Mon point de vue : L’IA dans l’univers artistique. Je remarque de nombreux débats et points de vue négatifs autour de l’intelligence artificielle et de sa place dans le monde de l’art. Avant tout, il est important de préciser que le simple fait d’utiliser l'IA pour créer n’implique pas automatiquement que l’on soit artiste. Cependant, cela ne disqualifie en rien la légitimité de ceux qui choisissent de l’utiliser comme un outil d’expression artistique. De la même manière que la photographie peut naître d'une démarche artistique, je perçois l’art généré par l’IA comme une extension, voire une évolution, de la photographie plastique. Quant aux artistes qui craignent de voir leurs œuvres ou leur style copiés sans reconnaissance, je crois que leurs créations, ainsi que les récits qu’elles véhiculent, devraient être assez puissants pour que l’empreinte originale soit toujours identifiable. Un style fort et singulier se reconnaît, même face à des imitations. Pour moi, tout comme la photographie n’a pas remplacé la peinture, mais l’a enrichie en tant qu’outil d’expression supplémentaire, l’IA suit le même chemin. C’est une technologie qui, tout en nous éloignant de la réalité objective, nous permet aussi de mieux nous en approcher d’une manière inédite. Mon message aux artistes serait donc simple : si vos œuvres sont authentiques, vous n’avez rien à craindre de l’intelligence artificielle, car leur essence parlera d’elle-même. N’ayez pas peur de cette technologie, apprenez à la dompter, à l’intégrer. Pour illustrer cela, prenons l'exemple d’un vêtement : est-il plus authentique lorsqu'il est cousu à la main plutôt qu'à la machine ? Dans les deux cas, l’impulsion créatrice reste humaine, même si une machine participe au processus. De la même manière, l’intelligence artificielle n’est qu’un outil parmi d’autres, que l’artiste utilise pour enrichir son canevas. Plutôt que de commencer avec une toile blanche traditionnelle, l’artiste entame son processus créatif dans un espace digital vierge.
Post de Cocoa Doll
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🎨🤖 Comment l'IA repousse les frontières de la créativité ? 🎨🤖 Reproduire le style d'un artiste avec une IA est aujourd'hui à la porté de tous y compris pour les artistes eux-mêmes. Comment cela les impacte-t-il? C'est ce qu'une équipe de Google à chercher à savoir… Je vous partage la vidéo de leur expérimentation que j'ai trouvé passionnante Voici leurs principales observations 👇 🎨 Redéfinition de la créativité : L’IA permet aux artistes d’explorer très rapidement des milliers d’itérations permettant un nouvel espace de liberté et d'exploration de leur propre style 🔁 Transférabilité du style : Avec StyleDrop les artistes ne créent plus seulement des œuvres, ils créent des “pinceaux uniques” qui permettent de peindre dans leur style. Ils peuvent être utilisés par d’autres, leur permettant de transférer leur style et de le mêler à ceux des autres ! ♾️ Œuvres infinies et hyper-personnalisées: Des projets comme “Infinite Wonderland” repoussent les limites du possible. Imaginez une œuvre générative où chaque lecteur peut visualiser chaque scène d’un livre dans le style artistique de son choix. Une expérience totalement personnalisée et inédite ;) 👉 Comment l’IA peut-elle nous pousser à redéfinir notre propre créativité ? Je suis convaincu qu'une nouvelle ère de la créativité s'ouvre grâce à ces outils et que malgré les réticences actuelles, nous intègrerons l'IA comme nous avons intégré la photographie ou des outils comme photoshop dans le spectre de l'art nous poussant toujours à nous dépasser davantage et à repousser les limites de la créativité. Si l'on prend un peu de perspective historique, la photo 📸 n'a pas tué la peinture🎨, le cinéma 🎬 n'a pas tué le théâtre🎭... Les contenus culturels ont explosé ces dernières années et je pense que bien loin d'un prétendu appauvrissement culturel que certains redoutent, nous allons davantage vers une augmentation de cette diversité et des formes d'arts … Et vous, qu'en pensez-vous? P.S. Si ce sujet vous intéresse, je vous recommande vivement les formations que nous vous proposons chez Onepoint (notamment celles sur le design et la création d'images de notre chez Samuel N. Bernier, je vous invite à regarder son dernier post Linkedin pour vous en convaincre ;) Sam Alanbari Laetitia Pfeiffer Chloé Decesari Flavien Raviola Nicolas GAUDEMET Florian Clarte Julie Lavoillotte Jean Slégel GUILLAUME Jean-Baptiste Latouche Maria Jose Lopez Franck Gestin Alix de Goldschmidt #IA #IAGen #Creativity
