Encore une belle initiative de l'U2R - Union des réalisatrices et réalisateurs Syndicat, je co-signe une tribune Le Nouvel Obs afin de mieux valoriser notre patrimoine audiovisuel ! Nous regrettons que la quasi-totalité de nos films soit inaccessible au grand public bien que souvent financés grâce à la redevance et au Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC). Nous, réalisatrices, réalisateurs et scénaristes, sommes convaincus qu’il y a la place pour l’émergence d’une plateforme #numérique dédiée permettant de réunir un maximum de ces œuvres et de les rendre accessibles au plus grand nombre. Nous l’appelons même de nos vœux. Le coût de déploiement d’un tel service de médias audiovisuels à la demande (#SMAD) n’est aujourd’hui plus un frein. Il n’y a pas de fatalité à laisser perdurer un trou noir dans lequel une partie de notre patrimoine culturel est actuellement ensevelie. À suivre... https://lnkd.in/e29NuWXC
Post de Stéphanie Sphyras
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[#Culture] Une nouvelle convention de coopération pour le cinéma et l’image animée Objectif : poursuivre et développer la dynamique partenariale de soutien apporté au cinéma et à l’audiovisuel. Adoptée en décembre, cette convention triennale 2023-2025 rassemble l’Etat, le Centre National du Cinéma, la Région, les Départements de la Charente, de la Charente-Maritime, de la Dordogne, de la Gironde, des Landes et du Lot-et-Garonne et, pour la première fois, la Métropole de Bordeaux. La Nouvelle-Aquitaine est au 2ème rang national, après l’Ile-de-France, pour son fonds de soutien au cinéma et à l’audiovisuel (10 millions d’euros) et pour le nombre de sociétés productrices de long métrage pour les salles de cinéma. #JDplénière #NouvelleAquitaine #Cinema #animé #paysage #audiovisuel Ministère de la Culture Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) Département de la Charente Département de la Charente-Maritime Département de la Dordogne Département de la Gironde Département des Landes Département de Lot-et-Garonne Bordeaux Métropole
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Ma petite analyse, toute personnelle, du dernier observatoire de la production cinématographique 🎬 par le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) (lien en commentaire). 1/ "Un retour au niveau pré-pandémique", "un retour à la normale", "par rapport à l'avant-crise", "en ligne avec celui d'avant-crise"... A priori 2023 c'est le new 2018. C'est assurément l'info principale - et la bonne nouvelle de ce rapport. 😷 2/ L'impact grandissant des plateformes de SVOD : 39 Films préfinancés en 2023 (contre 1 seul en 2021), leur influence devient significative. Notamment pour les grosses productions dont les budgets sont 2 fois supérieurs à la moyenne française. 💰 3/ CANAL+ Group, acteur majeur de l'investissement : avec près de la moitié de l'investissement total des diffuseurs, Canal s'impose comme le pilier du cinéma français. Merci à eux, mais ce déséquilibre est-il souhaitable ? 4/ Une hausse remarquable du budget moyen des #documentaires (+34%). Signe d'une augmentation ↗ significative des standards de qualité. Avec un impact sur le nombre d'œuvres financées. #FewerButBetter 5/ La part des femmes 🙋♀️ derrière la caméra s'érode violement après 5 ans de croissance constante. (Par contre elles remportent des palmes, des césars et des oscars.. ça laisse espérer un rebond en 2024) 6/ Les FIF (le périmètre de l'observatoire : Film d'initiative Française) c'est 1,34Md€ sur un an. C'est beaucoup mais tout de même 25 fois moins que le marché de la publicité par exemple (#BUMP2023) Ai-je oublié une donnée clé ?
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Merci à slim OTHMANI pour ce podcast et à son initiative. youtu.be/nR3NfUWMeGA Dans un monde où l'éclat du cinéma est souvent voilé par les ombres de l'intérêt commercial, Mehdi Benaissa se dresse tel un phare dans l'obscurité, guidé par une passion ardente pour son métier de producteur. Sa récente prise de parole, empreinte d'une solennité grave, met en lumière la question brûlante de l'intrusion abusive de la publicité dans les séries télévisées durant le mois sacré de Ramadan. Cette intervention n'est pas un simple coup de gueule, mais un appel pressant à une réforme urgente et fondamentale du modèle économique régissant les relations entre annonceurs et diffuseurs. Mehdi expose avec une acuité perçante les multiples incohérences et abus qui jalonnent cette industrie, soulignant l'ampleur des défis à surmonter au niveau de la production, du financement, et de la diffusion de contenus audiovisuels en Algérie. Face à ces obstacles monumentaux, qui entravent le développement d'une industrie pourtant riche en potentiel créatif et culturel, l'appel de Mehdi résonne comme un cri de guerre contre les forces mercantiles qui menacent l'essence même de l'art cinématographique. Son analyse implacable dévoile une réalité alarmante : sans un changement radical, le secteur audiovisuel algérien risque de demeurer prisonnier d'un cycle destructeur, où la qualité et l'intégrité artistique sont sacrifiées sur l'autel du profit immédiat. Mais, au-delà de ce constat sombre, Mehdi insuffle une note d'espoir. Sa vision, bien que teintée d'urgence, porte en elle la promesse d'une renaissance culturelle, où le cinéma algérien pourrait, enfin, exploser dans toute sa splendeur créative et révéler au monde les richesses inexplorées de son patrimoine. Il en appelle donc à l'engagement non seulement des politiques et des professionnels de l'audiovisuel, mais également de chaque spectateur et acteur de la société, pour que cet élan de réforme ne soit pas un cri dans le désert, mais le début d'une véritable métamorphose. L'enjeu dépasse les frontières de l'industrie cinématographique ; il touche à l'âme même d'une nation en quête de son identité culturelle et artistique. Mehdi Benaissa, avec sa verve et sa détermination, pourrait bien être le catalyseur de ce changement tant espéré. Sera-t-il entendu ? L'avenir de l'audiovisuel en Algérie, vibrant d'un potentiel illimité, repose en partie sur cette question. Il nous appartient à tous de répondre à cet appel, pour que l'art triomphe et que s'épanouisse, sans entraves, la créativité dans un environnement renouvelé et respectueux de son essence.
