Retour sur #ICOMPrague2022

Retour sur #ICOMPrague2022

Tenter de réaliser une synthèse de quatre jours de conférences aussi denses que celles de l'ICOM est toujours un exercice périlleux et partial. Mon objectif à travers cet article est de percevoir (de manière inévitablement biaisée) les apports utiles des différents intervenants pour application au quotidien. Comme vous pourrez le constater, j'ai également complété certaines interventions avec ce que je peux glaner dans les différents webinars auxquels je participe tout au long de l'année.

Si j'avais un sentiment général sur cette 26ème conférence, c'est que tout reste à faire, les chantiers étant plus colossaux les uns que les autres dans le contexte actuel. Néanmoins l'apaisement apporté par le vote de la définition est une étape positive qui permet d'avancer de conserve (et si possible de concert !) pour aborder les prochains mois et années à venir.

Vous trouverez donc dans mon article Medium à lire ici: bit.ly/3QcZiwl

📍Un point sur ce qui est (déjà) reproché à la nouvelle définition

📍Ma perception sur certaines interventions majeures

📍Quelques pistes de réflexion pour les mois à venir

Bonne lecture et au plaisir de discuter certains points si vous le souhaitez.

Marion Carré

Présidente et co-fondatrice d'Ask Mona • Autrice • Conférencière • Enseignante - Forbes 30 Under 30 Europe - Chevalière de l'Ordre des Arts et des Lettres

2 ans

Un super compte-rendu qui va même au-delà en apportant beaucoup de contexte aux prises de parole ! 🙂

Sarah Hugounenq

Spécialiste mécénat - gestion et économie des institutions patrimoniales - politique culturelle

2 ans

Merci beaucoup Elisabeth Gravil-Gilbert pour embrasser pour nous avec ton esprit toujours aussi synthétique de si vastes débats. Ton compte-rendu est aussi efficace que circonstancié et a le mérite de donner matiére à réflexion. Plusieurs points soulevés par diverses personnalités et dont tu fais état m'ont surpris. Certe, cette définition (comme toute définition) n'est pas parfaite. 1.Le doute émis par certains sur le maintien du caractère non-lucratif du musée est inquiétant. Pourquoi auto-suffisance (loin d'être atteinte même par les plus gros porteurs) rimerait-elle avec lucrativité? 2.Un musée est-il par définition une institution qui restitue ou une institution en charge de protéger nos mémoires? Il ne faudrait pas confondre définition et moyen de remplir cette dite-définition. Inscrire les enjeux de restitution (aussi nécessaires soient-ils) dans la définition du musée me semble très hasardeux. /1

Merci Elisabeth Gravil-Gilbert pour ce « meta point de vue » critique et tout en nuances ! Dans un monde complexe, il va falloir que nous apprenions à vivre avec des contradictions comme nous l’apprend Edgar Morin : expérimenter dans le metaverse / accélérer notre décarbonation, avoir plus d’ambition pour toucher les scolaires / développer nos ressources propres, développer les expériences numériques / faire de nos lieux des espaces d’échange et de respiration… accepter de ne pas avoir de réponses toutes faites, expérimenter et partager vraiment nos retours d’expérience sans avoir peur de l’échec …

Patrick Bergeot

Directeur de projets dans la culture et la formation, Innovation, Médiation numérique, Transformation numérique, Production de contenus, Conduite du changement, PMO, Conseil, AMOA

2 ans

Bel article qui résume les différents enjeux d'aujourd'hui ! Merci Elisabeth.

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