💬 "Quand on m'a parlé de Terres en villes, j'ai tout de suite identifié l'intérêt de travailler #ensemble et non chacun avec son point de vue". C'est le témoignage que #LaurentDuval, co-président du réseau, a porté devant les #100 présidents de Chambres d'agriculture réunis en session aujourd'hui. 💬 "Nos deux mondes se ressemblent énormément : nous sommes saturés de normes". Un des rôles de Terres en villes est d'agir localement plutôt de se laisser imposer des règles nationales : magasins de producteurs ou cellule de veille foncière conjointe à Lorient Agglomération, filières bœuf des basses vallées angevines en @chambre d'agricuture des Pays de la Loire par exemple. ❗️Mais tout n'est pas toujours évident et certains sujets #divisent les représentants du monde agricole et les élus urbains. 💬 "Avec Terres en villes, on arrive à #discuter de sujets cruciaux pour les deux parties : eau, énergie, filières, à porter ensemble une parole nationale pour #financer les politiques alimentaires locales, les #PAT en particulier. 🔆 Que conclure des échanges ? ✅️ Travailler sur des projets #concrets et y gagner un lien de #confiance qui permet ensuite de désamorcer les tensions ✅️Faire en sorte que la #souveraineté soit effective sur nos territoires Mais c'est François Beaupere qui conclue encore le mieux : "On recrée des lieux de débat".
Post de Terres en villes
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#débat #tchak17 #auboulotlespolitiques Les pouvoirs publics (communes, CPAS, etc) peuvent-ils imposer un type de culture et des pratiques sur leurs terres agricoles ? 📌 Quatre avis extraits de notre #boulot2, dont le monde politique pourrait s'emparer : stopper la privatisation des terres agricoles publiques. Avec Marianne Streel (Fédération Wallonne de l'Agriculture - FWA); Astrid Ayral (FUGEA); Françoise Ansay (Terre-en-vue asbl) et Manu Eggen (FIAN Belgium). Et vous, vous en pensez quoi ? ➡️ Bifurquer vers un monde plus robuste est possible, à condition que les politiques prennent le relais... C'est ce qu'on vous raconte dans le nouveau numéro de Tchak ; un spécial élections dans lequel nous explorons neuf boulots pour les politiques. Plus d'infos dans le post à la une de cette page. . . . #alimentation #agriculture #agriculturebio #agriculturebiologique #alimentation #supermarchés #bistro #resto #restaurant #cuisinedecollectivité #grandedistribution #santé #économie #société #environnement #transition #biodiversité #justicesociale #circuitcourt #relocalisation #onmarchesurlatete #media #presse #slowpress #enquête #décryptage #reportage #élections #élections2024
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🌳 Alerte sur l’avenir des haies : une réduction budgétaire qui menace tout un écosystème ! 🌳 Le Projet de Loi de Finances 2025 prévoit une coupe massive de 72% des crédits alloués au Pacte en faveur de la haie. Le budget passerait de 110 millions d’euros à seulement 30 millions, mettant en danger les efforts déployés depuis plus d’un an sur le terrain. ❗ Pourquoi c’est grave ? Ces haies sont des remparts contre le réchauffement climatique, favorisent la biodiversité et renforcent la résilience de nos systèmes agricoles. Si cette coupe budgétaire est votée, c’est toute une dynamique locale qui est mise en péril, touchant des milliers d'agriculteurs et des acteurs engagés pour la préservation et la gestion durable de ces haies. 🔧 Chez Planteurs, nous produisons des plants agroforestiers sous le référentiel Végétal Local, garantissant une provenance locale et adaptée à nos territoires (https://lnkd.in/eKEXxtWE). Cette réduction budgétaire compromet aussi l'accès à ces ressources essentielles pour reconstituer les paysages bocagers et assurer leur durabilité. 💪 Comment se mobiliser : - Interpellez vos députés pour demander le maintien du budget du Pacte pour la haie. L'Afac-Agroforesteries a mis à disposition un modèle de mail ➡️ https://lnkd.in/ecuQ6JU9 - Signez la pétition d'Agir pour l’Environnement pour alerter le ministère de l’écologie ➡️ https://lnkd.in/gEkSC4Z9 - Soutenez notre travail de production de plants locaux et agroforestiers en nous aidant à maintenir cette ressource précieuse pour les années à venir ➡️ https://www.planteurs.org/ - Soutenez ou intégrez le réseau Afac-Agroforesteries ➡️ https://lnkd.in/eFfzb5RG L’avenir des haies est entre nos mains. Mobilisons-nous. 🌱 #Pacteenfaveurdelahaie #plantonsdeshaies #vegetallocallabel #climat #biodiversite #agroforesterie #mobilisation
