👁️🗨️ La présidente-directrice générale de notre membre canadien, le Chantier de l'Économie Sociale, Beatrice Alain, partage des importantes réflexions: "Pour faire face à l’isolement et aux incertitudes qui marquent notre époque, il va falloir réapprendre à se serrer les coudes. C’est ce que l’#économiesociale nous offre: une occasion de redéfinir notre rapport à l’économie et aux autres, une invitation à réécrire notre histoire #collective. Cette force du lien, ce pouvoir de l’action collective, c’est à nous tous de le saisir pour redonner vie à nos #communautés." https://lnkd.in/ewZrKtBh
Post de RIPESS - Réseau Intercontinental de Promotion de l'Économie Sociale Solidaire
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Face à l'urgence mobilisons-nous pour défendre plus que jamais nos valeurs républicaines La société française traverse une période longue de profonde inquiétude et de frustration. Cependant, elle fait également preuve de courage et d'audace en explorant des alternatives jusque-là non envisagées. Ces alternatives peuvent être jugées ou condamnées, mais elles méritent surtout d'être examinées et comprises. Car ne nous y trompons pas ! Les problèmes auxquels nous faisons face sont à la fois économiques et sociaux, fruit de décennies de désorganisation et de dialogue social insuffisant. Résultat : Nous nous trouvons maintenant au bord d'un précipice inquiétant. Certaines forces choisissent de rendre la diversité de nos populations responsable de nos difficultés, un raccourci facile qui met à mal nos valeurs fondamentales et nous éloigne des véritables enjeux. Notre modèle de société, tant économique que social, est en crise et doit être réinventé. Le Club 21e Siècle est né de cette conviction que la diversité est une richesse. La diversité est une richesse fondée sur les ponts plus que sur les murs. Sur l’échange et l’écoute plus que sur les clashs de comptoir ou débats d’éditorialistes drogués par l’égo et l’audimat. La France, patrie des lumières, de la concorde, de la fraternité est une terre d’audace. Mais aussi une terre d’imagination, d’idéalisme, de dialogue. Il est plus que temps de s’en reparler. De se reparler. De tous bords. De tous horizons. De trouver le commun plus que la différence. L’idée partagée plus que l’opposition. C’est la raison pour laquelle, nous, Club 21e siècle appelons, tout citoyen, à voter. Tout parti, tout mouvement, tout think tank, tout français à s’engager. Avec cette solennité propre à l’importance du moment que nous vivons, nous vous invitons à croire que la solidarité et la fraternité seront toujours plus puissantes que la division qu’on agite aisément aujourd’hui sans proposer de solutions aux enjeux profonds de l’époque que notre société traverse. Devons-nous expulser ou repenser nos communs ? Isoler ou réformer ensemble ? Croire aux promesses faciles ou avoir le courage de la nuance ? Ayons surtout le courage de nous rassembler et de trouver ce qui nous enthousiasme et nous unit. A tous ceux qui croient en cet appel fraternel, rassemblons-nous, retrouvons-nous, parlons-nous, trouvons une voie commune. Imaginons ensemble en nuit debout, en journée, en marche ou en pause, lors de conventions, de grands et petits débats, comment nous retrouver et nous parler, non pas dans un format, mais autour d’idées, de propositions, et d’actions à réaliser ensemble. L’heure n’est pas à l’indignation ou à la résignation, mais à l’engagement. Alors engageons-nous ! Pour s’engager avec le Club 21e Siècle, écrivez-nous à : [email protected] https://club21siecle.org
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Nouvel Article : Le défi de l'Entreprise Fraternelle. À l'occasion de notre rencontre avec le philosophe Gaspard Koenig, notre vice-président Jullien Brezun a présenté notre vision de l' #EntrepriseFraternelle. Retrouvez ses propos qui expliquent : - le contexte = nous cherchions un moyen de favoriser la réconciliation sociale, - notre définition de la « fraternité, ce ciment social souvent négligé », - notre méthodologie = l'intelligence collective - les 3 dimensions de l'Entreprise Fraternelle avec pour chaque dimension des propositions claires et concrètes à appliquer dans votre entreprise. Pour lire l'article ⬇️ https://lnkd.in/eKQuCPzN Pour retrouver tout notre dossier sur l'Entreprise Fraternelle ⬇️ https://lnkd.in/e38hWkzV Pour télécharger notre guide « L'entreprise fraternelle, au cœur de la réconciliation sociale » ⬇️ https://lnkd.in/eywFTffS
