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La lettre d'un automobiliste wallon adressée à ses voisins bruxellois, posant une question : dans quel air grandiront nos enfants ?

Les épicéas, en Ardenne, c’est comme les poules ou les vaches dans une ferme : on s’attend à les voir dès que l’on tourne la tête. Pas étonnant : ils représentent 64 % du territoire boisé. Ça, c’est la réalité que l’on connait aujourd’hui et qui nous trompe habilement. En réalité, ces arbres-là n’ont pas 2 siècles de présence sur nos terres ! Remontez avant la naissance de Victor Hugo et vous ne verrez pas plus d’épicéas en Ardenne que d’Apple Store ou de trottinettes électriques.

J’habite au cœur de l’une des régions balayées par les pluies torrentielles des 14 et 15 juillet derniers, qui ont fait plus d’une trentaine de victimes et ébranlé des milliers d’habitations sur le sol belge. Pourtant, ma commune ne déplore aucune victime.

De l’essentiel dans le dérisoire à moins que ce ne soit l’inverse… Comme dans la vie peut-être. Sproutchlagrenouille est de retour à Bruxelles après plusieurs années passées à Kigali. Récit du retour à travers une journée si normale et si vertigineuse à la fois.

« N’étant expert en rien, je n’ai la prétention de n’établir aucun classement qui irait du meilleur au pire… » A lire ce billet, il semble que tout soit plutôt du côté « meilleur » ici, voici donc partagées quelques réjouissances de 2020 vues de la Belgique !

C’est une histoire de gin, de moutons et d’Indiens Jivaros de haute Amazonie. Elle se passe à quelques encablures de ma propre maison, dans une microscopique réserve naturelle, la Genévrière de Cour, en Wallonie.

Tanguy Wéra s’est engagé dans un projet collectif pour produire de la farine d’épeautre bio. Un projet de territoire résilient et porteur de sens, une très belle aventure.

Chaque histoire porte en elle une biodiversité d’itinéraires croisés et interdépendants. Le « je » n’a aucun sens.

Je vous propose de m'accompagner dans ma réflexion afin de trouver une manière d'expliquer à mes enfants l'inexplicable : le génocide des Tutsis.

La seule richesse qui compte, c’est celle, non-bancable, des rapports humains.

Mes enfants n'ont pas la "tête blonde" ni la "peau sujette aux coups de soleil faciles", mais ils sont Belges.

Tanguy a été élu échevin, adjoint au maire en Belgique. Mais depuis quelques temps, il se pose des questions sur le mode de scrutin... Peut-on vraiment parler de démocratie représentative ? Une chose est sûre : il se sent incapable de représenter l’ensemble de ses concitoyens !

La langue est un instrument politique. Celui qui définit la langue définit bien plus encore que le pouvoir : il définit qui parle et qui se tait, qui mérite d’être entendu et qui n’est bon qu’à susciter le rire, le mépris ou l’indignation.

Chacun lit à son tour, ils construisent ensemble le sens, corrigent un mot, une prononciation... On découvre des auteurs, des subtilités de lexique. On voyage d'une langue à l'autre, d'une culture à l'autre.

(–> Pour lire ou relire la première partie de ce récit, cliquez ici. ) Savoir quoi manger : un choix cornélien En Belgique, pour que nul ne puisse oublier qu’il a le choix ou le devoir de faire des choix alimentaires chaque jour, des brochures nous sont distribuées chaque semaine dans nos boîtes aux lettres avec les promotions de nos commerçants et les nouveaux produits.  Le tout agrémenté de recettes pour…

Des élèves dissipés, du bleu de bromothymol, un acide, une base, un prof, des compte-gouttes. Un beau cocktail pour une étrange vidéo de chimie.

En France, il faut voter. Comment tenter d'introduire le climat dans le deuxième tour de cette élection présidentielle ? À chaud.

Georges m'envoie une photo et me demande si ce gecko, figé depuis trois jours sur le mur de sa maison est mort et dans ce cas, pourquoi y reste-t-il collé ?