment le projet d’exploitation de la mine d’Atoumai, qui vise à produire 10 millions de tonnes de minerai de fer de haute qualité. HADEED, filiale du groupe saoudien SABIC, est l’un des principaux acteurs de l’industrie sidérurgique dans la région du Golfe. Forte de décennies d’expertise, la société est spécialisée dans la production et la commercialisation de produits sidérurgiques destinés aux secteurs de la construction, de l’industrie et des infrastructures. En s’associant à la SNIM au sein de la société Takamoul, HADEED ambitionne de renforcer la chaîne de valeur dans le domaine de la sidérurgie et de contribuer au développement économique de la Mauritanie. L’entrevue s’est déroulée en présence de M. El Hilal Ould Baba, directeur financier de la SNIM, de M. Abdellah Amine, directeur général de Takamoul, de M. Abdellah Al-Farhan, directeur financier de Takamoul, ainsi que de M. Mohamed Salem Ould Nani, directeur général des financements et de la coopération économique, et de Mme Khadi Mint Yahya, directrice du suivi et des réformes.

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  • Le président mauritanien, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a effectué une visite au Maroc à la suite de l’opération chirurgicale réussie de la Première Dame mauritanienne, réalisée au Maroc. Cette visite a également été l’occasion d’une rencontre avec le roi Mohammed VI. Le Cabinet royal a publié le communiqué suivant le 20 décembre 2024 : « Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, a reçu aujourd’hui au Palais royal de Casablanca, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, président de la République islamique de Mauritanie. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des relations de confiance et de coopération solides entre les deux pays et des liens de fraternité sincère entre les deux peuples frères. Lors de cet entretien, les deux chefs d’État ont salué le développement positif du partenariat maroco-mauritanien dans tous les domaines. Ils ont également réaffirmé leur volonté de promouvoir des projets stratégiques reliant les deux pays voisins, ainsi que de coordonner leurs contributions dans le cadre des initiatives royales en Afrique, notamment le gazoduc Afrique-Atlantique et l’initiative visant à faciliter l’accès des pays du Sahel à l’océan Atlantique. À son arrivée au Palais royal, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a passé en revue une haie d’honneur composée de la Garde royale qui lui a rendu les honneurs, avant de recevoir des dattes et du lait, conformément aux traditions marocaines authentiques. »

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  • Le Fonds Monétaire International (FMI) a accordé à la Mauritanie un décaissement immédiat de 36,16 millions d’unités de compte, soit près de 47,4 millions de dollars (environ 1,8 milliard MRU). Ce financement a été approuvé à l’issue des consultations 2024 du Conseil d’administration du FMI avec la Mauritanie au titre de l’article IV. Il marque également l’achèvement de la troisième revue des accords dans le cadre de la facilité de crédit élargie (FCE), du mécanisme de soutien élargi (MSE) et de la deuxième revue de l’accord lié à la facilité pour la résilience et la durabilité (FRD). Selon le communiqué du FMI, l’économie mauritanienne a su maintenir sa résilience malgré un ralentissement prévu de la croissance à 4,6 % en 2024. Toutefois, les perspectives à moyen terme demeurent positives. Le FMI encourage la Mauritanie à poursuivre ses réformes économiques pour renforcer la stabilité macroéconomique, améliorer le climat des affaires et garantir une croissance durable, inclusive et équitable au bénéfice de toute la population.

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  • Notre pays a réalisé des progrès économiques significatifs au cours des vingt dernières années, augmentant le niveau de vie de ses citoyens. Son économie est aujourd’hui considérée comme l’une des plus compétitives du continent et se classe parmi les pays d’Afrique les plus stables en cette occurrence. Il convient de noter que le revenu par habitant a doublé entre 2001 et 2019, tandis que le taux de pauvreté a diminué jusqu’à un tiers de son niveau de 2001 et que ceux d’alphabétisation et de services de santé augmentaient, tout comme le nombre d’infrastructures de base comme l’eau et l’électricité. Cependant, la croissance économique en Mauritanie n’a pas fourni suffisamment d’opportunités d’emploi aux citoyens en âge de travailler et leur nombre croissant se caractérise également par un vaste secteur informel, des taux de chômage élevés, une faible participation des femmes au marché du travail, la propagation de la pauvreté, des services à faible valeur ajoutée, en plus d’un environnement commercial difficile. Il convient de noter un autre facteur majeur qui doit être pris en compte lors de l’évaluation des performances du marché du travail que je propose d’engager pour l’année 2025, à savoir la nature et le type d’opportunités d’emploi apparues, le secteur informel ayant joué un rôle important. En effet, la taille de celui-ci représente entre 15 et 20% du produit intérieur brut. Comme tant d’autres pays africains, notre pays souffre d’un taux de chômage élevé, notamment parmi les jeunes hautement instruits. Si l’argument du côté « demande », mettant l’accent sur l’incapacité de l’économie à offrir des emplois hautement qualifiés, ne peut être ignoré, ce phénomène révèle également la mauvaise qualité de l’éducation. Offre insuffisante : La Mauritanie a cependant connu une expansion rapide de l’offre de services éducatifs au cours des deux dernières décennies, ce qui a amélioré l’accès à l’éducation, la scolarisation et le niveau de réussite. Du coup, le pourcentage de personnes bénéficiant aujourd’hui d’une formation professionnelle a nettement augmenté. Malgré ces efforts, les opportunités d’emploi pour les diplômés de la formation professionnelle restent faibles, comme en témoigne le taux de chômage parmi les bénéficiaires de cette formation : 60% en 2016 contre 25% pour les diplômés généraux. Le taux de chômage continue d’augmenter parallèlement au niveau de formation professionnelle reçue. Quant aux diplômés de la formation professionnelle entrés sur le marché du travail, 40% d’entre eux (contre 10% du reste des diplômés) occupent des postes à niveau inférieur de leur qualification. Le marché du travail se caractérise par trois défis principaux : manque d’intégration tout d’abord : Lire la suite: 🔗 https://lnkd.in/e_5cCmy7

