Post de Ville de Trouville-sur-Mer - Calvados

Note sur l'auteure S. Saqué, son essai "Résister" et les Young Leaders : « Oui, je pose avec des Young Leaders. Oui, depuis qu'ils sont là, ils font mécaniquement monter la division et la droite dite extrême en France. Pour le reste, achète mon livre et résiste. » Ce n'est pas une déclaration de foi. C'est un constat entre guillemets. On parle de la séance de pose de l'auteure avec François Hollande, le suicideur du socialisme français (Nouvel Obs, 21 mars 2024). Pas encore de pose connue avec Macron, à ce jour. Et pour cause, l'auteure dénonce elle-même le jeu de Macron avec l'extrême droite sur TikTok... C'est compliqué. D'ailleurs Macron et ses réseaux n'attendent qu'une chose après avoir enterré la potentielle Première ministre de gauche Lucie Castets (NFP) : trouver des supports ou des volontaires pour exarcerber encore plus les tensions entre les gauchistes et l'autre versant politique, celui de la droite dite extrême. Vous avez dit, diviser ?... Donc, coïencidence ou pas, dans tous les cas l'auteure et (ou) l'éditeur font (entre les lignes) les affaires de Macron. Lequel cumule actuellement 78 % d'opinion défavorable en France... Le bordel que les banquiers, leurs réseaux et leurs chers élus en costard arrivent à injecter dans la vie politique des démocraties devient extrême. Young Leader est le réseau américain par lequel les deux derniers présidents français ont transité. Pour se glisser dans la peau de l'un d'eux (célèbre), un premier contact via ce documentaire d'OFFINVESTIGATION (auto-financé évidemment) : https://lnkd.in/dp8XEEcQ

📢 Les Défricheurs de la rentrée littéraire font leur grand retour pour leur 3ème édition. Trois ans déjà que vit cette initiative lancée par Edelweiss et qui donne la parole aux librairies indépendantes et les invite à établir un palmarès des 10 romans qui marquent la rentrée littéraire. Menés en partenariat avec le Syndicat de la librairie française depuis son leur lancement, les Défricheurs sont pour la première fois accompagnés aussi de KAMAEL (leslibraires.fr) pour cette nouvelle édition. Défricheurs, faisons en sorte de porter encore plus loin la voix de chaque libraire francophone pour cette nouvelle rentrée littéraire ! Diffusons la soif de partage, attisons la curiosité, cultivons le goût de lire auprès de tous les publics et défendons les autrices, auteurs et maisons d'éditions que nous aimons. Plus nombreux seront les votes, plus loin portera la voix des libraires indépendants. L'an dernier, plus de 1000 votes ont été recueillis à l'occasion des Défricheurs. ▶ Comment participer aux Défricheurs ? C'est tout simple, il suffit de voter pour vos titres préférés depuis la liste collaborative "Défricheurs de la rentrée littéraire" depuis la Communauté Edelweiss ! 💡 Pas encore de compte Edelweiss ? Contactez-nous ! #formation #librairie #edelweissfrance #défricheursdelarentréelittéraire #rentréelittéraire #slf #kamael

Voici un point clair et précis sur la profession. Même si chaque librairie est un cas particulier. 👍✊️

Laissez entrer la lumière! La Porte de côté: la voie idéale pour libérer le meilleur de vous-même. Rejoignez-moi le 31 mai au Centre créatif Hudson de 17h à 19h pour une célébration, et faites signer votre copie de La Porte de côté. Inscrivez-vous pour recevoir mon infolettre; vous serez le premier ou la première à apprendre les bonnes nouvelles à suivre! 🚪 #auteur #auteurquebecois #livrequebecois #mtl #montreal #montrealauthor #quebecauthor #canadianauthor #booklaunch #personaldevelopementbook

#Edition #Edition Thierry Marx et Julien Hervieux inaugurent des “Dictionnaires jubilatoires”: HarperCollins France annonce la sortie, fin octobre 2024, d’une nouvelle collection de non-fiction intitulée « Les Dictionnaires jubilatoires ». Chaque… @ActuaLitte

