Voici la mission de notre membre associatif la CAPÉ : 🍅 Soutenir, accompagner, perfectionner, animer et porter la voix des membres dans leurs activités d’agriculture de proximité biologique; 🥕 Sensibiliser et mobiliser le monde agricole et les communautés québécoises aux enjeux de l’agriculture écologique à échelle humaine, enracinée dans les communautés qui en vivent et s’en nourrissent; 🍆 Favoriser l’alimentation saine issue d’écosystèmes en santé; 🍉 Propulser des initiatives qui rapprochent les citoyens de la ferme.
Post de Protec-Terre
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Découvrez en vidéo ce que signifie l'accompagnement FaireFrance, raconté par Tristan, un de nos éleveurs dévoués 👨🌾🎥 Vous êtes prêt à faire la différence avec nous ? Cliquez sur le lien en bio pour découvrir comment vous pouvez vous joindre à notre mouvement pour une agriculture responsable et durable 🌍💚
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Lancé en janvier 2024 à l’initiative du réseau Civam, le projet « Dégenrons » réunit la Fédération associative pour le développement de l’emploi agricole et rural (FADEAR), Accueil Paysan, la Fédération nationale de l’agriculture biologique (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB), le service de remplacement France, le réseau national des espaces test agricoles (RENETA), Solidarité Paysans, le mouvement interrégional des AMAP (MIRAMAP - Mouvement Inter-Régional des AMAP) et l’association nationale de développement agricole et rural (Trame). Objectif de ce projet : mieux comprendre et analyser les freins spécifiques des agricultrices et identifier des leviers pour favoriser leurs installations.
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Ain'Culte : Transmettre l'Agriculture, Préserver notre Héritage ! Comme le montre cette image, avec Ain'Culte, la transmission d'un savoir-faire est essentielle. Promouvoir l'agriculture auprès des jeunes est une de nos priorités, et le transmettre l'est encore plus. C'est un héritage que nous devons faire vivre à travers les futures générations. Elles doivent comprendre à quel point cet héritage est précieux, car sans nos agriculteurs, il serait compliqué de se nourrir. Seules les personnes aisées ou celles qui sont autosuffisantes dans leurs productions alimentaires pourraient s'en sortir. Donc conserver notre souveraineté alimentaire sur notre territoire est capital. C'est dans ce cadre là que nous intervenons au sein des écoles : Nourrir le monde et découvrir les nouveautés alimentaires. Si vous pensez qu'il est important d'avoir une agriculture forte dans notre pays, n'hésitez pas à liker ce post et à nous contacter pour plus d'information à [email protected]. #Agriculture #SavoirFaire #AinCulte
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Votre territoire peut-il nourrir ses habitants ? Territoires Fertiles, un service d’intérêt général gratuit au service de la transition agricole alimentaire, est officiellement lancé depuis la journée mondiale de l’alimentation 🌾 Découvrez le diagnostic alimentaire de votre territoire en 3 minutes, et en face de chaque constat, une sélection de projets qui apportent des réponses concrètes aux enjeux de transition, personnalisée en fonction du territoire choisi. Venez découvrir le projet et rencontrer l’équipe le 21 novembre au Salon des Maires et des Collectivités lors d’une présentation en compagnie de Gilles PEROLE et sur notre stand dans l’espace biodiversité, et le 3 décembre aux Assises territoriales de la transition agroécologique et de l’alimentation durable, aux côtés de Christian Couturier, Isabelle Hébé et Denis Pesche De quels projets pourriez-vous vous inspirer pour augmenter la résilience alimentaire de votre territoire ? Découvrez la réponse 👇 Cc Le Basic Les Greniers d'Abondance Terre de Liens Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) #TerritoiresFertiles #TransitionAgricole #InteretGeneral
Votre territoire peut-il nourrir ses habitants ?
