𝗨𝗻𝗲 𝗳𝗼𝗶𝘀 𝗹𝗲 𝗹𝗮𝗶𝘁 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲́ 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲, 𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲́ 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘂𝘀𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝟮𝟰𝗵 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝘂𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗲. Fraîcheur garantie ! ❄️ Pour en savoir plus sur la transformation du lait, cliquez ici ➡️ https://lnkd.in/eGT2W8_C #laitduforez #produitslaitiers #produitslocaux #savigneux #laiterieduforez #clicandcollect
Post de LAITERIE DU FOREZ
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Une présentation claire et pédagogique du calcul du prix du lait, notamment sur la partie GMS France, qui rappelons-le est encadré par la loi Egalim.
Tout savoir sur le prix du lait payé aux producteurs Retrouvez en images les différentes étapes de la définition du prix du lait. La filière laitière est l'une des filières agricoles les plus structurées et les plus contrôlées. Elle est également exemplaire en matière de contractualisation entre acteurs. Le prix du lait est le résultat d'une discussion entre les producteurs et les laiteries. Ces échanges se traduisent dans un contrat entre les 2 parties qui fixe : ✔ un volume, ✔ une durée, ✔ une formule de prix, ✔ des conditions de production, ✔ des clauses de révision automatique. L'ensemble des maillons de la filière sont interdépendants car sans lait pas de produits laitiers et sans produits laitiers pas de valeur ajoutée ni rémunération dans la filière laitière. L'industrie laitière privée est créatrice de valeur. Elle permet de transformer le lait produit dans les fermes en produits laitiers diversifiés, sains, durables et accessibles. CNIEL Fédération Nationale des Producteurs de Lait (FNPL) Fédération du Commerce et de la Distribution ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique Agnès Pannier-Runacher Marc Fesneau Bruno Le Maire Olivia Gregoire Patrick Martin La Coopération Agricole Laitière Thierry Roquefeuil Yohann Barbe Marc Delage Pascal Le Brun Alain Le Boulanger François-Xavier Huard Laurent FRANCOIS-EUGENE
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La revue de presse du retail : Lait : Sodiaal espère offrir aux éleveurs 50 centimes par litre en 2024 | Les Echos: La première coopérative laitière, en pleine négociation avec la grande distribution, fabrique 50 % de marques distributeurs. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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Négociations : Massifier pour peser, 3 exemples En plus des associations d’OP comme l’Unell pour Lactalis ou Sunlait pour Savencia qui sont verticales, il existe aussi une OP transversale, France Milk Board (FMB), qui négocie avec tous les transformateurs qui collectent ses membres… En novembre 2018 est créée France OP Lait (FOPL, https://www.fopl.site/ ), la Fédération nationale des Organisations de Producteurs de lait, constituée de 20 des principales OP laitières, soit 6500 producteurs et 3 milliards de litres de lait, pour accompagner, promouvoir et représenter les OP… L’association d'OP du Grand Ouest Poplait (https://www.poplait.org/ ) est créée en 2015 par 10 OP, soit 5 000 exploitations et 3,3 milliards de litres de lait, en vue d'accompagner les OP dans l'atteinte de leurs objectifs… Après huit ans d’attente, France OP Lait siège au Cniel… https://lnkd.in/ecnTsdvc voir aussi Décarbonation, les éleveurs au centre du jeu https://lnkd.in/eAEAfdmi Data : les éleveurs laitiers et leurs OP veulent garder la maîtrise de leurs données https://lnkd.in/e-bP6ycg
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La revue de presse du retail : Les résultats « encourageants » de Sodiaal, le numéro deux du lait en France: ... grande distribution de relancer « une guerre aux prix bas ». Agriculture · Lait · Agroalimentaire · Entreprises · Élevage · Industrie · Actualité en ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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ouest-france.fr
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Des résultats décevants en production laitière Malgré un prix du lait au sommet, les résultats des exploitations laitières reculent pour les clôtures comptables du 3e trimestre 2023. La hausse du coût alimentaire, des charges de structure, ainsi que le recul des marges de grandes cultures se cumulent… https://sco.lt/6bPTqS
Des résultats décevants en production laitière | Lait de Normandie... et d'ailleurs
scoop.it
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Chez Gaya Food Partners, nous investissons aux racines du système agroalimentaire français : le produit brut et le savoir-faire de ceux qui le produisent. Au dessus de ce secteur primaire, s'empilent l'industrie, les services, les distributeurs, l'Agritech et les métiers de la réglementation. Les parties prenantes sont si nombreuses qu'il devient difficile de retrouver le produit brut. Aujourd'hui, il est plus que nécessaire de replacer le producteur et son produit au cœur de cet écosystème. Avec GFP, nous avons la conviction que la transition vers une alimentation juste, durable et respectueuse se fera par un passage d'une production incontrôlée à une production maîtrisée. La croissance et la richesse des entreprises de notre portefeuille se feront en se recentrant sur la production : maîtriser la matière première, les flux, la qualité et la traçabilité. L'agriculteur et les produits seront les leviers principaux de la transition alimentaire. Au travers de nos participations, nous respectons cette certitude : la transition alimentaire se fera par le respect du produit et de son producteur.