Encore une polémique dont le monde de l'édition a le secret ! Doit-on autoriser la publicité pour le livre à la télévision ? Le Syndicat national de l'édition (qui, rappelons-le, ne représente pas l'ensemble des éditeurs, mais seulement ses adhérents), demande l'abrogation d'un décret pris le 6 avril par une Rachida Dati soupçonnée de vouloir ainsi réaliser le rêve de Nicolas Sarkozy et favoriser le groupe Bolloré, le seul à posséder à la fois un groupe d'édition (Hachette) et des chaînes de télévision. Bien sûr, le Monde et Télérama sont d'accord. Sur le fond, les professionnels de la profession s'offusquent d'une mesure qui renforcerait la "best-sellerisation" et nuirait à la "diversité éditoriale". Une fois de plus, il faut rappeler quelques réalités : le monde du livre adore les best-sellers, et l'ensemble de la chaîne en bénéficie. Éditeurs, distributeurs et libraires gagnent beaucoup plus d'argent avec un livre à 100 000 qu'avec 10 livres à 10 000 exemplaires. Antoine Gallimard est d'ailleurs le premier à dire que 90% de sa production n'est pas rentable, et que les 10% qui le sont (grâce aux gros tirages) permettent de financer la fameuse diversité éditoriale. Mais comme Gallimard, grâce au prestige dont bénéficie la marque dans les librairies et les médias, n'a pas besoin de publicité pour bénéficier d'une exposition maximale, on comprend pourquoi son patron souhaite empêcher ses concurrents d'y recourir. Mais je suis mauvaise langue... Au fait, XO a déjà lancé une campagne télé pour le dernier Bernard Minier, alors que le patron du groupe Editis, Denis Olivennes, se dit lui aussi opposé à cette horrible pratique mercantile. Oubli ou manque d'autorité ? Laissez-moi deviner... Si Bernard Minier vend 100 000 ex de plus que d'habitude grâce à ce spot, personne ne s'en plaindra, surtout pas son éditeur. Le livre n'a-t-il pas besoin de nouveaux lecteurs ? Alors, votre avis ? La pub télé fera-t-elle croître le marché, ou va-t-elle juste le redistribuer ?

Vivement conseillé

Depuis plus de trois décennies, la publicité télévisée pour les livres en France est un sujet clos, interdit par consensus. Cependant, un récent décret expérimental proposé par la ministre de la Culture, Rachida Dati, a suscité des réactions mitigées au sein de l'industrie éditoriale, notamment de la part d'Antoine Gallimard, président de Madrigall, et de Denis Olivennes, président non-exécutif d'Editis. Antoine Gallimard craint une menace pour la diversité éditoriale due à une visibilité accrue pour seulement quelques titres. Il préconise le retrait du décret et appelle à une réflexion apaisée pour préserver la pluralité du marché des livres. La députée Aurore Berger, à l'origine du décret, avait auparavant suggéré une augmentation des émissions littéraires sur les chaînes publiques, une idée soutenue par le secteur. Cependant, l'étude du Syndicat national de l'édition de 2008 indique une diminution des émissions dédiées au livre, malgré les 338 heures consacrées à la promotion des livres en 2007-2008. L'exemple du succès des émissions littéraires aux États-Unis, comme celle d'Oprah Winfrey, soulève la question du potentiel d'un tel format en France. François Busnel et son émission "La Grande Librairie" illustrent le pouvoir prescripteur de ce type de programme, bien que les producteurs se questionnent sur la viabilité financière en l'absence de revenus publicitaires. La pétition de novembre 2019, signée par l'ensemble de l'édition, réclamait davantage d'émissions littéraires à la télévision, reflétant la déception face à la réduction des programmes dédiés sur les chaînes publiques. Denis Olivennes rejoint Antoine Gallimard dans ses réserves, pointant le risque d'une concentration accrue du marché sur les best-sellers, au détriment de la diversité. Il suggère plutôt d'investir dans des programmes télévisuels qui encouragent la lecture pour tous. Le décret soulève également des préoccupations concernant les relations entre auteurs et éditeurs, avec la crainte que les investissements publicitaires ne soient rentables que pour les auteurs à succès, creusant un écart financier et mettant en péril les petites maisons d'édition.Les acteurs du secteur craignent une distorsion du marché, favorisée par la puissance financière de grands groupes comme Vivendi.

➡️ Le calendrier des grands prix d’automne 2024 🔎 La rentrée littéraire, forte de 459 romans cette année, sera comme de coutume jalonnée des sélections des grands prix d’automne avant leur proclamation autour de la Toussaint. Voici le calendrier des dates importantes pour ce millésime 2024. #prixlitteraire #calendrier