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Non je n’utilise pas l’IA générative pour créer les œuvres de mon projet Aixplanation ! 🤯 Petit reminder au cas où tu aurais débarqué sur mon compte à cet instant précis ⬇️ #Aixplanation, c’est un projet artistique qui vise à vulgariser les grandes thématiques de l’IA à travers l’art. Et again, je n’ai pas utilisé l’IA générative pour créer les images. C’est du 100% photo, de la main de l’artiste Jérémy Barande 📸 1️⃣ Premièrement, la photographie permet de capturer la réalité telle qu’elle est, offrant une authenticité et une connexion directe avec le monde tangible. En représentant des sujets réels, je souhaitais conserver une dimension humaine et accessible, rendant les concepts complexes de l’IA plus compréhensibles pour le public. 2️⃣ Deuxièmement, en évitant l'IA générative, j'ai voulu souligner les possibilités créatives et artistiques de l'humain sans l'intervention directe des technologies avancées de l’IA. Cela met en lumière les compétences et la perspective unique de l'artiste, tout en suscitant une réflexion sur les rôles respectifs de l'humain et de la machine dans la création artistique. 3️⃣ Enfin, ce choix était aussi une manière de démontrer que l'art et la technologie peuvent coexister sans nécessairement se fusionner, chaque domaine conservant ses spécificités et sa valeur propre. #Aixplanation #Tech #Vulgarisation #Art
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L’IA peut-elle remplacer les créatifs ? C'est la question que m'a posé une journaliste la semaine dernière. Et cela amène forcément un débat. En effet, l’intelligence artificielle peut créer des images, chansons et textes étonnamment beaux. Mais peut-elle créer une "oeuvre" ? L’IA se contente de reproduire. Elle analyse des milliers d’images, assimile des règles de composition et assemble avec une précision inouïe. Mais un artiste n'est-il pas lui aussi la somme de toutes ses influences ? Nous empruntons, assimilons et réinterprétons. Cependant l'artiste apporte sa touche personnelle, sa personnalité, son petit truc unique à chacune de ses influences. D'ailleurs, si l'IA produit quelque chose de beau, elle n’en a pas conscience. Sa création est dépourvue de ce regard subjectif qui transforme une image en message, une œuvre en émotion. Elle suit des directives et elle produit. Elle interprète froidement ce que votre prompt lui suggère. Et le résultat final est souvent réussi mais dénué de personnalité. D'ailleurs, l’art doit-il être « beau » ? Prenons l’exemple de la fameuse banane scotchée sur un mur de Maurizio Cattelan. Si une IA avait eu l’idée de coller une banane sur une toile blanche, aurait-on crié au génie ? Probablement pas. Peut-être aurait-on parlé d’un accident algorithmique, d’une hallucination de la machine. Ce qui fait que cette banane est devenue une œuvre, ce n’est pas l’objet en lui-même, mais l’intention derrière le geste, le contexte dans lequel il s’inscrit, et le message qu’il cherche à transmettre. Et pour arriver à cela, il faut oser défier les codes, transgresser les règles. Et c’est précisément ce qui distingue fondamentalement l'IA de l’artiste. Elle ne peut transgresser les règles puisqu'elle deviendrait alors potentiellement dangereuse. Mais si une œuvre produite par une IA touche quelqu'un, peut-on vraiment dire qu’il ne s’agit pas d’art ? Car avant même d’être beau, l’art a pour vocation de provoquer une émotion, de toucher, d'inspirer, de révolter, ... Qui fait qu'une oeuvre devient art ? La machine, en tant que créatrice technique ? L’humain qui a créé l’algorithme ? Celui qui a tapé le prompt ? Ou le spectateur, qui projette un sens, une émotion sur ce qu’il voit ? Ce débat nous ramène à une question intemporelle : est-ce le créateur ou le récepteur qui définit l’art ? Peut-être que la vérité se trouve entre les deux, dans une alchimie complexe où chacun joue son rôle. Le créateur insuffle une intention. Le récepteur donne vie à l’œuvre en la ressentant, en lui trouvant un sens. Et parfois, cette interaction transcende même l’intention initiale du créateur. À mon sens, l’IA trouve sa place en tant qu'outil. Elle peut devenir une extension du processus artistique, décuplant les possibilités, repoussant les limites techniques. Au même titre qu’un pinceau, un instrument de musique, ou même… une souris. Qu'en pensez-vous ? #IntelligenceArtificielle #Art #Créativité #Réflexion
