Des souffleurs pour chuchoter l’art à l’oreille de ceux qui ne peuvent pas le voir 📰 "Un regard partagé avec un ou une autre qui est là pour ça, pour vous accompagner lors de la visite, vous guider dans l’espace et vous raconter selon vos envies ce qu’il ou elle voit, c’est encore autre chose. Et cela peut faire une différence pour les non-voyants ou malvoyants. L’image qui se dérobe peut alors prendre du sens, émouvoir, surgir d’un souffle, d’une parole murmurée à l’oreille, d’un dessin au creux de la main." Merci Eléonore Sulser et Le Temps pour ce magnifique article sur le soufflage d'images au #RedCrossMuseum. https://lnkd.in/djD4jRza SOUFFLEURS DE SENS #médiationculturelle #publicaveuglemalvoyant #genève
Post de Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge
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Autoportrait... L’autoportrait de l’ombre est un paradoxe. Ce n’est pas le visage qu’on expose, mais une absence, une silhouette fugace projetée sur le sol. L’ombre est une esquisse mouvante, insaisissable. Le photographe se retire, laissant derrière lui une trace sans détail, sans visage, comme s’il cherchait à disparaître dans son propre portrait. Photographier son ombre, c’est embrasser l’idée que l’on ne peut jamais vraiment se saisir. L’ombre échappe, se déforme, s’étire sous l’effet de la lumière, et devient le reflet d’un être toujours en mouvement, jamais fixe. C’est un autoportrait sans narcissisme, où l’essentiel n’est pas dans ce que l’on montre mais dans ce que l’on laisse deviner. Là où le visage pourrait chercher à s’imposer, l’ombre, elle, s’efface. Cette photo n’est pas un cri, mais un murmure. C’est une manière de dire « je suis là », tout en acceptant que ce « je » reste flou, insaisissable. L’ombre renvoie à ce que l’on est vraiment : un être de passage, ancré dans le temps, mais toujours en train de s’évanouir dans l’instant qui suit. Elle épouse les contours du corps sans le dévoiler, se pliant aux caprices de la lumière comme à la réalité fuyante de notre existence. Il y a dans cette pratique une sagesse discrète. L’ombre rappelle que ce qui nous définit n’est pas toujours ce que l’on montre au monde, mais ce que l’on ne peut pas montrer, ce que l’on porte en soi. Comme un voyageur qui avance à l’orée de la lumière, le photographe se laisse guider par l’idée que l’essentiel ne peut qu’être entrevu, jamais capturé. L’autoportrait de l’ombre n’est pas un exercice de vanité, mais un hommage à cette part de nous-même qui reste toujours en retrait, silencieuse, et que seule la lumière sait révéler à demi.
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« Cherry on the cake », c’est le nom de cette oeuvre qui sera exposée la semaine prochaine à Paris, au Louvre (du 18 au 20 octobre avec Art Shopping au carrousel). La pile de dossiers à traiter sur le bureau et l’ordinateur qui attendent, est-ce que cela vous évoque du vécu ? Quels sont les rêves de ce personnage : une belle carrière, une quête de sens ou d’émotions…Et cette belle cerise, représente-t-elle une récompense à sa performance, un frein à sa liberté, les deux ? Ce tableau fait partie de ma série « corporate »qui invite le spectateur à se poser des questions sur la vie en société, en mettant en scène des situations emblématiques du quotidien avec une légère coloration humoristique. Ma démarche artistique se situe aux frontières du réalisme, surréalisme et expressionnisme. Si vous êtes curieux d’aller voir de plus près, n’hésitez pas à me contacter afin que je vous transmette une invitation.
