Pour un nouveau Grenelle de la santé

STOP À LA MALTRAITANCE DES PATIENT(E)S ! Nombreux sont les patients qui m’ont raconté avoir été maltraités par des soignants , y compris durant des parcours obésité, dans des hôpitaux ou dans des cliniques. S’inscrire dans un parcours obésité, on ne le répétera jamais assez, demande un grand courage. J’insiste sur le fait que je ne remets jamais en cause la motivation des patients Mais je leur explique que, comme, un athlète inscrit aux Jeux olympiques, la motivation ne suffit pas. Il faut s’entraîner avec sérieux et détermination. Avec l’équipe multidisciplinaire , nous sommes, en quelque sorte, les coachs des malades. J’avoue être perplexe de savoir que, dans certains établissements, l’on « teste la volonté des patients ». On exige d’eux qu’ils perdent du poids avant d’être opérés, ce qui est malheureusement souvent très difficile et ne reflète pas forcément la qualité de la préparation. Cela ressemble à un double discours. D’un côté, on informe le patient qu’il n’est pas responsable de sa maladie, mais, de l’autre, s’il ne maigrit pas, on ne le soignera pas… Il faut des focaliser le Patient des kilos, mais lui permettre de mieux gérer les facteurs aggravant par l’éducation thérapeutique notamment Retrouvez mon livre dès à présent « l’obésité maladie du siècle » pour en découvrir plus

#Esanté25 : 👫 "La Soirée de la #Esanté" ... + de 500 acteurs de l'écosystème de la santé et de la Healthtech seront présents le 28 janvier 2025 à STATION F pour conclure notre 9ème édition Les "Grandes Tendances de la E-santé"... Et vous ? 💡 Avant de partir ce matin pour AI for Health, l'événement de référence sur l'Intelligence Artificielle en santé, j'ai le plaisir de vous annoncer que notre équipe Interaction Healthcare, après le succès de la précédente édition avec plus de 300 participants, renouvelle "la Soirée de la E-santé" qui viendra conclure de manière conviviale la 9ème de notre événement annuel "Les "Grandes Tendances de la E-santé" de Interaction Healthcare le mardi 28 janvier 2025 qui sera, comme pour #AIforHealth, à Station F, le plus grand campus de startups au monde. 🎯 Objectif de cette soirée 👉 Réunir tous les acteurs de l'écosystème de la santé et de la santé numérique (Associations de patients, professionnels de santé, acteurs publics, startups, industriels de la santé, structures d'accompagnement...)  pour échanger et imaginer ensemble l'avenir de ce secteur dynamique de la E-santé 🗣️Une keynote inspirante : Comme l'an dernier avec la passionnante intervention du Pr Jean-Emmanuel Bibault, Oncologue radiothérapeute et co-fondateur de la startup jaide, sur le thème "2041: Comment serons-nous soignés grâce à l'intelligence artificielle?", une nouvelle intervention est prévue que nous vous dévoilerons prochainement #Teasing 😉 🤝 Parce que nous sommes convaincus avec notre équipe Interaction Healthcare que la E-santé se co-construit avant tout avec les patient(e)s et les associations de patients, nous avons à coeur d'inviter plusieurs organisations pour partager leur vision sur l'impact de ces innovations technologiques au service de l'amélioration de la prise en charge des patients. Nous avions mis à l'honneur l'an dernier deux associations avec Gérard RAYMOND, Président de France Assos Santé et Damien Dubois, Président de l'association Aider à Aider, avec "Les patients S'ENGAGENT" 📲 Et bien sûr, nous aurons également le jeu interactif avec vos smartphones pour jouer en équipe sur le thème de la soirée! (Je sais que Pascal BECACHE, le grand gagnant l'an dernier, bosse déjà le sujet 😂) 🙌 Un grand merci à tous nos partenaires pour avoir permis ce succès de l'an dernier - AbbVie, Accenture France, AstraZeneca, Amazon Web Services (AWS), Banque des Territoires, Claranet, Digital Pharma Lab, Groupe BPCE - Banque Populaire, Kyowa Kirin Co., Ltd., Onepoint, OVHcloud, Philips, Sanofi, Superwyze, VIDAL ainsi que notre groupe SFP Expansion Group - et par avance aux nouveaux soutiens de cette année ainsi qu'à toute notre équipe Danielle Tanguy. Villedieu, Julie BONNET, Anne Durand, Nathalie DEJARDIN, Amelie PREVEL, Clément Cannic, Nicolas HAYES, Pierre-Henry CARCEL pour la préparation ! 📌 Pour participer à titre individuel ou être partenaire avec 8 places : https://lnkd.in/gBDhAKi7