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"Quand on n'est pas invité.es à la table des négociations, c'est qu'on est au menu !" 👏 Saviez-vous que l'action de Rosa Parks était organisée, structurée ? Elle n'a pas décidé du jour au lendemain de rester assise dans le bus ! 💪 Saviez-vous qu'ATD Quart Monde est née d'une volonté de ne plus dépendre "du bon vouloir des autres" ou d'associations qui décident à leur place ? Ce sont ces histoires que nous entendons grâce à la formation donnée par Camille Marronnier d'Organisez-vous! en partenariat avec La Réserve Citoyenne en septembre dernier à La Ruche Marseille dans le cadre de la programmation de #Concretisonslutopie. https://lnkd.in/dn2VtvA4 Camille présente alors durant cette soirée les 4 piliers du #communityorganizing : ✅ L'#autodétermination ✅ Sans pouvoir pas de justice ✅ La structuration ✅ L'humain d'abord, le programme après Illustrée d'exemples tels que les suffragettes, les gilets noirs, Quartiers libres à Dijon etc., son argumentation est claire, percutante et enthousiasmante ! Pour transformer le monde, nous devons faire avec les 1er.eres concerné.es. La structuration d'une organisation est nécessaire pour aller plus loin dans les luttes et les changements de mentalités. N'ayons pas peur du pouvoir, il s'agit, ici, de penser les rapports de force. Prendre le temps de connaître l'autre est nécessaire pour transformer ensemble. Durant la formation, Camille évoque la pensée de Joseph Wresinski, de Saul Alinsky ou encore celle de Joe Freeman avec son livre "La Tyrannie de l'absence de structure". Une formation passionnante sur comment s'organiser pour contribuer à transformer le monde. En effet, durant les mois de septembre et octobre, Concrétisons l'Utopie qui rassemble Inter-Made et La Ruche Marseille a proposé une programmation d'événements ouverts à toustes autour de : "Penser les systèmes pour les transformer". "Nos projets visent à concrétiser nos Utopies, des utopies de transformation profonde de la société, des systèmes dans lesquels nous évoluons parce qu'ils ne nous semblent ni justes socialement, ni soutenables écologiquement ! Comment imaginer changer ces systèmes si on ne les comprend pas, si on ne regarde pas de plus prêt qui sont et comment pensent et agissent les acteurs qui le composent : ceux qui incarnent ce dont on ne veut plus, mais aussi ceux qui - avec nous - incarnent le changement qu'on souhaite voir advenir. Comprendre le système pour mieux appréhender les forces en présences, alliées potentielles ou résistances, comprendre le système pour tenir compte de sa complexité et pouvoir "danser avec elle". En tant qu'acteurs de la transition, nos stratégies de projet individuelles et collectives doivent se nourrir de cette compréhension commune. Parce qu'ensemble il va falloir décoloniser l'imaginaire qui fonde ce système, montrer l'impasse dans lequel il nous mène et donner à penser et à voir une autre utopie possible" Marion Douroux, co-présidente de Concrétisons l'Utopie
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Douze Tribus, Un Héritage : Vers une Économie Éthique et Durable Dans cette réflexion, nous plongeons dans l'héritage des douze tribus d'Israël, révélant comment leurs prophéties éclairent notre compréhension des rôles d'hommes et de femmes au sein d'une économie éthique et durable. À l'ère messianique, chaque tribu incarne des valeurs de justice, de solidarité et de prospérité partagée, guidant notre quête d'un monde meilleur. Explorons ensemble cette sagesse ancienne pour construire un avenir harmonieux et équitable.