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L’art n’est pas un objet poussiéreux et ennuyeux. Et les enfants le savent bien. Si on y regarde de plus près, nos premières lectures sont artistiques. Nos premiers émois humoristiques. Nos découvertes de nouveaux mondes. Nos héros rigolos, forts, tendres. Astérix, Tintin, Lucky Luke…Tous sont des créations artistiques. Car, oui, la bande-dessinée est un art à part entière. Un art léger parfois, drôle souvent, profond toujours. Un art qui jongle avec les couleurs, avec les formes, avec les dessins et les mots pour mieux nous faire comprendre le monde et l’âme humaine. Pour mieux nous amener à réfléchir. À ressentir. À dire. À écrire “Le cœur a ses chagrins que la BD transforme” Ce sont les mots de Catherine Meurisse lors de son intronisation à l’académie des Beaux-Arts, elle qui, avec tant de finesse, à évoqué le drame vécu après les attentas de Charlie Hebdo et sa lente reconstruction dans « La légèreté » Nous n’avons pas tous vécu des tragédies comme celle-ci. En revanche nous avons tous des émotions refoulées, des souvenirs encore douloureux, des angoisses cachées. Je crois qu’y entrer par la voie de l’art, c’est renouer avec sa voix d’enfant, avec sa curiosité et son émerveillement. C’est déposer les armes pour mieux déposer ses mots. Pour libérer ce qui nous pèse et avancer avec plus de légèreté sur le chemin de notre vie. Les 10 séances individuelles offertes pour venir vivre cette expérience de transformation autour de vos mots avec moi sont toutes parties. J’ai décidé d’ouvrir 5 créneaux supplémentaires la semaine prochaine. Après je ferme les portes de ces séances. Alors, qui prend sa place?🎁 C'est juste ici: https://zcal.co/i/xnd8ohXK
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Place au weekend avec des questions plus légères : parmi tout le panel artistique à disposition, quelle forme prendrais-je ❓️ Trouver la réponse est d’une facilité déconcertante pour moi : je serais l’écriture ✍️🏽 – facile à deviner si vous avez suivi ce calendrier de l’Avent. Le stylo grattant la feuille ou les doigts filant sur le clavier sont à mes yeux la plus belle des chorégraphies. Une valse d’idées qui commence dans la tête, qui circuite dans tout le long du corps pour venir laisser une trace éternelle. Une trace qui sera polie, arrangée, tracée, travaillée bref un travail d’orfèvre. Tout en se calant sur un rythme, une respiration, une sonorité digne des plus belles chansons et poésies. Le tout saupoudré d’émotions, pour se graver dans la mémoire du lecteur. Un mélange de plusieurs arts pour amorcer une rencontre intime entre celui qui écrit et celui qui lit. Un rendez-vous qui se prépare dans les moindres détails. Un chemin à parcourir main dans la main dans le but de (se) convaincre, de marquer les esprits, de guider, d’amener dans son sens, de dénoncer, de toucher l’âme… Il existe tant de raisons. Les mots ont un pouvoir inestimable, en faire nos meilleurs alliés pendant des moments d’écriture est un plaisir exquis. C’est pourquoi je choisis cet art, envers qui je suis reconnaissant pour tout ce qu’il m’a apporté. Et toi, quel art serais-tu ❓️ #calendrierdelavent #unjourunequestion #aproposdemoi #portrait #jour7 #art #ecriture #dhminspiraction #team974
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Les portaits d'iris : une forme artistique tellement novatrice ✨️ 👉 En tant qu'IRIDOLOGUE, il est passionnant pour moi de pouvoir lire la santé de chacun à travers des portraits d'iris, évoqués dans cet article. D'un point de vue artistique, le résultat est sublime ! Certains portraits sont parfois "retravaillés" par soucis d'esthétisme, en améliorant ainsi les couleurs ou certaines formes. Ce qui peut modifier, pour ma lecture irienne, entre autre, le niveau d'acidité ou les signes de toxines présents dans le corps... 👉 Le portrait d'iris que je possède moi-même, a été réalisé par Silla photographie, à Thouaré-sur-Loire. Silla Photographie Convaincue de la qualité de ces tableaux, sans artifices et magnifiquement réalisés, la lecture irienne se fait aisément. A votre tour de sublimer vos yeux ✨️ 👉 Pour en savoir plus sur ma technique d'analyse de vos iris, c'est par ici : https://lnkd.in/evYNaDem #iridologie #naturopathie #santéetbienêtre #médecineholistique #thouaresurloire #saintelucesurloire #nantesmaville #émotions https://lnkd.in/e8qEg3k9