Ne laissons pas la place à plus d’inégalité en santé. C’est dans ce but que nous interpelons l’ensemble des parlementaires. Le projet de loi voté le 30 octobre dernier visant à réduire le reste à charge des frais médicaux pour les femmes touchées par un cancer du sein ne respecte pas le principe d’égalité. S’il s’avère être une excellente nouvelle pour les femmes concernées, afin de respecter notre principe constitutionnel d’égalité, il doit l’être pour tous les malades souffrant d’une pathologie invalidante. Concernant les cancers de la tête et du cou, le reste à charge pour les patients va bien au-delà de la moyenne de 1 500 euros, mesurée récemment dans une enquête menée par France Assos Santé . Il s’agit de frais quotidiens pour palier aux séquelles fonctionnelles et esthétiques liées à la maladie et aux traitements nécessaires pour en guérir ou vivre avec. Les remboursements sont insuffisants parce qu’ils ne couvrent pas la totalité des besoins ou parce qu’ils sont calculés sur des montants insuffisants. La prise en charge est tout simplement inexistante pour certains produits ou dispositifs alors qu’ils sont nécessaires pour répondre à des besoins quotidiens comme ceux de s’exprimer, se nourrir, entendre, voir… respirer. Des soins nécessaires pour tout simplement continuer à vivre en gérant la douleur, qu’elle soit physique ou psychique. Mesdames, Messieurs les parlementaires, si vous souhaitez en savoir plus sur ces maladies pour comprendre la nécessité de faire évoluer ce projet de loi afin qu’il soit plus juste, je me tiens à votre disposition avec l’ensemble des représentants d’associations cosignataires de cette lettre ouverte, pour vous partager notre quotidien et celui des patientes et patients que nous représentons. Association Aïda Aider à Aider @ARTC Sud Association OSE Cancer Contribution CerHom Collectif Triplettes Roses Corasso ELLyE - Ensemble Leucémie Lymphomes Espoir Association Etincelle Association Etincelle Ile-de-France GPS CANCER IMAGYN JurisSanté La Niaque Association Laurette Fugain Association LIFE LYMPHO'SPORT NO TABOO 📢 Association ONCO-PARTAGE Patients en Réseau Dominique Thirry-Borg Charlotte Roffiaen Françoise Sellin Coralie Marjollet Eléonore Piot - de Villars Léa Moukanas Damien Dubois Sandra Doucene Laure Guéroult Accolas Audrey GARIBBO-SARKISSIAN  Sophie Caruso Aurore Goncalves Elyette Levy-Heisbourg Catherine Adler Tal Aurélie de la Motte Rouge Nathalie LAOUTI Assemblée nationale Sénat

Replacer la dimension humaine en priorité dans les soins La santé mentale , Grande Cause 2025.. et si on commençait par réviser les pratiques de la contention à l'hôpital ? alors que cet article du Parisien nous rappelle ces situations tristement banales : https://lnkd.in/e3839DZW Et si tous les efforts de déstigmatisation et de prévention risquaient de s'avérer vains si la prise en charge demeure aussi violente et inhumaine .. générant parfois plus de trauma que la pathologie initiale. Ne faut-il pas dire STOP à la Contention et entrer dans une dimension de soins pluriels, intégratifs et respectueux intégrant tous les acteurs du soins de façon pragmatique et décloisonnée notamment les médiateurs santé pair; les pair aidants; les IPA ... en psychiatrie en EHPAD en ESMS d'autres moyens existent ! marie-jeanne richard PASCAL MARIOTTI Estelle Saget Sarah Dumont Padrig MAHE Adrian Chaboche