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Constatation que je partage, même si à priori l’originalité est une notion normalement subjective qui ne se mesure pas par des logiciels. Force m’est de constater cependant que plus ça va plus les pages que je peux voir regroupant les créations AI présentent des images qui se ressemblent : - Même composition globale; - mêmes postures type comic book, mêmes expressions de super modèles retouché.e.s à mort dans Photoshop sur les personnages; - même style visuel, entre photographie et rendu 3D hyperréaliste; - mêmes palettes de couleur, avec une prédilection pour un mix de bleu, orange et violet; - même longueur de cheveux, même taille de soutien-gorge, avec un faux air de Scarlet Johansson pour les femmes; - même corps musclé mais pas bodybuildé, avec des faux airs de Chris Hemworth et Henry Cavill pour les hommes, ou à l’inverse complet vous avez les versions longilignes aux faux airs de Timothée Chalamet. Ceci dit, une grande part de la responsabilité n’est pas forcément à imputer aux algorithmes mais principalement à l’inimagitivité des opérateurs qui s’en contentent.
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« Avec l’IA, sans un futur proche, tout le monde aura droit à son quart d’heure de génie! » @ndy W@rhol Au temps de l’analogique, filmer avec la bonne lumière ou prendre une photo qui ne soit pas floue, monter une pellicule, produire un disque en studio,…étaient autant de gestes techniques réservés aux professionels. Les appareils numériques, capables de faire la mise au point, d’ajuster l’éclairage, et gérer la profondeur de champ ont tout chamboulé. De manière similaire, écrire impliquait ratures et vocabulaire pour exprimer une émotion ou décrire un paysage. Il fallait ensuite faire corriger son manuscrit et le mettre en page par des éditeurs. Le traitement de texte, l’Internet et le correcteur d’orthographe ont considérablement simplifié ces processus établis. Mais ces optimisations n’ont affecté en rien le processus créatif : il faut encore cadrer sa photo ou son plan de caméra, et choisir ses mots. Une nouvelle révolution va aller beaucoup plus loin en exploitant ces trilliards de photos, vidéos, textes, et sons sur la toile, et remettre le processus créatif en question : L’IA, l’Intelligence Artificielle, va entrer dans la création littéraire et artistique. Ses algorithmes de plus en plus sophistiqués permettent à partir d’instructions, les « prompts » d’écrire (à la manière de ou librement) sur commande, de créer des photos et des vidéos de très haute qualité, ou de composer des chansons. Cela va forcément questionner le fondement même de l’art, de l’artiste, et derrière de la créativité , l’innovation, l’imaginaire. On peut comparer cette révolution à la rupture qu’a été la découverte de la photographie. Alors que le talent d’un peintre était avant 1839 sa performance à reproduire le réel aussi fidèlement que possible, le premier Daguerréotype démontra qu’une machine le battait dans cet exercice de précision. Fini l’hyperréalisme et bienvenue à l’impressionnisme pour exprimer l’émotion, l’abstraction pour l’affiner, l’art contemporain pour l’intellectualiser. Une nouvelle génération d’artiste a alors émergé, maîtrisant d’autres techniques, et exprimant différemment ses talents . Leurs succès démontrent qu’ils étaient en phase avec leur temps tandis que certaines stars du classicisme voyaient leurs étoiles faiblir. On peut prédire les mêmes destins à l’avènement de ces nouveaux outils pour ceux qui s’aventureront sur des territoires inexplorés. Et ils seront extrêmement nombreux car presque tout le monde peut manipuler les logiciels d’IA et très probablement nombre de ceux-là réussirons à sensibiliser de larges foules. Ils auront ainsi tous leur quart d’heure de génie. Mais n’est ce pas le propre de l’homme que d’imaginer? L’IA, en rendant visibles les rêves de chacun ne permettra-t-elle pas de les partager avec tous? Elle se réinvente alors en Intelligence Augmentée au service de multiples talents libérés.