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le foncier est un des problèmes de la transmission des fermes. La nécessité de ne plus perdre de ferme sur le territoire DOIT DEVENIR UNE OBLIGATION MORALE ET JURIDICO-ADMINISTRATIVE cette obligation de ne plus démanteler une ferme de conserver l'ensemble du foncier de celle ci doivent être transférée aux collectivités territoriales avec portage par les SAFER . Nous n'avons plus le droit de perdre une seule ferme en France , nous sommes aujourd'hui importateur de produits agricoles (avec des produits ne répondant pas a nos normes qualitatives et d'hygiène absence de mesures miroirs et de contrôle au frontières) en plus de l'artificialisation massive de nos sols , une autre partie part en FRICHES lors d'agrandissement suite a arrêt de l'exploitant Changeons notre méthode pour établir les projets d'installations , CESSONS IMMEDIATEMENT d'établir les études prévisionnelles d'installation en partant de la dernière ligne pour faire plaisir au banquier , changeons notre regard , notre façon de voir l'agriculture de demain , nous sommes en 2024 plus en 1950 .Nous devons raisonner dans un monde ou nous avons l'OBLIGATION de prévoir des garanties dans la durée aux nouveaux exploitants pour garantir en France un accès a notre alimentation
Si on dresse le tableau à gros traits : entre 50 000 et 60 000 hectares sont transformés chaque année. Soit « une surface équivalente à la capacité de nourrir une ville comme le Havre ». Nos sols meurent, ne stockent plus autant de carbone et ne retiennent plus l’eau. La spéculation explose sur le foncier agricole avec 10% des fermes désormais financiarisées, la concentration des exploitations a continué de s’intensifier ces dernières années, quand le renouvellement des générations paysannes semble bloqué et qu’une seule ferme sur trois est encore transmise à un repreneur. En 50 ans, le nombre d’exploitations agricoles a diminué de 76 %, tandis que leur surface moyenne était multipliée par 3,6. Le problème de ces gros traits, c’est qu’on n’a pas de gomme pour les effacer : « Quand on imperméabilise un sol, il n’y a pas de retour en arrière possible ». Au total, entre 1970 et 2020, quelque trois millions d’hectares de terres agricoles ont été grignotés — soit l’équivalent de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces gros traits que j’ai esquissé, le quotidien de la FNSAFER, qui assure la transparence des marchés fonciers ruraux et qui veille sur les transactions foncières agricoles, sur lesquelles elles avez systématiquement un droit de préemption. Mais ça, ce sont les gros traits : et comme souvent, ce sont les plus petites lignes qui sont importantes. Si c’est bien elles qui peuvent décider de l’attribution des terres agricoles, les SAFER n’ont plus la main dès lors que celles-ci sont détenues par des sociétés agricoles qui cèdent leurs parts, ou lorsque les communes décident d’un changement de PLU. On estime aujourd’hui qu’un hectare sur trois échappe au contrôle des SAFER. Oui, décider de qui exploite le foncier et comment, c’est aussi décider de notre modèle agricole et alimentaire, et de notre capacité à faire face au péril climatique ! 🌎⚠️ Ma question au Président de la FNSAFER aujourd'hui en Commission Développement durable et aménagement du territoire ⤵️
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[les PAT ont besoin de se fédérér] je partipais le 8 novembre à la rencontre annuelle Terres en villes. à Douai 👉le programme TETRAA de la Fondation Daniel et Nina Carasso animé par agroparistech a présenté ses résultats avec un focus sur les partenariats des territoires PAT avec le monde économique en s’appuyant sur les résultats de l’étude d’ECOZEPT 👉une table ronde a présenté les actions d’acteurs économiques du territoire de Douaisis Agglo et de la Métropole Européenne de Lille (MEL) avec des acteurs engagés 👉Bravo à ces 2 PAT pour la pertinence de leurs actions et merci pour la chaleur de leur accueil 👉l’occasion de partager des messages : 🌱la reconnaissance officielle d’une compétence alimentation pour les collectivités est nécessaire 🌱les nouveaux financements des PAT sont très en-dessous des annonces et des besoins 🌱les développeurs économiques des EPCI doivent être formés aux enjeux des politiques alimentaires durables sur les territoires 🌱Terres en ville fédère utilement les PAT de 25 grandes agglomérations et des chambres d’agriculture … mais une évolution rapide fait qu’il y a maintenant plus de 450 PAT de toutes tailles et sur des territoires ruraux péri urbains et urbains 🌱Face a l’intérêt et à la réussite de ce dispositif des PAT il est temps je pense de créer un réseau de l’ensemble des PAT pour échanger sur nos pratiques et solidairement solliciter des moyens à l’état et à l’europe pour faire vivre nos politiques alimentaires durables dans nos territoires avec l’ensemble des acteurs. On a commencé à en parler de manière informelle et il nous faut poursuivre la réflexion