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Lactalis va réduire sa collecte : « Une déflagration pour le milieu laitier » À partir de fin 2024, Lactalis réduira «de l'ordre de 450 millions de litres» sa collecte annuelle «de quelque 5,1 milliards de litres», soit une baisse de près de 8%, ce qui représente 2% du lait français. L’objectif est de se recentrer sur les produits vendus en France, mieux valorisés… Le groupe s'engage à ce que la réduction des volumes «soit progressive entre 2024 et 2030». La première étape de réduction porte sur 320 millions de litres et touchera surtout les zones Est et sud Pays de Loire d'ici 2026 (soit 160 millions de litres de lait) ainsi que le non-renouvellement d'un contrat avec une coopérative à horizon 2030 (160 millions de litres de lait)… https://lnkd.in/ekbuMByz
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La #production laitière affiche une légère baisse en 2023 🥛 mais la #consommation est portée par le dynamisme de la #restauration, rapporte SYNDICAT NATIONAL DU LAIT DE CONSOMMATION SYNDILAIT Article à lire sur le site de RIA - La Revue de l'Industrie Agroalimentaire 👇 #lait #laitdeconsommation #liquide #collecte https://lnkd.in/ey3GwquN
Lait : comment a évolué la production en 2023 ?
https://www.ria.fr
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Le Producteur est-il toujours pieds et poings liés face à sa laiterie ? Durant toute la période des quotas laitiers, l’éleveur est resté enchaîné à sa laiterie. Dans un contexte où le lait coulait à flot, les rares tentatives d’émancipation via des GIE de collecte ont toutes mal fini, à l’exception notable de Biolait sur un segment en croissance en escalier. Avec la contractualisation entre Organisations de producteurs et transformateurs, les lois Egalim, mais surtout le ralentissement de la croissance de la production, le rapport de force évolue. L’étincelle provient de l’étranger, des Pays-Bas d’abord. Très dynamique au sortir des quotas, le pays est rattrapé par des contraintes environnementales et climatiques qui pèsent sur la production. FrieslandCampina part à la recherche de nouveaux fournisseurs dans un rayon de 250 km, en Allemagne et Belgique. En réaction, la coopérative Milcobel part à son tour à la recherche d’éleveurs, notamment dans le Grand-Est et les Hauts de France. Objectif : trouver 100 Ml de lait. Pourtant, après avoir démarché directement une centaine d’exploitations et maintenu sa communication dans la presse agricole locale, le bilan est modeste : une vingtaine d’exploitations ont franchi le pas. De son côté, Eurial Ultra-frais (ex Sénagral, ex Senoble), par manque de débouchés, met un terme au contrat qui le lie à l’OP Oplase, exigeant une importante baisse des volumes collectés. L’Oplase crée une SA commerciale et va chercher 2 clients complémentaires pour 30% de ses volumes, en France et en Belgique. Puis, profitant de Novandie (groupe Andros) qui veut assurer son approvisionnement, une section de l’Oplase rejoint l’APLBC et la laiterie LSDH dans le Centre (30% aussi). Face à la menace de l’arrêt de collecte par Savencia, l’association d’OP Sunlait trouve auprès de Maîtres Laitiers du Cotentin un débouché pour 10% de ses volumes qui vont sécuriser l’appro de YéoFrais dans le sud de la France, tandis que certains producteurs inquiets rejoignent d’autres OP. L’association des producteurs de lait du bassin armoricain (APLBA) livre 20% du volume de Laïta par l’intermédiaire de deux laiteries, LNA et Silav dans les Côtes-d’Armor. Le conflit qui oppose les coopératives Even et Eureden empêche l’OP d’obtenir un accord-cadre. Résultat, des producteurs adhérents de l’APLBA sont partis chez Sodiaal. Les volumes de lait ont commencé à bouger au gré de rapports de force autour de négociations toujours plus tendues. Les volumes vont d’une OP à l’autre, d’une laiterie à l’autre, et les OP commerciales fleurissent. Et Lactalis annonce maintenant qu’il envisage de réduire de 10% sa collecte française à moyen terme pour mieux valoriser son lait en PGC. La tendance à la baisse de la collecte est-elle vraiment structurelle ? Comment vont réagir les transformateurs ? https://sco.lt/6711kW
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Poker menteur ou roulette russe dans une filière laitière française qui joue à un jeu dangereux et dont on ne sait encore si la partie engagée a trait à un simple Poker menteur ou si cela s’apparente plutôt à une roulette russe mortifère jouée par certains industriels à l’encontre de leurs éleveurs ? Quoiqu’il en soit ou qu’il en coûte en termes de souveraineté laitière, la période qui s’ouvre laissera des traces et elle pourrait même rapidement s’avérer désastreuse à considérer le jeu perdant-perdant qui se joue actuellement entre les éleveurs, les O.P et les industriels ! Les propos volontairement provocateurs tenus par Robert Brzusczak, président de la Fédération nationale de l’industrie laitière (FNIL), pendant la table ronde que j’animais il y a un mois à l’ESA, L'Ecole supérieure des agricultures d’Angers, raisonnent encore : « Mais quelle filière laitière les éleveurs veulent-ils en France ? Veulent-ils au final une simple collecte de 11 milliards de litres de lait ? » !!! C’est à dire une collecte nationale tout simplement divisée par 2 par des laiteries très remontées contre l’actuel contexte de déprise de la production chez les éleveurs ! Ces propos raisonnent comme le coup d’envoi d’un jeu de Poker Menteur au travers duquel on constate que les industriels ont bien du mal à se faire une raison sur le fait que la baisse de la consommation de produits laitiers et de beurre-poudre en volume, en Europe et dans le monde, évolue bien moins vite que la déprise laitière chez les éleveurs…Les laiteries retardent donc le plus tard possible le moment auquel elles vont devoir sortir le carnet de chèques pour s’assurer des volumes…Quand on a bénéficié pendant 40 ans des volumes que l’on souhaitait à des prix que l’on fixait soi-même ou entre amis, il est difficile de se faire à une nouvelle donne laitière dans laquelle les rapports de force évoluent rapidement avec, in fine, un prix payé aux éleveurs en hausse….Sale temps pour certains industriels ? Non, un signe des temps afin que ces derniers évoluent enfin vers un rapport gagnant-gagnant avec leurs éleveurs. Il est grand temps maintenant …Le XXIème siècle est largement entamé ! Qu’en pense d’ailleurs Caroline Le Poultier Helleisen ? Fédération Nationale des Producteurs de Lait (FNPL) CNIEL Groupe Lactalis SAVENCIA Bel Danone SODIAAL Association des Producteurs de lait Bel de l'Ouest (APBO) France OP Lait Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire OP Les 3 Rivières AOP Sunlait COOPERATIVE EVEN Eureden La Coopération Agricole Laitière Les Maîtres Laitiers du Cotentin Les Producteurs laitiers du Canada Laïta FIDOCL INNOVAL L'Eleveur Laitier Groupe Réussir - L'information de l'Agriculture et de l'Alimentaire patrice moyon Jean Le Borgne BIOLAIT POPLAIT
Le Producteur est-il toujours pieds et poings liés face à sa laiterie ? Durant toute la période des quotas laitiers, l’éleveur est resté enchaîné à sa laiterie. Dans un contexte où le lait coulait à flot, les rares tentatives d’émancipation via des GIE de collecte ont toutes mal fini, à l’exception notable de Biolait sur un segment en croissance en escalier. Avec la contractualisation entre Organisations de producteurs et transformateurs, les lois Egalim, mais surtout le ralentissement de la croissance de la production, le rapport de force évolue. L’étincelle provient de l’étranger, des Pays-Bas d’abord. Très dynamique au sortir des quotas, le pays est rattrapé par des contraintes environnementales et climatiques qui pèsent sur la production. FrieslandCampina part à la recherche de nouveaux fournisseurs dans un rayon de 250 km, en Allemagne et Belgique. En réaction, la coopérative Milcobel part à son tour à la recherche d’éleveurs, notamment dans le Grand-Est et les Hauts de France. Objectif : trouver 100 Ml de lait. Pourtant, après avoir démarché directement une centaine d’exploitations et maintenu sa communication dans la presse agricole locale, le bilan est modeste : une vingtaine d’exploitations ont franchi le pas. De son côté, Eurial Ultra-frais (ex Sénagral, ex Senoble), par manque de débouchés, met un terme au contrat qui le lie à l’OP Oplase, exigeant une importante baisse des volumes collectés. L’Oplase crée une SA commerciale et va chercher 2 clients complémentaires pour 30% de ses volumes, en France et en Belgique. Puis, profitant de Novandie (groupe Andros) qui veut assurer son approvisionnement, une section de l’Oplase rejoint l’APLBC et la laiterie LSDH dans le Centre (30% aussi). Face à la menace de l’arrêt de collecte par Savencia, l’association d’OP Sunlait trouve auprès de Maîtres Laitiers du Cotentin un débouché pour 10% de ses volumes qui vont sécuriser l’appro de YéoFrais dans le sud de la France, tandis que certains producteurs inquiets rejoignent d’autres OP. L’association des producteurs de lait du bassin armoricain (APLBA) livre 20% du volume de Laïta par l’intermédiaire de deux laiteries, LNA et Silav dans les Côtes-d’Armor. Le conflit qui oppose les coopératives Even et Eureden empêche l’OP d’obtenir un accord-cadre. Résultat, des producteurs adhérents de l’APLBA sont partis chez Sodiaal. Les volumes de lait ont commencé à bouger au gré de rapports de force autour de négociations toujours plus tendues. Les volumes vont d’une OP à l’autre, d’une laiterie à l’autre, et les OP commerciales fleurissent. Et Lactalis annonce maintenant qu’il envisage de réduire de 10% sa collecte française à moyen terme pour mieux valoriser son lait en PGC. La tendance à la baisse de la collecte est-elle vraiment structurelle ? Comment vont réagir les transformateurs ? https://sco.lt/6711kW
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