du Coup de gueule à la Vision : L'industrie Cinématographique selon Mehdi Benaissa
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Les nouveautés du mois sur Médiathèque Numérique !
🎬 À venir en avril sur Médiathèque Numérique · Du documentaire, avec « 20 jours à Marioupol », récompensé aux Oscars 2024 · De la comédie, avec « Une année difficile », le dernier film d’Olivier Nakache et Eric Toledano · De la jeunesse, avec le film d’animation « Nina et le secret du hérisson » doublé par Audrey Tautou et Guillaume Canet L’ensemble de la programmation à venir est disponible dans notre newsletter, n’hésitez pas à vous y référer. Découvrez en vidéo un aperçu des nouveautés qui arriveront sur la plateforme tout au long du mois. ⤵️
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📽 Les « Ambassadeurs jeunes du cinéma » Au #FestivalDeCannes 2024, la ministre de la culture Rachida Dati annonçait un plan d'une ampleur inédite pour favoriser la diffusion des films au plus près des territoires et de tous les publics. A peine 6 mois plus tard, toutes les mesures de ce "Plan Diffusion" ont été mises en oeuvre 🚀 par le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) : 👉 une aide inédite (en fonctionnement et en investissement) aux 110 circuits de projection itinérants 👉 une hausse de 60% de l'enveloppe allouée aux festivals locaux 👉 une augmentation de 50% du nombre de médiateurs dans les salles de cinéma. 👉 Je vous propose aujourd'hui un "focus" sur la 4ème mesure décidée par la ministre Rachida Dati : les "Ambassadeurs jeunes du cinéma". Ce programme a pour objectif de renforcer la #cinéphilie des nouvelles générations en favorisant les échanges entre jeunes autour du 7ème art et en leur permettant d’organiser des projets en lien avec le cinéma : ce sont ainsi 33 structures qui vont être accompagnées pendant trois ans par le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) avec l’ambition de coordonner les initiatives de milliers de "jeunes ambassadeurs" sur l’ensemble du territoire. 👉 Les structures lauréates : https://lnkd.in/eHkKETzt
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🎥 𝐀𝐫𝐭𝐬 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐜𝐢𝐧𝐞́𝐦𝐚 𝐞𝐭 𝐯𝐢𝐝𝐞́𝐨 Découvrez notre dernier article qui explore l'évolution des salles de cinéma en région, les initiatives du milieu et le futur du 7e art en Estrie : https://lnkd.in/e8JTcu-Y Selon vous, comment peut-on faire atterrir notre cinéma estrien sur les écrans? Votre avis nous intéresse !
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Filière audiovisuelle : ARTE et le SPECT rejoindront prochainement les dix membres fondateurs Les dix membres fondateurs de La Filière Audiovisuelle (La FA) ont présenté ce mercredi 13 novembre l’initiative, évoquée publiquement pour la première fois début septembre lors du Festival de la Fiction de La Rochelle. Constituée sous firme d’association loi 1901, la FA est organisée en trois collèges : éditeurs (France Télévisions, M6 et Groupe TF1), auteurs / artistes (Adami, SACEM, SACD, SCAM) et producteurs (AnimFrance, SPI - Syndicat des Producteurs Indépendants et USPA - Union Syndicale de la Production Audiovisuelle). Elle est présidée pour deux ans par Rodolphe Belmer, entouré par trois vice-présidents, représentants chacun un collège : France Télévisions (Delphine Ernotte Cunci), SACD (Pascal rogard) et SPI (Nora Melhli). Elle est destinée à « s’élargir et à prospérer » pour accueillir « toutes les bonnes volontés », dès lors qu’ils souscrivent aux objectifs posés par le Manifeste fondateur, et partagent un « état d’esprit » privilégiant le consensus (Rodolphe Belmer). L’adhésion d’ARTE et du SPECT est ainsi d’ores et déjà acquise. Interrogée sur l’absence de Canal+, le PDG de TF1 a indiqué que le groupe « n’avait pas manifesté son souhait » de rejoindre l’association. Cinq objectifs devraient structurer l’action de la FA : la défense du financement du service public, la lutte contre les asymétries concurrentielles, la préservation du financement du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), la défense de l’intermittence et une régulation de l’Intelligence artificielle permettant la juste rémunération des ayants droits. La volonté, au-delà, est de « matérialiser le poids économique du secteur et sa contribution à l’emploi et à la création de richesse (par) des chiffres incontestables », et de défendre « une approche sociétale », a indiqué Delphine Ernotte en conclusion. La réalisation d’une étude portant sur les deux dimensions sera lancée prochainement. Elle devrait être publiée au printemps 2025.