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Depuis toujours, la société civile organisée et les corps intermédiaires jouent un rôle déterminant dans la cohésion de nos sociétés. Aujourd'hui, ces espaces de réflexion, de dialogue et d’action collective sont essentiels pour bâtir des solutions durables face aux enjeux de notre époque. Il y a 2000 ans, Aristote dans La Politique, nous rappelle que l’homme est un animal politique, fait pour vivre et s’épanouir dans une communauté, une koinonia. Cette notion de communauté dépasse le simple vivre-ensemble : elle constitue un cadre de partage, d’échange et de construction du bien commun. En tant que chef d’entreprise, je suis fier d’appartenir à l’économie réelle, celle de celles et ceux qui mettent leur argent, leur honneur, leur fierté, leur sueur, et parfois même trop souvent leur famille, dans leur outil de travail. Mais au-delà de cette responsabilité, je consacre également du temps et de l’énergie à l’intérêt général. Aujourd’hui plus que jamais, alors que nos sociétés sont traversées par des fractures sociales, écologiques et économiques, les corps intermédiaires doivent être reconnus comme des acteurs de premier plan. Ils incarnent cette dynamique collective où se conjuguent diversité et unité pour inventer les solutions de demain. Agir pour renforcer la place de la société civile organisée, c’est faire le choix d’un dialogue apaisé, d’une démocratie vivante et d’une co-construction du bien commun, fidèle à l’héritage aristotélicien. C’est là que réside notre force collective. Et vous, comment voyez-vous le rôle de ces acteurs dans la société d’aujourd’hui ? CESER Réunion CESER De France
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Face à la situation, nous ne pouvons rester neutres. Nous ne pouvons pas nous tenir en marge de ce combat. En tant que structure de l’Economie Sociale et Solidaire (#ESS) portant des valeurs d’universalisme, de fraternité, d’intégration, de solidarité et de coopération, la SCIC CASACO représente tout ce à quoi s’oppose l’extrême droite. Et l’extrême droite nous apparait en franche opposition avec nos idéaux. Lors du #CongrèsESS du 12 & 13 mai, Benoit Hamon, fraichement élu à la Présidence d’ESS France, déclarait « 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑖𝑛𝑐𝑎𝑟𝑛𝑜𝑛𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑒𝑠 𝑔𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒́𝑡𝑒𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡 : 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑟𝑒̀𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑢 𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒, 𝑙𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑒𝑐𝑡 𝑑𝑒 𝑙’ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛 𝑑’𝑜𝑢̀ 𝑞𝑢’𝑖𝑙 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑟𝑜𝑙𝑒, 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑙𝑖𝑏𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒, 𝑙’ℎ𝑜𝑟𝑖𝑧𝑜𝑛𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑝𝑙𝑢𝑡𝑜̂𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑐𝑢𝑙𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑐ℎ𝑒𝑓 𝑒𝑡 𝑙’𝑒𝑛𝑐𝑎𝑠𝑒𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 ». Ainsi, la coopérative CASACO s'associe à la résolution adoptée par l'Assemblée générale d'ESS France pour s'engager face à l'extrême droite. https://lnkd.in/enKKfthn L’ESS est apartisane, cependant, si vous ne voulez pas vous réveiller avec une énorme gueule de bois (qui risque de durer quelques années) le 08 Juillet, le 30 juin et le 07 juillet votez ! Si besoin, vous trouverez à CASACO, à Ville de Malakoff, une #BoiteàProcu (merci A + c'est mieux ! pour le modèle). 😏
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La réponse aux maux de notre société ne se trouverait donc pas uniquement dans la critique et la promotion des valeurs mais surtout aussi dans l' incarnation de ces valeurs...? #lesawardsdesawards #lesawardsdelacitoyennete #citoyensdevaleurs
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La réponse aux maux de notre société ne se trouverait donc pas uniquement dans la critique et la promotion des valeurs mais surtout aussi dans l' incarnation de ces valeurs...? #lesawardsdesawards #lesawardsdelacitoyennete #citoyensdevaleurs
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"La culture est l'âme de la démocratie" Voici une autre citation d'homme politique, Lionel Jospin (de gauche en effet mais est-ce important ?). Merci Virginie Raisson-Victor pour cet article dont je partage ici les mots justes. La culture est l'essence même de l'humanité : elle nous permet de faire société, de raconter des histoires, de se divertir, de nous rappeler le passé, d'imaginer l'avenir, d'éveiller notre curiosité, d'appréhender la complexité, d'aiguiser notre sens critique, d'apprendre... La liste est infinie. A l'heure des crises géopolitiques et économiques incessantes, n'a-t-on pas plus que tout besoin de se retrouver pour un instant de légèreté autour d'un festival de musique, d'une fête de village ou d'une conférence publique ? Peu importe ce qui nous fait du bien et ce qu'on vient y chercher, les organisations culturelles nous offrent ces temps de décrochage dans notre quotidien. Et c'est maintenant qu'on veut les appauvrir ? Notre société, sans culture, finira par ressembler à un zèbre sans rayure, nous dit le proverbe africain. Quelle erreur fondamentale !