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𝐅𝐀𝐔𝐒𝐒𝐄𝐒 𝐓𝐑𝐀𝐍𝐒𝐏𝐀𝐑𝐄𝐍𝐂𝐄𝐒 𝐋𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐚𝐮 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐬𝐞́𝐝𝐮𝐢𝐭. Voir le fond de la rivière ou du bord de mer à travers elle, c’est observer un autre monde. On surprend l’ondulation d’un poisson ou d’une colonie de crevettes, la déambulation d’un crabe ou l’immobilité d’un oursin. 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐭 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐢𝐬𝐭𝐢𝐧𝐠𝐮𝐨𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝 𝐦𝐚𝐥𝐠𝐫𝐞́ 𝐭𝐨𝐮𝐭 ! Car l’onde irisée brouille l’image. Elle fracture sa surface en molles et nitescentes céramiques. L’esprit redresse et compense en partie les mouvements. 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐮𝐧 𝐜𝐢𝐞𝐥 𝐥𝐢𝐦𝐩𝐢𝐝𝐞 𝐥𝐨𝐫𝐬𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐝’𝐚𝐳𝐮𝐫. Il ne montre que ce qu’il est et rien de ce qu’il cache. Il faut attendre la nuit pour que son opacité bleutée disparaisse enfin et dévoile le théâtre astral. 𝑇𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑓𝑎𝑢𝑠𝑠𝑒 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑛𝑒 𝑟𝑒́𝑣𝑒̀𝑙𝑒 𝑞𝑢’𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒. Si l’image du monde est trompeuse rien que par les lois de l’optique, que dire des représentations que nous nous en faisons si nous y ajoutons nos biais cognitifs. 𝐋’𝐚𝐜𝐜𝐮𝐦𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐛𝐞𝐚𝐮. 𝐐𝐮’𝐞𝐬𝐭-𝐢𝐥 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭 ? #science #transparence #apparence #réalité
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L’avantage c’est que ça sèche vite. L’inconvénient c’est que ça sèche vite aussi. Le dessin et la peinture, des activités de pantouflards ? Que nenni. À chaque toile, c’est un défi qui s’annonce. Une légère angoisse. Y arrivera? Y arrivera pas? Chef d'œuvre? Ou croûte? Ou entre les deux, tout simplement. Question de goût, d'état d'esprit. On a une idée en tête et puis le pinceau prend les rênes. Comme la plume. Le résultat est parfois loin de l’idée qu’on s’en faisait au départ. On se laisse emmener. Et il y a aussi les bavures, les traits mal placés, une couleur qui finalement, ne convient pas, une perspective à reprendre. Après une belle salve de jurons, on écoute un peu de Sepultura pour se détendre (si si) et on s’y remet. Comme on peint pour les petits et les grands enfants, il faut quelque chose de plus doux alors on met autre chose. Le thème de la Comté. Tiens, oui, ça c’est bien ! On reprend la palette, on observe un moment ce qu'on a déjà et on imagine ce qui pourrait aller ici. Et puis là. Et puis encore là-bas. De toute façon, maintenant c’est sec, on peut repeindre dessus. C’est l’avantage. Ça sèche vite donc on peut rectifier rapidement. C’est d’autant plus important quand on est plutôt perfectionniste (boouuuuhhh vilain mot honni sur ce réseau. Mais c’est ce que je suis, que veux-tu?!) et que la bourde nous obsède tant qu’elle existe. Bref. Nouveau challenge, nouvelle fenêtre sur un monde qui n’existe pas mais qui n’existe. Loin du steampunk mais toujours avec l’idée d’un lointain mystérieux, source de lumière et d’espoir sûrement, aussi. Un songe qui trotte dans la tête. Les 3 coups retentissent. Silence dans la salle! Les lourds rideaux pourpre du théâtre s’écartent. La scène se dévoile, onirique. On peut tout imaginer. Une petite pièce pour une grande rêverie. Qui a dit qu’il faut cesser de rêver quand on est grand? La terre est dure. Marcher sur les nuages, de temps à autre, ça fait du bien. Non? Bon lundi à toi. ☁️