territoiresfertiles.fr
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✊✊ #Soutien Soutien à Mayëlis, Marius, Clémence et Simon ! Nous avions discuté de leurs projets d'installation lors des rencontres du RENETA - des échanges autour des montages juridiques immobiliers incluant des citoyens, la place des coopératives - les SCIC - ou SCI ou GFA citoyens-, partagé des inspirations venant de Terre de Liens ou de Villages Vivants... A eux 4, autour de ce projet - ces NIMA - Non Issus du Milieu Agricole - (jargon utilisé en agriculture pour désigner ceux et celles dont les parents ne sont pas agriculteurs) ont réussi à mobiliser 270 personnes et à lever 685 000€. Mais non. 270 personnes prêtes à les soutenir pour acquérir cette ferme de 170 ha au sud d'Angers pour en faire une ferme diversifiée en agriculture biologique, en polyculture élevage (60 vaches, du maraichage, des paysans-boulangers) Mais non. Et parmi ces 270 soutiens, il y avait des anciens agriculteurs, qui ont déjà transmis leurs fermes et qui étaient prêts à soutenir ce projet pour aider des jeunes à s'installer. L'un d'eux était déjà installé en maraichage, les autres travaillent dans le secteur agricole depuis des années avec un réseau important et ont fait des études d'ingénieur agronome.... Mais non. Mais non car la SAFER a arbitré en faveur d'autre agriculteurs, déjà installés, les terres partent en partie à l’agrandissement. Pas assez d'expériences... Comment fait-on pour renouveler les générations dans ce contexte ? Comment fait-on - alors même qu'il y a un Schéma Directeur Régional des Exploitations Agricoles qui est censé soutenir les nouvelles installations - pour garantir cet accès aux terres ? Comment fait-on pour que les jeunes continuent à vouloir s'installer ? Le renouvellement des générations, n'est il pas censé être l'un des grands défis de l'agriculture en France ? D 'autant plus en élevage ? - en plein pendant le SOMMET DE L’ÉLEVAGE Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt #installation #FermesCollectives https://lnkd.in/g7xmk9Vd
«C’est notre société productiviste qui veut ça» : en Anjou, le rejet d’un projet de jeunes agriculteurs bio provoque la colère
liberation.fr
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La Chambre d'agriculture de la Marne en action 🎬 Savez-vous comment la Chambre d'agriculture de la Marne s'implique concrètement sur son territoire auprès des exploitants agricoles et viticoles, des collectivités ? 👀 Découvrez quelques chiffres clés et actions emblématiques (non exhaustives !) qui ont jalonné ces 5 dernières années, parmis ces 6 axes forts : ➡ Apporter et soutenir des projets générateurs de valeur ajoutée 🤩 ➡ Développer la performance des entreprises agricoles et viticoles 💪 ➡ Etre acteur du développement et du dynamisme des territoires ➡ Renforcer la concertation avec l'Etat et les collectivités 🤝 ➡ Promouvoir l'image positive de l'Agriculture 📢 ➡ Répondre aux nouveaux besoins des agriculteurs et viticulteurs 🙏 A consulter sans modération ! 👇
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C'est quoi l'Agriculture Paysanne ? 🌱C'est une agriculture qui permet à un maximum de paysannes et paysans répartis sur tout le territoire de vivre décemment de leur métier. En produisant sur une exploitation à taille humaine une alimentation saine et de qualité, accessible à toutes et tous, sans remettre en cause les ressources naturelles de demain. Cette agriculture participe avec les citoyennes et les citoyens à rendre le milieu rural vivant, et à préserver un cadre de vie apprécié par toutes et tous. ☀️ Dans d'autres posts 👉le détail des principes de l'Agriculture Paysanne. #addear12 #agriculturepaysanne
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[🌟𝗕𝗜𝗟𝗔𝗡 𝗗𝗘 𝗠𝗔𝗡𝗗𝗔𝗧𝗨𝗥𝗘 🌟] A l’occasion de sa dernière session de la mandature 2019-2024, la Chambre d’Agriculture du Var est revenue sur certaines de ses actions menées au cours des 6 dernières années. Forte d'une équipe renforcée et d'une stratégie ambitieuse, les 50 salariés et 34 élus de l'établissement ont fortement œuvré et innové pour : 📍soutenir et accompagner les agricultrices et agriculteurs varois, 📍développer des projets agricoles au cœur de tous les territoires varois 📍et lancer des projets structurants et d’avenir pour l’agriculture varoise.