Un super reportage à retrouver en intégralité sur Hospimedia ! Nicolas Desseaux, Médiateur de Santé-Pair au secteur 59G20 de l'EPSM Lille-Métropole Lille métropole y présente son travail au cœur du soin et de l'accompagnement en santé mentale.

Sur la scène de #CHAM2024, j’ai eu la chance d’échanger avec Sonia Tropé sur la manière dont l’engagement patient se structure et devient à la marge, à la pointe, un nouveau métier. Anne-Sophie TUSZYNSKI Jean-Philippe Plançon Dominique Thirry-Borg Jean-Philippe Alosi Aurore Dionnet Frederic Maillard Anne de Boismenu Nancy Cattan

Décloisonnement des soins, maillage territorial du social et du soin, plurisciplinarité au service de la qualité des soins… Autant de thématiques qui ont été abordées à l’occasion de la table ronde « Travailler ensemble pour mieux soigner ». Frédéric Pomykala, responsable du département prévention et éducation sanitaire et sociale à la @CCMSA, a évoqué les efforts menés vers les personnes en situation de fragilité dans une approche motivationnelle, au plus près des territoires. Grâce à l’action « Les instants santé », 70% des participants ont réintégré le parcours de soins, le « aller-vers » n’allant pas sans le « ramener vers ». Une même logique de proximité anime l’Association des Maires Ruraux de France - AMRF. « On est face à un vide certain, mais nous devons rendre des comptes à nos concitoyens. Alors qu'il nous faut trouver des solutions d’accompagnement concrètes, tout le monde a sa place dans le soin de proximité», a indiqué @Gilles Noël, vice-président de l’AMRF en charge de la santé. Regrettant un monde « où on travaille en silos notamment entre sanitaire et médico social», il a appelé à ce qu’une « notion de solidarité s’applique entre soignants, avec au moins une journée dévolue aux territoires sous-dotés ». De son côté, Olivier Rozaire, président de l’URPS Pharmaciens AuRA, est revenu sur le travail prospectif mené avec l'Observatoire régional de la santé (ORS) Auvergne Rhône Alpes répertoriant les pharmacies menacées dans le territoire. "On s'est habitué depuis quinze ans à la diminution du nombre de pharmacies. Commençons à nous intéresser à celles qui existent. » #interprofessionalité #CoordinationDesSoins #AccèsAuxSoins Sonia Tropé dominique maier Catherine Grenier Jean de Kervasdoué Benoit Mournet Stéphane de Vendeuvre (Le Masson) Vanessa Ralli

Si la santé mentale est sur toutes les lèvres depuis l’annonce de Michel Barnier d’en faire “la grande cause nationale de 2025 ”, la réalité des soins demeure très inégale et souvent dure. Ne pas répondre aux attentes immenses des patients et de leurs proches, le faire insuffisamment ou trop lentement, c’est accroître la maltraitance à leur égard. Afin de placer la #bientraitance au coeur du soin psychiatrique, PASCAL MARIOTTI, directeur du Centre Hospitalier Le Vinatier et président de l’AdESM, a émis trois propositions lors du colloque : - Clarifier les missions de l’hôpital psychiatrique pour réduire les mesures de contrainte, “l’hôpital ne pouvant être un lieu d’enfermement en cas de troubles à l’ordre public ni une alternative à la détention. Des solutions existent, à l’œuvre dans des pays voisins”. - Revoir l’accès aux soins et leur organisation territoriale avec de nouveaux modèles d’offre de soins. “Il faut oser penser et déployer des réponses de soins différentes, plus rapides, plus simples en amont de l’aigu”.  - Personnaliser l’ensemble des soins psychiatriques et développer les soins de réhabilitation psychosociale et de remédiation cognitive afin de les rendre accessibles à tous.                                      Pour marie-jeanne richard, ancienne présidente de l’Unafam, il faut en priorité en finir avec la pratique de la #contention hormis cas cliniques bien spécifiques. Le cadre juridique existe mais le geste perdure. “Plus que jamais ces pratiques doivent disparaître ! La contention avec ses conséquences notamment de choc traumatique doit être revue au profit d’autres méthodes. Elles existent et sont déjà adoptées”, a-t-elle souligné. #SantéMentale #psychiatrie Jean-Philippe Cavroy Jean-Christophe Leroy Olivier Rozaire Stéphane de Vendeuvre (Le Masson) Vanessa Ralli Damien Dubois @lin-k.fr