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Comment utiliser l’IA et la réalité virtuelle dans le domaine de la communication et de la formation pour révolutionner la direction artistique ? Merci à Antoine Vivet d’avoir partagé son expertise avec les étudiants du Master 2 E-COSIM de la Université Sorbonne Nouvelle nouvelle dirigé par Camila Moreira Cesar. Au cours de cette conférence, le dirigeant de JARDIN NUMÉRIQUE est revenu sur la méthodologie de la direction artistique (benchmark, moodboard, synopsis, storyboard …) qui lui parait essentielle. Il a conçu une nouvelle méthodologie pour révolutionner la direction artistique grâce à l'IA. Au-delà de l’innovation technologique, qu’il s’agisse d’IA ou de réalité virtuelle, le métier reste toujours de créer des univers réellement singuliers et mémorables. Aujourd’hui tous les outils sont pourvus d’IA, encore faut-il toutefois savoir utiliser le meilleur outil en fonction de son projet (stable diffusion, midjourney, Runaway…) et savoir rédiger un prompt efficace. Antoine Vivet a présenté aux étudiants plusieurs cas d’usage et notamment le projet Lémotisphère de l’artiste VALERIE DURON. Ce dispositif immersif permet au spectateur de rentrer littéralement à l’intérieur d’une œuvre. En choisissant au préalable sur la boule à facettes ladite œuvre, il accède à une ambiance visuelle et sonore tout à fait particulière. Lors de cette conférence, une étudiante a posé la question qui fâche : l’IA est-elle finalement un assistant ou un concurrent pour les graphistes, aujourd’hui ? En se basant sur de nombreux projets qu’il nous a présentés, Antoine Vivet considère que l’IA permet à la fois de s’inspirer mais aussi de gagner du temps sur des taches techniques dévolues généralement au graphiste. Mais il est persuadé qu’il ne remplacera jamais la culture et la créativité de l’intelligence humaine propre à une bonne direction artistique. Rappelons toutefois que l’IA qui se nourrit d’images et de données glanées sur le web pose aussi la question éthique du droit de propriété intellectuelle sur ces « créations » engendrées par l’IA. Comme bien souvent avec l’accélération technologique, la pratique devance de loin le cadre juridique. A suivre 😀
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L’IA dans l’histoire de l’art Après avoir exprimé que je vois l’IA comme un outil de création, je crois fermement que l'intelligence artificielle a sa place dans l'histoire de l'art, tout comme la photographie l'a fait auparavant. C'est une évolution naturelle, un prolongement des formes d'expression de chaque époque. Bien qu'utiliser l'IA pour créer des œuvres ne fait pas automatiquement de quelqu'un un artiste. La question se pose : qu'est-ce qui définit un artiste ? Qu'est-ce qui lui confère cette légitimité ? La réponse n'est pas évidente. Définir un artiste est complexe, car la notion même d'art est floue. On ne sait jamais vraiment pourquoi quelque chose est considéré comme de l'art. Est-ce qu’on devient artiste parce qu’on produit de l’art ? Ou est-ce que l’art existe uniquement parce qu’il est créé par un artiste ? Ces deux perspectives ont du sens, mais elles finissent par tourner en rond. Ce qui m’interpelle également, c’est la relation complexe entre un artiste et son œuvre. Une création ne se résume jamais à la technique ou aux intentions de son auteur. Il y a toujours quelque chose qui échappe à l’artiste, quelque chose de plus grand que ce qu’il voulait initialement exprimer. Et quand on y pense, beaucoup d’œuvres nécessitent le travail de plusieurs personnes, comme dans le cinéma ou l’architecture. Tous ces contributeurs ne sont pas qualifiés d’artistes, pourtant ils participent pleinement à l’œuvre. Alors, faut-il vraiment attribuer la paternité d’une œuvre à un seul artiste ? #reflectivewriting #artificialintelligence #histoiredelart #art #reflechir