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  • Le jeudi 19 décembre 2024, la Mauritanie et l’Union Européenne ont signé à Nouakchott une convention d’appui budgétaire. Cet accord prévoit une aide de 100 millions d’euros, soit 4,164 milliards MRU, destinée à renforcer le développement durable et solidaire du pays. Objectifs du Partenariat Cette initiative s’inscrit dans le programme « Pour un partenariat fort et solidaire avec la Mauritanie » et vise à : • Promouvoir un développement intégré et inclusif. • Renforcer la cohésion sociale et la stabilité. • Stimuler une croissance économique verte et durable. Axes Prioritaires du Financement 1. Hydrogène Vert et Croissance Économique : • Faire de l’hydrogène vert un moteur de développement économique. • Créer des opportunités d’emplois pour les Mauritaniens. • Encourager les investissements européens en Mauritanie. 2. Santé et Protection Sociale : • Étendre la couverture sanitaire universelle. • Améliorer l’accès à des soins de qualité, en particulier pour : • Les femmes. • Les groupes vulnérables. 3. Gestion des Migrations : • Promouvoir une gestion proactive et maîtrisée des flux migratoires. • Aligner les politiques migratoires avec les engagements internationaux de la Mauritanie. Un Engagement Fort de l’Union Européenne Lors de la cérémonie, M. Jozef Síkela, commissaire européen aux partenariats internationaux, a souligné que cet accord va au-delà d’un simple soutien financier. Il a affirmé : « Cet accord est plus qu’un simple engagement financier, et prouve que l’UE tient ses promesses rapidement et efficacement. »

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  • Le comité de coordination chargé du suivi du projet gazier « Grand Tortue Ahmeyim » (GTA) s’est réuni ce jeudi à Nouakchott, sous la coprésidence de Son Excellence le ministre de l’Énergie et du Pétrole de Mauritanie, M. Mohamed Ould Khaled, et du ministre du Pétrole, de l’Énergie et des Mines du Sénégal, M. Birame Souleye Diop. Au cours de cette réunion, les membres du comité ont présenté une synthèse des travaux des comités techniques spécialisés, qui ont récemment analysé et formulé des recommandations sur les meilleures stratégies de gestion du projet, avec pour objectif de maximiser les retombées économiques pour les deux pays. Dans son allocution, le ministre mauritanien de l’Énergie et du Pétrole a salué les progrès remarquables enregistrés dans le développement du projet GTA. Il a souligné que grâce aux cadres de coopération solides établis entre la Mauritanie et le Sénégal, les équipes techniques des deux pays ont pu surmonter de nombreux défis juridiques, réglementaires et techniques inhérents à la complexité du projet. Il a également mis en avant des avancées majeures, telles que l’arrivée et l’installation du dernier élément clé du projet, le FPSO (unité flottante de production, de stockage et de déchargement), ainsi que l’achèvement imminent des tests techniques des autres infrastructures, notamment la plateforme de liquéfaction FLNG. Ces étapes cruciales rapprochent le projet de son objectif final : le début de la production de gaz, prévu au début de l’année 2025. Le comité de coordination du projet GTA se réunit régulièrement en alternance entre Nouakchott et Dakar, pour assurer le suivi continu de ce projet d’envergure. La réunion a vu la participation de plusieurs cadres du secteur de l’énergie et du pétrole, ainsi que de représentants de la délégation sénégalaise.

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  • La Banque Africaine de Développement (BAD) a approuvé un prêt de 150 millions de dollars pour moderniser la logistique de la SNIM en Mauritanie. Ce financement permettra d’acquérir 36 locomotives et 1 743 wagons, doublant ainsi la capacité de transport ferroviaire du minerai de fer d’ici 2030. Le projet inclut également la construction d’une centrale solaire de 12 MW, marquant l’engagement de la SNIM vers une production plus durable. En tant que deuxième producteur africain de minerai de fer, la SNIM joue un rôle clé dans l’économie nationale, représentant 9 % du PIB et 37 % des exportations. Ce partenariat avec la BAD vise à renforcer le secteur minier tout en favorisant une croissance économique durable et résiliente face aux défis climatiques.