🔴 🟡 [RENCONTRES] Se retrouver, quel plaisir ! De quoi avons-nous parlé lors des rencontres annuelles Terres en villes à 📍 Lille et 📍 Douai ? 1️⃣ Nos territoires hôtes : deux très beaux PAT ! #JeanFrançoisLegrand, VP Métropole Européenne de Lille (MEL) : « Notre métropole est la première métropole agricole de France. L’agriculture est un secteur économique à part entière que nous voulons soutenir de la fourche à la fourchette ». 🚨 Mesure phare : la métropole accorde, sur des terres qu’elle possède, des baux ruraux avec un prix dégressif selon la vertu de la pratique agricole. Ces baux protègent les zones de captage. #JeanLucHallé, VP Douaisis Agglo : « notre territoire est marqué par une forte #précarité, 21%. Nous prenons nos responsabilités pour faciliter l’accès à une alimentation saine et de qualité. Par ailleurs, pour accélérer la #relocalisation et créer de la valeur sur le territoire, nous prévoyons de financer un outil de transformation ». 🚨 Mesure phare : l’agglomération octroie depuis le Covid 400€ de remboursement aux restaurateurs qui achètent des produits locaux (500€ s’ils sont bio). 2️⃣ Assemblée générale De Castanet (31) à Besançon (25), plus de 40 membres de l’association se sont retrouvées à Lille pour l’assemblée. Deux nouveaux adhérents se sont présentés : Métropole Aix-Marseille-Provence avec Laure Gaillard et @Laurence Maignan Chambre d'agriculture de l'Yonne avec Lucile Hammou #Financements des PAT : les co-présidents ont écrit à la nouvelle #ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté pour demander un appui nettement plus conséquent que les 10 millions prévus au projet de loi de finances 2025 et une évaluation plus à l’écoute. #Bilan de l’année 2024 : 15 fiches de capitalisation, 4 webinaires, 5 rencontres régionales sur des thématiques telles que « ZAP et PEAN » ou « MIN et politiques alimentaires ». Une année riche ! #Débat général : Terres en villes en 2027, doit-elle aller vers un profil institutionnel, un profil expert, un profil engagé dans la transition ? 3️⃣ Séminaire Incubateur d’Euralimentaire : Pierre-Louis Robillard consacre ses journées à faire émerger les start up de l’alimentation. LeCourtCircuit.fr : une solution de drive fermier de produits de Hauts-de-France, en bio et en conventionnel. 1,2 millions d’euros achetés en 2023. Franck BARBRY présente Saveurs en'Or et défend la capacité de la grande distribution à promouvoir les produits locaux dans ses rayons Un séminaire dans le Campus Wagnonville (EPL de Douai)
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Quand l’agriculture s’enracine dans les villes L’autosuffisance alimentaire est encore très faible dans la majorité des grandes villes françaises (en moyenne à peine 2 % de produits agricoles locaux consommés sur place). Ce constat d’une incapacité des villes à nourrir ses habitants a beaucoup servi la récente euphorie politique de la ville cultivée. Quelle métropole n’a pas encore lancé son "PAT", Projet Alimentaire Territorial ? Voilà donc une agriculture qui trouve aujourd’hui sa place dans les quartiers d’habitat collectif. Et ce n’est pas une illusion. Pour preuve, 70 % des projets lauréats du programme « Les Quartiers Fertiles » de l'ANRU - Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine concernent des espaces de pleine terre (délaissés urbains, friches ou morceaux de parcs) et ont, malgré leur taille réduite, une visée productive claire, en maraîchage notamment. Mais aujourd’hui, l’agriculture urbaine a besoin de reconnaissance et d’un vrai statut. Si elle doit s’installer dans les villes, ce n’est pas seulement pour être la caution verte d’un projet ni servir de compensation au calcul du #ZAN. Sa vocation n’est pas seulement nourricière. En générant du commun et en facilitant la reconnexion des citadins au vivant, l’agriculture urbaine promet, pour demain, une nouvelle manière d’habiter et de vivre la ville. Un article à lire dans le dernier numéro d'Objectif Métropoles de France avec Nicolas LE ROUX, Lucile Delorme, Jean-Jacques Bolzan de Toulouse Métropole, Patricia SUARD et Silvère Guérin de Tours Métropole Val de Loire. Illustration : Martin Etienne https://martinetienne.com