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Mettre sa fierté d’artiste de côté pour intégrer l’IA générative dans ses créations ? 😦 En septembre 2022, OpenAI estimait que 1,5 million d’utilisateurs créaient 2 millions d’images par jour avec DALL-E 2. Aujourd’hui, c’est encore plus. Avec une telle simplification des processus de création, une telle absence apparente d’efforts, on peut légitimement se poser un certain nombre de questions : Allons-nous tous devenir « IArtistes » ? Le geste artistique va-t-il être dévalué par sa reproduction numérique ? 😳 « Les métiers de la création d’images sont menacés » - À tout le moins, ces nouveaux outils les obligeront à évoluer. Les designers, notamment, peuvent ainsi esquisser des visions et voir l'IA les matérialiser avec une rapidité et une complexité assez dingues (un peu foireuses par moment quand même, on ne va pas se mentir). Cela ouvre la voie à une exploration des possibles, où l'unique barrière est l'imagination du créateur. 💭 Ces outils démontrent la potentialité de l’IA à agir en tant que partenaire dans le processus de conception, proposant des alternatives que le concepteur n'aurait peut-être jamais envisagées. 🤝 (attention quand même aux abus ☝) Mais alors, ça donne quoi à l’utilisation ? Si l’apparition de nouveaux outils rend l’évolution des processus de création artistique inévitable, c’est plutôt la complémentarité entre l’image produite par l’IA et la « patte » humaine qui nous conduit vers de nouveaux horizons visuels… 👉 Et justement. Adobe Firefly par exemple. Ce logiciel nous permet de mixer un peu plus IA et patte humaine grâce à des paramètres détaillés sur la structure et le style, permettant de diriger le processus de génération via des images de référence. L'intégration de l'IA générative dans le processus créatif ne signifie pas nécessairement la fin de l'authenticité artistique. Mettre sa fierté d'artiste de côté pour intégrer l'IA générative peut aussi ouvrir de nouvelles perspectives créatives. 🤖 En fin de compte, l'avenir de l'art ne réside pas toujours dans une opposition entre tradition et innovation, mais dans leur complémentarité. 👥 #branding #art #graphisme #IA #AdobeFirefly
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Comment utiliser l’IA et la réalité virtuelle dans le domaine de la communication et de la formation pour révolutionner la direction artistique ? Merci à Antoine Vivet d’avoir partagé son expertise avec les étudiants du Master 2 E-COSIM de la Sorbonne nouvelle dirigé par Camila Moreira Cesar. Au cours de cette conférence, le dirigeant de JARDIN NUMÉRIQUE est revenu sur la méthodologie de la direction artistique (benchmark, moodboard, synopsis, storyboard …) qui lui parait essentielle. Il a conçu une nouvelle méthodologie pour révolutionner la direction artistique grâce à l'IA. Au-delà de l’innovation technologique, qu’il s’agisse d’IA ou de réalité virtuelle, le métier reste toujours de créer des univers réellement singuliers et mémorables. Aujourd’hui tous les outils sont pourvus d’IA, encore faut-il toutefois savoir utiliser le meilleur outil en fonction de son projet (stable diffusion, midjourney, Runaway…) et savoir rédiger un prompt efficace. Antoine Vivet a présenté aux étudiants plusieurs cas d’usage et notamment le projet Lémotisphère de l’artiste VALERIE DURON. Ce dispositif immersif permet au spectateur de rentrer littéralement à l’intérieur d’une œuvre. En choisissant au préalable sur la boule à facettes