Géopolitologue, prospectiviste (approche systémique), Présidente du GIEC-PDL (Giec des Pays-de-la-Loire), cofondatrice du Grand Défi des entreprises pour la planète, conférencière #transition#environnement#systémique
UN RENIEMENT HISTORIQUE (Extrait de la tribune en pj) La culture, qui "domine tout" est une "condition sine qua non de notre civilisation" disait le général de Gaulle alors qu’il inaugurait la maison de la culture de Bourges en 1965. « Un monopole intouchable d’associations très politisées qui vivent d’argent public » commente à son tour C. Morançais, Présidente du Conseil régional des Pays de la Loire, pour répondre à ceux qui lui reprochent sa décision de réduire drastiquement les aides aux associations culturelles dans le cadre de l’effort budgétaire demandé aux collectivités. Voilà quelques jours en effet que le secteur associatif ligérien a appris qu’une part substantielle des économies sera réalisée par la réduction ou la suppression des aides qu’il lui était jusque-là allouées par la Région. Dans le secteur culturel, les coupes pourraient ainsi atteindre 73 % en 2025. Interpellée sur sa décision, Christelle Morançais porte alors le débat au-delà des seules contraintes budgétaires : « Quelle est la pérennité d’un système qui, pour exister, est à ce point dépendant de l’argent public ? N’est-ce pas la preuve que notre modèle culturel doit d’urgence se réinventer ? ». Ainsi, la pertinence d’un projet culturel devrait reposer sur sa rentabilité économique ? À moins que, comme en région AURA, le choix de priver la culture mais aussi l’écologie, la jeunesse et le social de leurs financements publics ne procède pas seulement d’une injonction budgétaire mais aussi de l’occasion offerte de soumettre le milieu associatif aux nouvelles normes sociétales qui placent la réussite individuelle, la performance économique et le désir d’ordre avant l’intérêt général, la redistribution et l’inclusion sociétale ? Feu, donc l'héritage d’A. Malraux pour qui la culture était un outil d’émancipation et de cohésion nationale justifiant ainsi que la puissance publique soutienne la création artistique, la préservation du patrimoine et l’accès à la culture ? Reléguée, la pensée de G. Pompidou qui considérait la culture comme un levier pour inscrire la France dans la modernité et selon qui, en ce domaine, les finances publiques avaient une obligation de moyens et non de résultats ? Oubliée, celle de J. Chirac qui considérait que “L’État est un rempart nécessaire pour éviter une culture uniformisée et soumise aux réalités économiques” ? Autant d'exemples qui viennent rappeler que la culture subventionnée n’est pas un pré carré de la gauche mais bien une manière de défendre ce qui, selon Malraux, « fait de l’Homme autre chose qu’un accident de l’univers ». Alors puisse le Conseil régional ligérien renouer avec l’histoire singulière de la Culture dans notre pays. Se rappeler que les réseaux associatifs participent du dynamisme et de l’attractivité des territoires. Et peut-être surtout que c’est au moment précis où la pression économique fragilise le lien social que la culture doit être soutenue. Désormais, c’est notre démocratie qui en dépend.
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La réponse aux maux de notre société ne se trouverait donc pas uniquement dans la critique et la promotion des valeurs mais surtout aussi dans l' incarnation de ces valeurs...? #lesawardsdesawards #lesawardsdelacitoyennete #citoyensdevaleurs
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