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🤔 Qui veut encore être agriculteur-trice ? 👩🌾👨🌾 C'est autour de cette question qu'ont débattu Cécile GAZO sociologue à l'AGRO Toulouse-Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse-ENSAT, Thomas Gibert de la confédération paysanne - et Paysan à la Ferme de la Tournerie-, Gilles Peret Réalisateur notamment du documentaire La Ferme des Bertrand - à voir si ce n'est pas fait - et Maxime Buizard-Blondeau du bureau des Jeunes Agriculteurs dans le midi du débat sur France Inter 📻 53 minutes pour comprendre les enjeux de l'installation-transmission, de voir le constat partagé, mais d'entendre les différentes propositions et solutions portées. C'est pour apporter une réponse à ces enjeux - là où elles ont le pouvoir d'agir - que des fermes pionnières telles que la FERME DES VOLONTEUX, la Ferme de Chalonne, La Clef des sables ou encore Le Courtil de Quincieux se sont inspirées de l'#ESS - Économie Sociale et Solidaire - pour l'appliquer à l'agriculture. D'autres modèles sont possibles en développant l'agroécologie coopérative et c'est que nous mettons en œuvre au sein des Les Fermes Partagées https://lnkd.in/dEx82siu
Qui veut encore être agriculteur ?
radiofrance.fr
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Mouiller la chemise et parfois mettre les pieds dans le plat, il faut bien ça pour faire bouger les lignes dans le monde agricole ! ***Au terme d'un travail de 6 mois ( 👇 ), je cherche un poste à la croisée des enjeux agricoles et éventuellement de l’eau : favoriser l’autonomie alimentaire des territoires, préserver la qualité de l’eau, dans des approches terrain / de recherche-action, c'est ce que je veux faire !*** Ce travail de 6 mois, c'est notamment une enquête sur une vingtaine de fermes du Sud-Aveyron et un gros travail d'animation avec ma collègue Elodie Tillet, qui a abouti à une journée de restitution très riche réunissant plus de 150 personnes d’horizons divers (agriculteur.rices de tous bords, habitant.es, professionnels, élus locaux - Sébastien David, Véronique Martin Saint-Léon, Jean-François Rousset). Le but : renouer des liens au sein du monde agricole et avec les habitant.es. Quelques points saillants de notre enquête : 🌿 Un territoire préservé car enclavé, foisonnant d’initiatives, qui doit en grande partie son ouverture à son histoire de luttes, parmi lesquelles, le Larzac, avec le brassage de populations et d’idées qu’elles ont amené ; 👩🌾 Une difficulté pour les agricultrices à trouver leur place dans l’agriculture en collectif : convaincre de leur passion, apparaître crédibles sur des sujets comme le machinisme, répartition très genrée des tâches pour une reconnaissance pas toujours égale… 🤝 Les réseaux de coopération agricole comme vecteur essentiel de l’intégration des néo-installés - dont 40% sont des néo-ruraux aujourd’hui en Aveyron – pour une installation viable et pérenne. La Cuma entre autres, et son positionnement asyndical, pour dépasser les clivages au sein du monde agricole. 👆 Choisir de coopérer, c’est aussi reprendre le contrôle sur des décisions, être plus nombreux pour parler d’une voix collective et s’affirmer face aux autres maillons de la chaîne agroalimentaire ou face aux pouvoirs publics. 👊 Les agriculteur.rices sont des acteurs engagés : pour les territoires ruraux, pour une alimentation saine et de qualité pour beaucoup, ils sont investis d’une responsabilité envers le vivant (sols, animaux), ils ont des mandats d’élu local, sont impliqués dans des associations. Mais aujourd’hui, les agriculteur.rices sont très inquiets pour l’avenir de l’agriculture et ils ont le sentiment d’une perte de liberté. Pour reprendre les mots d’un agriculteur : nous sommes à la croisée des chemins, est-ce qu’on laisse nos campagnes se vider ? Sur tous ces sujets, la puissance publique est très attendue : 👉Comment assurer le renouvellement des génération ? 👉Comment redonner envie d’être agriculteur, agricultrice ? 👉Comment sortir des guerres de chapelles qui minent le monde agricole ? + de détails en pj ! Merci à la FD Cuma, la com com, InSite, la commune de Saint-Izaire, Alexandra, Fanny, Camille, Didier, Elisabeth, dominique, Gérard, Christian et tous les autres !
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