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Si on dresse le tableau à gros traits : entre 50 000 et 60 000 hectares sont transformés chaque année. Soit « une surface équivalente à la capacité de nourrir une ville comme le Havre ». Nos sols meurent, ne stockent plus autant de carbone et ne retiennent plus l’eau. La spéculation explose sur le foncier agricole avec 10% des fermes désormais financiarisées, la concentration des exploitations a continué de s’intensifier ces dernières années, quand le renouvellement des générations paysannes semble bloqué et qu’une seule ferme sur trois est encore transmise à un repreneur. En 50 ans, le nombre d’exploitations agricoles a diminué de 76 %, tandis que leur surface moyenne était multipliée par 3,6. Le problème de ces gros traits, c’est qu’on n’a pas de gomme pour les effacer : « Quand on imperméabilise un sol, il n’y a pas de retour en arrière possible ». Au total, entre 1970 et 2020, quelque trois millions d’hectares de terres agricoles ont été grignotés — soit l’équivalent de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces gros traits que j’ai esquissé, le quotidien de la FNSAFER, qui assure la transparence des marchés fonciers ruraux et qui veille sur les transactions foncières agricoles, sur lesquelles elles avez systématiquement un droit de préemption. Mais ça, ce sont les gros traits : et comme souvent, ce sont les plus petites lignes qui sont importantes. Si c’est bien elles qui peuvent décider de l’attribution des terres agricoles, les SAFER n’ont plus la main dès lors que celles-ci sont détenues par des sociétés agricoles qui cèdent leurs parts, ou lorsque les communes décident d’un changement de PLU. On estime aujourd’hui qu’un hectare sur trois échappe au contrôle des SAFER. Oui, décider de qui exploite le foncier et comment, c’est aussi décider de notre modèle agricole et alimentaire, et de notre capacité à faire face au péril climatique ! 🌎⚠️ Ma question au Président de la FNSAFER aujourd'hui en Commission Développement durable et aménagement du territoire ⤵️
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Chers élues, chères élus, Connaissez-vous l'agriculture urbaine ? C'est un secteur qui représente 1 400 emplois en Île-de-France, mais aussi plus de 190 hectares cultivés, soit l’équivalent de 270 terrains de football ! L’agriculture urbaine présente de nombreux bénéfices : - Sur le plan social, elle crée des espaces de partage, d’échange et de solidarité entre habitants, améliore le cadre de vie. - Sur le plan économique, elle génère des emplois locaux, favorise le développement de circuits courts, renforce la sécurité alimentaire. - Sur le plan éducatif, elle permet une meilleure compréhension du métier d’agriculteur, participe au renouvellement des générations d’agriculteurs. - Sur le plan environnemental, elle embellit la ville, contribue à réduire l’empreinte carbone, améliore la qualité de l’air et participe à la préservation de la biodiversité. Si vous êtes un (une) élu(e) et que vous souhaitez en savoir davantage sur l'agriculture urbaine, nous vous donnons rendez-vous lundi prochain de 17h à 18h pour un webinaire, en compagnie des experts de l'AFAUP - Association Française d'Agriculture Urbaine Professionnelle, mais aussi de Mohamed GNABALY, Maire de l'Île-Saint-Denis qui nous livrera son témoignage. Pour participer à ce webinaire, il vous suffit de : 1️⃣ Vous inscrire au réseau "Elus pour agir" en Île-de-France : https://lnkd.in/ewf7EEBz 2️⃣ Vous rendre sur la plateforme collaborative dédiée au réseau et vous inscrire au webinaire : https://lnkd.in/ePKeMnj5 Et si vous souhaitez en savoir plus sur le réseau "Elus pour Agir" animé par l'ADEME, c'est ici! 👇 https://lnkd.in/eFeg8DbS #ADEMEIDF #TeamADEME #agriculture #ElusPourAgir Claire PEYET FEBRER Manon Estival Valérie JOUVIN philippe moinat ADEME RÉFAUR - Réseau Francilien des Agricultures Urbaines Clémentine Decroix Anne-Cécile Daniel