ladite œuvre, il accède à une ambiance visuelle et sonore tout à fait particulière. Lors de cette conférence, une étudiante a posé la question qui fâche : l’IA est-elle finalement un assistant ou un concurrent pour les graphistes, aujourd’hui ? En se basant sur de nombreux projets qu’il nous a présentés, Antoine Vivet considère que l’IA permet à la fois de s’inspirer mais aussi de gagner du temps sur des taches techniques dévolues généralement au graphiste. Mais il est persuadé qu’il ne remplacera jamais la culture et la créativité de l’intelligence humaine propre à une bonne direction artistique. Rappelons toutefois que l’IA qui se nourrit d’images et de données glanées sur le web pose aussi la question éthique du droit de propriété intellectuelle sur ces « créations » engendrées par l’IA. Comme bien souvent avec l’accélération technologique, la pratique devance de loin le cadre juridique. A suivre 😀
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Vous voulez comprendre les enjeux artistiques autour de l’ia 👇
📢 "Dans un monde où l'IA rend la création d'images accessible à tous, notre formation vous apprend à transcender la simple génération pour créer un art profond et significatif. Découvrez comment préserver votre voix artistique unique, maîtriser la culture de l'image, et utiliser l'IA comme un outil d'amplification de votre créativité. Ne laissez pas l'automatisation diluer notre patrimoine culturel - devenez un créateur visionnaire à l'ère de l'IA." Dimitri Daniloff 🔥 Rejoignez la révolution créative IA à Paris le 2, 3, 4 décembre 2024 📢 : Formation du catalogue de La Méduse Violette : Créer du sens à l'ère de l'IA - Prise en charge OPCO. 📸 Dans l'univers en constante évolution de l’art visuel, Dimitri Daniloff, photographe visionnaire, continue de repousser les limites. Après avoir réinventé la photographie avec des agences comme TBWA, Publicis, et McCANN New York, travaillé pour des marques emblématiques telles que Playstation, Nissan, et Adidas, et publié dans des magazines de référence tels que Fisheye et Eyemazing Mag, Dimitri se tourne désormais vers les technologies de pointe comme l'intelligence artificielle et la photogrammétrie. De ses campagnes primées aux Grand Prix de Cannes 🏆, à sa collaboration mythique avec Daft Punk sur le projet Virtual Girl, Dimitri a ouvert un nouveau chapitre de l’art augmenté où l’humain et la technologie se rencontrent et s’enrichissent mutuellement 🤖. 💡 Une technologie au service de l'âme humaine : C’est la promesse que Dimitri vous fait lors de nos formations. Ensemble, nous redéfinissons les contours de l’art, en explorant des horizons nouveaux, où l'outil digital s'efface pour laisser place à la créativité pure 🌈. L’IA vous permettra de sublimer vos compétences sans jamais étouffer votre authenticité 💪. 🔮 Nous vous invitons à réfléchir au rôle des artistes de demain. Plus qu'une simple formation, c’est un laboratoire d’idées, un espace où l’on déconstruit les certitudes pour mieux réinventer les pratiques créatives 🌱. 🎯 Prêts à rejoindre la révolution ? Inscrivez vous à nos webinaires La Méduse Violette ou découvrez nos dates de formation à Paris, Toulon, et Lille cet automne 🍁. Chaque session est une expérience immersive et unique, adaptée à vos besoins, que vous soyez professionnel ou passionné 🎯. 📅 Formation sur Paris le 2, 3, 4 décembre 2024 : 🔗 Infos : https://lnkd.in/et9DCxpT 📞 Contactez-nous pour tout renseignement. #IA #RévolutionCréative #Innovation #PhotographieAugmentée #ArtEtTechnologie
Créer du sens à l'ère de l'IA - La Méduse Violette, créatrice de formats d'apprentissage innovants !
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