Post de Richard Courcet

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Artiste Kreyol Pop! Exopéen

Mon premier est présenté à la fin des années 80, avec les technologies high tech de l’époque : https://lnkd.in/eS6iaSAD Mon dernier (en vignette), avec celles d’aujourd’hui… Mon choix : seb janiak bien sûr ! — Avec 52🤯🤯🤯 #prompts au compteur*, les deux auteurs nous rapprochent effectivement un peu plus de l’apocalypse créative et environnementale. Beau boulot POLKA 🙌 Le plus intriguant, étant la revendication artistique de ce chiffre dans un contexte de création qui traite du dépassement des limites planétaires. J’ai commencé mon projet en images de synthèse intitulé EARTHBLOOD/SANGTERRE il y a 30 ans. Il est en pause à cause d’une valeur négative, que je nomme « pertinence par watts » liée à l’obsolescence du matériel informatique dont je dispose pour créer. Mes rendus sont tous en 32768 pixels de côté, les modèles d’IA génératives produisent des blocs de 512 pixels à 1024 pixels de côté à chaque prompt, ce n’est pas de 55000 prompts dont j’aurais besoin pour arriver à des résultats « satisfaisants » pour de telles dimensions en sortie, si je devais utiliser cette technologie pour co/re/ré/créer.😳 Devant cette prise de conscience, j’ai renoncé à utiliser ce procédé “divartissant” pour mes créations numériques dès le début. — Mais, il y a des moments où je me dis que je suis vraiment très con, de ne pas « en profiter », moi aussi, avant « la fin du monde », lorsque je constate que tous les #nerds qui sont dans la place n’en ont strictement rien à 🤬 et encore moins les artistes qui « dénoncent ».🤦♂️ Il faut que je sorte me refroidir un peu, les machines qui calculent, ça donne chaud… Richard *Je vous laisse faire des recherches pour avoir une idée de ce que représentent 52000 demandes d’itérations envoyées à une #ia #generative converties en litres d’eau…

Paris après l’apocalypse : comment deux photographes utilisent l’IA pour imaginer une saisissante dystopie

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