« Comment se fait-il que dans un domaine au cœur de l’humain, on manque d’humanité ? » La question du Dr Adrian Chaboche, médecin généraliste et psychothérapeute, a sous-tendu les échanges de la deuxième table ronde consacrée aux changements de pratique pour mieux soigner. Pour inverser cette tendance, un groupe de travail du collectif travaille depuis six mois sur la formalisation d’un label de bientraitance dans les cabinets médicaux. Le Dr Pascal Gleyze et Murielle SEVENNE, patiente partenaire en santé, ont présenté cette vision et cette démarche commune patient-soignant, qui reposera sur 7 critères, dont : - une éthique de l’accueil social des patients (proposer des créneaux pour les urgences) - une approche sensorielle dans la pratique médicale intégrant le regard et le toucher - l’optimisation de l’annonce du diagnostic, quel que soit son niveau de gravité - une démarche d’information des patients   - des ressources territoriales pour ne jamais lâcher le malade dans la nature. Une fois ce label officialisé, des modules de formation seront proposés aux soignants. En parallèle, un questionnaire a été élaboré à l’attention des patients, à relayer le plus largement possible afin de nous aider à faire des propositions efficaces. En revoici le lien : https://lnkd.in/gnY_PpxX  #SantéPublique #RelationMédicale #bientraitance Alain Olympie Isabelle Galichon marie-jeanne richard PASCAL MARIOTTI Claude Colas Antoine Watrelot Frédéric Le Guillou Olivier Rozaire Stéphane de Vendeuvre (Le Masson) Vanessa Ralli

Les constats de la première table ronde dédiée à la dégradation de la relation médicale sont sans appel. Le Dr Magali BRIANE, psychiatre addictologue et vice-présidente de l’Association SPS - Soins aux Professionnels de la Santé, a rappelé que 50 à 60 % d'entre eux présentent des syndromes de burn out et que 30% sont en dépression. Face à ce mal-être et à l’explosion du nombre d’arrêts de travail, la nécessité d’une révolution managériale et d’une formation au management de la santé a fait consensus. Bastien Bailleul, président de l'ISNAR-IMG - Syndicat des internes de Médecine Générale, a dévoilé les résultats de l’édition 2024 de l’enquête du syndicat sur la santé mentale des étudiants en médecine, internes et jeunes praticiens. Celle-ci souligne que plus des 2/3 d’entre eux présentent des symptômes anxieux et 1/3, des syndromes dépressifs. En réponse à ces souffrances partagées, des exemples vertueux ont été avancées. Guillaume Rousson, cofondateur et directeur scientifique d’EntendsMoi, a ainsi cité l’expérimentation Article 51 Equilibres, permettant un exercice du soin infirmier à domicile centré sur le patient et holistique. Une initiative aux impacts très positifs pour les soignants et les patients, qui rappelle l’évidence de l’humain au service du soin. #SantéMentale #dépression #BurnOut Mathieu Touzeil-Divina François Blanchardon Ségolène ROEMER Laurence Destrieux Damien Dubois Olivier Rozaire Lucile Pendarias Catherine CORNIBERT Vanessa Ralli