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C’est le 8ème atelier déjà avec « les secrets de ma vie », le projet porté par l’association #bullededouceur auquel je participe pour les 3 années à venir. Après une série d’ateliers d’écriture et de médiation artistique, aujourd’hui, j’ai démarré les prises de vues avec le processus #photomorphose que j’ai créé pour accompagner avec la photographie à se reconnecter à soi et à la nature environnante. C’est le pari relevé avec les seniors du projet ce matin à Millas ! Il ne s’agit pas de réaliser un shooting mais bien d’accompagner la personne à se reconnecter à ses ressources (c’est ma pratique d’art thérapeute) dans un espace créé pour, l’inviter à devenir le capitaine de son navire, à se connecter à ses sensations et ses émotions à co-créer des images à partir de son ressenti et de son expérience créatrice. Savoir accueillir la parole même quand elle est chargée de traumatismes, plus ou moins graves selon la vie de chacun et chacune. Laisser aller ce qui pèse, accueillir les émotions pour se reconnecter à l’essentiel, à la force vitale qui nous traverse toutes et tous, et se sentir vivants et vivantes ! #lessecretsdemavie #carnetcréatif #récitsdevie #résilience #partage # #photographietherapeutique #portraits #cfppa #conseildepartemental #ogenie #pyreneesorientales #ccas #millas #bienvieillir #photomorphose #traumatisme #santementale #transgenerationnel #bullededouceur #arttherapie
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🐣 La genèse de Printemps silencieux : Quand les premières idées sont les meilleures ! 🌟 Trouver le nom de notre compagnie de théâtre n'a pas été une tâche facile. Des heures de brainstorming, des listes interminables de mots et d'idées... Voici une liste (non exhaustive) de nos soirées de recherche : Rêver l’obscur Après la rage Les arbres timides La fourmilière Au crépuscule Eclipse Les graines Finalement, on a gardé la première idée qu’on a eue.... Comme quoi, il faut parfois se laisser guider par ce qui vient. On est fières de ce nom qui correspond parfaitement à notre projet artistique. Alors, à votre avis, pourquoi avoir choisi “Printemps silencieux” ?
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😁 Tout vient à point à qui sait attendre ! La semaine dernière, je vous ai défiés sur l'accord des couleurs. Alors ? 🤯 Vous reste-t-il quelques cheveux sur la tête après cet exercice sur un thème quelque peu ardu ? Voici le texte corrigé et les explications en carrousel. "Au lever du jour, l’aube bleu pâle anéantissait les ciels gris 𝗮𝗰𝗶𝗲𝗿 de la nuit. Plus l'on avançait dans la journée, plus les lueurs 𝗯𝗹𝗲𝘂-𝘃𝗲𝗿𝘁 du matin naissant laissaient place à une lumière 𝗿𝗼𝘂𝗴𝗲-𝗷𝗮𝘂𝗻𝗲, quasi aveuglante. Le reflet des vagues fortes et mousseuses se reflétait dans les 𝗯𝗹𝗲𝘂𝘀 azur du ciel, faisant oublier les uniformes 𝗸𝗮𝗸𝗶 qui avaient foulé, jadis, ces plages de sable b𝗲𝗶𝗴𝗲 𝗰𝗹𝗮𝗶𝗿. Le soir, à la tombée de la nuit, le ciel prenait des notes 𝗼𝗿𝗮𝗻𝗴𝗲, 𝗿𝗼𝘀𝗲𝘀, mauves, rouges et citron. Les plus chanceux pouvaient apercevoir un rayon vert fluorescent fugace, avant que le ciel ne sombre à nouveau dans les nuances 𝗯𝗹𝗲𝘂 𝗳𝗼𝗻𝗰𝗲́ d'une nuit sans lune." Si vous bloquez encore, je vous réponds en commentaire 😁 ✅Bonjour ! Si vous me découvrez, je suis Sonia, formatrice référente Projet Voltaire. Je réconcilie les gens avec l’orthographe grâce à des formations ludiques et participaCtives, certifiées Qualiopi 😀 Alors ? Qu'est-ce que vous attendez pour reprendre la main sur votre clavier et ne plus hésiter avant d’appuyer sur la touche « Envoi » ?
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