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  • Le ministre de l’Économie et des Finances, Sid’Ahmed Ould Abouh, a déclaré hier, le 18 décembre 2024, après le Conseil des ministres, l’adoption du projet de loi portant Code des Investissements. Il a souligné que le secteur privé mauritanien est actuellement centré sur le commerce et contribue peu à l’investissement à long terme. Il a précisé : 💬 « Le commerce, bien qu’il soit une activité noble, ne peut pas constituer à lui seul la base d’une économie solide. Nous avons besoin d’investisseurs nationaux engagés et d’un environnement attractif et sécurisé pour les investisseurs étrangers. » Face à cette situation, le gouvernement a décidé d’adopter un nouveau Code des Investissements pour diversifier l’économie, renforcer le cadre juridique et encourager les investissements nationaux et étrangers. Le nouveau Code des Investissements est le fruit d’un processus inclusif intégrant les contributions des secteurs public et privé. Il introduit des incitations majeures pour stimuler le développement économique du pays, notamment : ✅ Un crédit d’impôt pour encourager la formation professionnelle des employés ; 🌱Des incitations en faveur de la durabilité environnementale ; 🏢 Le renforcement du régime des PME ; L’introduction d’un régime pour les investissements structurants. Des réformes importantes ont été introduites, telles que : • L’harmonisation des régimes d’incitations avec les standards internationaux pour renforcer l’attractivité du cadre juridique et fiscal ; • La simplification des procédures administratives pour accélérer le traitement des formalités liées à l’investissement ; • La diversification des secteurs éligibles pour élargir les opportunités d’investissement ; • Le renforcement des garanties juridiques pour assurer un environnement stable et sécurisé pour les investisseurs. Le nouveau Code vise également à diversifier l’économie en stimulant des secteurs comme l’agriculture, l’industrie et les services, réduisant ainsi la dépendance au commerce. Il offre des garanties aux investisseurs, telles que : • La protection contre l’expropriation ; • La stabilité juridique et fiscale ; • La liberté de transfert des capitaux et des revenus. ❗ Certaines activités, comme l’achat pour revente en l’état, les banques, les assurances, les mines et les hydrocarbures, demeurent régies par des textes spécifiques. Conformément aux procédures légales, le projet de loi sera soumis à l’examen et à l’adoption de l’Assemblée Nationale avant sa promulgation par le Président de la République.

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  • La cession de Société Générale Mauritanie (SGM), filiale du groupe bancaire français, suscite une vive concurrence entre deux acteurs majeurs du secteur financier marocain : Attijariwafa Bank et le Groupe Saham. Cette opération pourrait transformer le paysage bancaire mauritanien et poser des défis importants aux banques locales. Le secteur bancaire mauritanien compte environ une douzaine de banques commerciales. En 2023, l’activité d’intermédiation bancaire représentait 65,1 % de l’actif total consolidé du secteur. Malgré des améliorations récentes, le taux de prêts non productifs (PNP) demeure élevé, passant de 43,3 % en 2021 à 35 % en 2022. Le ratio d’adéquation des fonds propres s’établit à 18 %, bien au-dessus de la norme réglementaire de 10 %. Lire la suite : 🔗 https://bitly.cx/T1u4

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  • bp et ses partenaires, Kosmos Energy et SMH, ont annoncé le lundi 16 décembre 2024 l’achèvement et l’inauguration du pôle de pêche de Ndiago. Ce projet, inscrit dans le cadre du programme d’investissement social du projet Grand Tortue Ahmeyim (GTA), vise à renforcer les activités de pêche locales en Mauritanie grâce à des infrastructures modernes. Avec un investissement de 351 757 USD, le pôle comprend : 1. Infrastructures de pêche : • Construction de 24 entrepôts pour les pêcheurs et 9 entrepôts pour les poissonniers. • Réhabilitation du centre de transformation du poisson pour les femmes. • Réhabilitation du hangar de tri et de nettoyage du poisson. • Installation d’une rampe d’accès reliant le pôle à la rive. 2. Infrastructure d’accès : • Aménagement d’une route compactée reliant le village de Ndiago au marché aux poissons. Le maire de Ndiago, Beijel Ould Houmeid, a souligné que ce projet contribue à réduire le chômage et à retenir les jeunes, tout en créant des opportunités d’emploi et en favorisant l’autonomie des habitants. Mohamed Limam, VP et directeur national de bp Mauritanie, a ajouté que le pôle soutiendra directement 250 pêcheurs et apportera des bénéfices à l’ensemble de la communauté. L’inauguration a eu lieu en présence de Son Excellence Yacoub Ould Salem Vall, Ministre Délégué chargé de la Décentralisation et du Développement Local, du Wali du Trarza Mohamed Ahmed Mouloud, ainsi que des représentants de bp et Kosmos Energy. 🟢À propos du projet GTA : Le projet Greater Tortue Ahmeyim (GTA), porté par bp en partenariat avec Kosmos Energy, Petrosen et SMH, est achevé à plus de 98 % pour sa phase 1. bp réaffirme son engagement à promouvoir le développement durable en Mauritanie et au Sénégal à travers une stratégie de contenu local et des initiatives d’investissement social.

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