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#FestivalLumière Les films de patrimoine : leur diffusion et leurs performances ➡️ https://lnkd.in/eQvdAKCA À retenir : Un intérêt marqué des Français pour les films de #patrimoine 🔹 Près de 90 % déclarent en visionner, davantage sur leur écran de télévision 🔹 Des films cultes, de plus de 40 ans et français, avec un attrait plus fort pour les films de patrimoine connus Des résultats en salles à leur plus haut niveau depuis 1997 : 4,4 millions d’entrées et 2,4 % de part de marché 🔹 Des performances par séance au plus haut sur 10 ans et bien plus élevées que celles des films en première exclusivité 🔹 Deux ressorties qui boostent les résultats en salles : « Titanic » et « Astérix et Obélix » : mission Cléopâtre 🔹 Plus de la moitié des entrées des films de patrimoine sur les films de 30 ans et plus, plus de 40 % sur les films de 40 ans et plus
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Pour comprendre d’où vient la justice des mineurs. Nécessaire pour éclairer les débats d’aujourd’hui.
4 ans de travail intense, de défis relevés, de souvenirs... Mais c’est ça le cinéma 🎬 Je suis vraiment ravi de vous dévoiler en exclusivité l'affiche de notre premier long-métrage documentaire “Théret n°487” réalisé par Julien Hillion et qui sera projeté en salles et festivals cette année. 🙌 Cette production marque un tournant dans l'histoire de LFB Productions - Agence audiovisuelle, nous offrant l'opportunité de vous présenter l'histoire vraie d'un gamin de Paris, brisé par les cachots de Belle-Île-en-Mer. Elle laisse une empreinte indélébile dans les domaines de la justice, de la jeunesse et de l'éducation. Un grand merci à nos partenaires : IERDJ, DIRECTION DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE, Région Bretagne, TEMOS-CNRS, ECOLE NATIONALE DE PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE et Archives Morbihan. -- Musique Roland Becker, voix-off Lionel Epaillard, illustrations Renan Coquin, direction de la photographie Les Frères Basquin, montage Aurélien Le Beau et Léo Legendre, montage son et mixage Johan Joalland, Fred Commault, Tanguy Babin, Studios Pontonfon, avec Véronique Blanchard, Mathieu Marly et Eric Pierre LFB Productions © 2024
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[ FOCUS ] 🔎 #MédiationAuCinéma 🎉La Nouvelle-Aquitaine est la première région la plus dotée en médiateurs et médiatrices dans ses cinémas d'Art et essai ! Véritables passeurs, les médiateurs au cinéma ont pour mission : - D'éveiller le goût pour le 7ème art, - D'éduquer à l’image, - De tisser du lien social, - D'amener le cinéma d’auteur en milieu rural ... 🔶Focus sur ces piliers de la transmission, avec CINA - Cinémas Indépendants de Nouvelle-Aquitaine, D'ASQUES ET D'AILLEURS, Association des Cinémas de Proximité de la Gironde, Unis-Cités, Écrans 47, Le Jean Eustache (Pessac), La Lanterne (Bègles), le Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), Région Nouvelle-Aquitaine « La médiation est définie comme l’un des outils de conquête ou reconquête des publics, jeunes et adultes. Avec la télévision, développement des multiplexes où vont majoritairement les 15-25 ans, Internet, plateformes en ligne, phénomène des séries, crise du Covid ou encore les problèmes de mobilité, si l’on cumule les empêchements et les nouveaux moyens de diffusion, la menace est simplement une désertion progressive des cinémas en question. » ✍🏻 christophe dabitch #médiation #cinéma #transmission https://lnkd.in/eJtKtFPg
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Consultant - Co-dirigeant de Circomplexe - Dirigeant d'Accroche-Press' - Directeur de création - Artiste plasticien et photographe - Technicien en hydrobiologie et aquaculture
3 sem.Bonsoir Stéphanie, Félicitation pour cette prise de parole. Des propos pertinents et nourris « aux bon sens » !