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🌿 [𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟𝗟𝗘 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 : 𝗭𝗔𝗡 𝗲𝘁 𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗩𝗮𝗿 ] 🌾 Le Var compte 78 000 ha de terres agricoles qu'il faut préserver de l'artificialisation des sols. Pourtant, préserver ne signifie pas toujours valoriser. Et pour mettre en valeur ces terres, le Var compte 4 400 exploitations, avec des hommes, des femmes, des bêtes (parfois), des équipements et le plus souvent… des bâtiments agricoles, qui, eux-aussi, artificialisent les terres agricoles. 🚜 La loi « Climat et résilience » de 2021 et ses compléments visent le « zéro artificialisation nette » (ZAN) d'ici 2050, plaçant la préservation des terres agricoles au cœur des débats. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗹𝗲 𝗭𝗔𝗡 𝘀𝗼𝘂𝗹𝗲̀𝘃𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹'𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲 : 𝗾𝘂𝗲𝗹𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁𝘀 𝗽𝗼𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀 ? 𝗤𝘂𝗲 𝘀𝗶𝗴𝗻𝗶𝗳𝗶𝗲 "𝗲𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲 𝗮𝗿𝘁𝗶𝗳𝗶𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́" 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹'𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲 ? 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗴𝗲́𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗱’𝘂𝘀𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲𝘀 ? Cette publication entend apporter un éclairage sur les grands principes du ZAN et identifier les principaux enjeux sous-tendus par son application sur les espaces et l’activité agricoles. 🔗 https://lnkd.in/enB7epyE #Agriculture #ZéroArtificialisationNette #PréservationDesTerres Cécile MEZGER Delphine Colleoni Laurent Pinon Alexandre Telliez-Moreni Fanny Alibert Brigitte Vautrin Laurent Boulet Karine Pascal-Suisse Laurent Pericat Marie Amedro Coraline BONNET Morgane MENDES Eva Parus Azza CHALLOUF-AUBARD Sylvie Lartigue Benmamar Julien Cédric Bazet-Simoni claire accossano
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🌱 L’agriculture urbaine : une clé de la transition écologique et sociale 🌍 A l’initiative du RÉFAUR - Réseau Francilien des Agricultures Urbaines, soutenu dans ses actions par l’ADEME, l'agriculture urbaine se structure et poursuit son développement en Île-de-France. 🧑🌾🏙️ Non seulement cette dynamique permet de relocaliser la production alimentaire et de renforcer les liens sociaux, mais elle contribue aussi à la transition écologique en réduisant les émissions et en favorisant la biodiversité. 🌿🍎 En Île-de-France, l’agriculture urbaine représente aujourd’hui 1100 emplois sur plus de 1600 projets ; 190 hectares sont désormais cultivés, soit l’équivalent de 270 terrains de football ! Il est temps que nos politiques publiques soutiennent davantage cette évolution des territoires urbains qui conjugue production durable, justice sociale et protection de l’environnement ! 🌾🤝 👉 Découvrez dans l’article ci-dessous tous les bénéfices de l’agriculture urbaine et comment l’AFAUP participe à sa professionnalisation💡 RÉFAUR - Réseau Francilien des Agricultures Urbaines • ADEME • Ville de Paris • Métropole du Grand Paris • Préfecture de la région d’Île-de-France • DRIEAT Île-de-France • Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire • Ministère Écologie Territoires #AgricultureUrbaine #AgricultureDurable #TransitionEcologique #ÎledeFrance
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🌿🌲 Enjeux forestiers européens : une lecture indispensable pour les candidats aux élections européennes. 🇪🇺 À l'occasion des élections européennes qui se dérouleront ce dimanche 9 juin, la filière forêt bois via @FranceBoisForêt a édité un document qui permet de sensibiliser les candidats à cette élection sur les défis et enjeux que doit relever la filière forêt-bois. 📗 Elle présente 20 propositions aux eurodéputés, qui s’articulent autour de 3 grands axes, pour une politique forestière pérenne à l’échelon de l’Union Européenne : 🌳 Adapter les forêts de manière dynamique pour faire face au changement climatique et préserver la multifonctionnalité des peuplements forestiers 🌳 Soutenir la compétitivité des entreprises de la filière forêt-bois et développer les usages du bois, pour décarboner notre économie et garantir une souveraineté européenne 🌳 Reconnaître à sa juste valeur la fonction sociale de la forêt pour rapprocher les citoyens de la filière forêt-bois et associer réellement les professionnels du secteur à l'élaboration des politiques publiques. Retrouvez le document juste ici 👉 https://buff.ly/4bN4fYh #LaForêtEnsemble
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