Post de Magali FARENC 🐿

🛑🚧#A69: le rapporteur de l’ONU est clair: il faut que ça cesse! Extrait de l’article de France 3 #Expulsion_impossible Le climat particulièrement tendu sur le site de la « Crem’Arbre », est selon lui tout à fait incompatible avec une expulsion des « écureuils » dans des conditions satisfaisantes de sécurité, pour eux-mêmes ou pour les membres des forces de l’ordre chargées de leur interpellation dans les arbres qu’ils occupent. Le rapporteur demande aux autorités françaises la prise de mesures immédiates de protection des « écureuils », notamment : L’autorisation sans délai et sans entrave du ravitaillement en nourriture et en eau potable. La prise de toutes les mesures de précautions indispensables à la sécurité des « écureuils » et des membres des forces de l’ordre chargés de leur interpellation. Une enquête et des sanctions pour les actes de privation de sommeil, de combustion de matériaux, d’allumage de feux et de déversement de produits a priori inflammables par les forces de l’ordre, qui ont pu mettre en danger la vie des « écureuils ».

Le changement climatique impacte tous les pans de la société, y compris le milieu carcéral ! Notre Affaire à Tous propose une synthèse de son futur rapport inédit sur les risques climatiques et environnementaux auxquels sont exposées les prisons françaises ➡ https://lnkd.in/egXjuhPt 📻 (Ré)écoutez Chloé Lailler, juriste, spécialiste en Droits humains, co-autrice du rapport, aux côtés de Vincent Delbos, magistrat honoraire, membre du Comité de prévention de la torture du Conseil de l’Europe : https://lnkd.in/euFkge7r Sur la base de données publiques, nous avons évalué : 9️⃣ risques climatiques et environnementaux auxquels les prisons sont exposées 8️⃣ facteurs aggravants, renforçant la vulnérabilité des personnes face aux conséquences des événements climatiques extrêmes et des pollutions. Dans ce rapport, nous formulons de nombreuses recommandations destinées à répondre aux enjeux climatiques et environnementaux auxquels font face les prisons. 📩 Pour recevoir le rapport "Double peine : les risques climatiques et environnementaux dans les prisons françaises" dès sa sortie le 11 juillet 2024 par mail 👇 Remplissez dès maintenant notre formulaire d'inscription : https://lnkd.in/eBs7FChc

En cette fin de semaine, tous les regards sont tournés vers le Poitou, où une nouvelle mobilisation d’ampleur des opposants aux « mégabassines » est attendue. Mais au-delà des revendications légitimes sur le partage de l’eau, ce sont surtout les risques de débordements violents qui inquiètent les autorités. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin ne cache pas son appréhension, craignant la présence de groupes radicaux déterminés à en découdre. Un rassemblement sous haute tension D’ici à dimanche, ce sont entre 6000 et 8000 manifestants qui sont attendus au « Village de l’eau », un campement installé à Melle dans les Deux-Sèvres. Parmi eux, un noyau dur d’environ un millier de personnes « extrêmement violentes », selon les mots du ministre. Des activistes prêts à s’en prendre aux forces de l’ordre, comme ce fut le cas en mars dernier à Sainte-Soline, théâtre de violents affrontements ayant fait de nombreux blessés dans les deux camps. Pour tenter d’éviter un scénario similaire, la préfecture a prononcé des interdictions d’entrée sur le territoire pour plus d’une centaine de militants d’ultragauche venant de pays européens voisins. Les gendarmes ont également multiplié les contrôles aux abords du site, avec palpation et fouille des sacs des passants et automobilistes. Mais malgré ce dispositif conséquent, le sentiment d’un affrontement inévitable semble dominer. Deux visions de l’eau qui s’opposent Car au-delà des risques sécuritaires, ce sont bien deux visions antagonistes de la gestion de l’eau qui s’affrontent. D’un côté, les partisans des retenues, qui y voient un moyen d’adapter l’agriculture au dérèglement climatique et de sécuriser l’irrigation en période de sécheresse. De l’autre, les opposants qui dénoncent un accaparement de la ressource au profit d’une agriculture productiviste et de l’agro-industrie. Les mégabassines sont un non-sens écologique et une fuite en avant. Il faut repenser complètement notre modèle agricole et la place de l’eau dans nos territoires. – Justine, militante anti-bassines Un clivage qui semble irréconciliable et qui polarise les territoires ruraux autour de la question de l’eau. Les agriculteurs se disent excédés par les actions coup de poing des militants écologistes, qui n’hésitent pas à dégrader du matériel ou à s’en prendre physiquement à eux. De leur côté, les opposants accusent l’État et les chambres d’agriculture de soutenir aveuglément un système à bout de souffle. Vers une montée inexorable des tensions ? Dans ce climat délétère, difficile d’imaginer une issue apaisée au conflit. Chaque camp semble se radicaliser, rendant le dialogue de plus en plus ardu. Les tentatives de concertation initiées par les préfectures n’ont pour l’instant pas permis de ramener la sérénité, et les positions semblent se durcir de jour en jour. Face à cette situation explosive, les autorités craignent une escalade de la violence qui pourrait faire des victimes. Et au-delà des dégâts matériels et humains, c’...

[DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE : LA DOUBLE PEINE POUR LES DÉTENU.E.S.] Dans la lignée de leurs précédents travaux sur les impacts du changement climatique et les inégalités qu’ils aggravent ou génèrent, l'association Notre Affaire à Tous publie un rapport inédit sur les risques climatiques et environnementaux auxquels sont exposées les #prisons françaises. L'association a évalué la vulnérabilité des prisons françaises en fonction de 9 risques climatiques et environnementaux, ainsi que 8 aspects récurrents du système #pénitentiaire français actuel que nous avons retenus comme facteurs aggravants (#surpopulation, problème d'accès à l'eau, vétusté des bâtiments, ....) Le résultat est inquiétant : aucune des 188 prisons françaises n’échappe aux risques climatiques et environnementaux. Les prisons du sud de la France, notamment les DISP Marseille et Toulouse, sont les plus impactées.  ▶️ 100% des prisons sont concernées par le risque de canicule. ▶️ 1 établissement sur 2 est en zone à risque de retrait et gonflement des argiles. ▶️ Près d’1 établissement sur 3 est exposé aux tempêtes et cyclones. ▶️ Plus d’1 établissement sur 4 est concerné par le risque d’inondation. ▶️ 7 établissements sur 10 sont situés sur des sols potentiellement pollués. ▶️ 1 établissement sur 10 est situé à proximité d’un site classé ICPE. ▶️ Près d’1 établissement sur 4 est situé à proximité d’un aéroport, d’une voie ferrée, et/ou d’un axe routier important. ▶️ 15 prisons cumulent les 8 facteurs aggravants. L'association constate que malgré cette indéniable vulnérabilité, l’enjeu de l’adaptation des conditions de vie et de travail dans les lieux de privation de liberté à l’aune de la #crise #écologique n’est ni sérieusement documenté, ni véritablement abordé. Il ne fait l’objet d’aucune politique publique et ne semble pas être pris en compte dans les programmes de construction et de rénovation des prisons. Dans un contexte où la France a déjà été condamnée à multiples reprises par la Cour européenne des droits de l'Homme (#CEDH) concernant les conditions de #détention, l'association indique qu'il est urgent d’adapter le système carcéral français et propose 17 pistes d’actions pour une adaptation urgente et efficace des prisons françaises aux risques climatiques, en adéquation avec les préconisations généralement portées par les institutions et organisations qui s’intéressent aux conditions de détention. La synthèse du rapport est ci-dessous, le rapport complet est disponible sur le site de l'association ici : https://lnkd.in/egXjuhPt

Dans l'indifférence générale ... Ce monde commence à me dégouter de plus en plus. Comment des gouvernements peuvent-ils recourir à de telles pratiques pour, en filigrane, quelques basses manœuvres politiques ? Que faisons-nous, nous, pays occidentaux, pour ne pas laisser ces millions de personnes crever de faim et éviter ce massacre ? 😶 Au total, 27,2 millions de personnes en Afrique vivent actuellement une famine historique et, nous, à quoi pensons-nous ? À la prochaine tête de nœud incompétente qui va poser ses cartons à l'Hôtel Particulier de Matignon, à la possible réélection du dangereux déficient intellectuel américain au cheveux jaune, à cette putain de croissance qui finalement ne fera qu'aggraver la situation, etc, etc ... Et pendant ce temps, on voit passer des crétins congénitaux qui remettent en doute la catastrophe environnementale et climatique en cours parce qu'ils n'ont pas pu faire leur moyenne habituelle de barbecues estivaux au fond de leur jardin en exhibant leur tout nouveau SUV Hybride Rechargeable 🙃 On vit une époque formidablement atterrante ! Certains gouvernements anéantissent des espèces menacées ou vulnérables et d'autres emprisonnent des gardiens du vivant - #FreePaulWatson Captain Paul Watson - dans une parodie de procès véritablement scandaleuse et inqualifiable. https://lnkd.in/ggycf42C

Michel FORST, le rapporteur spécial de l’ONU sur les défenseurs de l’environnement, a demandé à la France de protéger les « écureuils », les militants qui campent dans les arbres de la ZAD de la crém’Arbre sur le tracé de l’#A69 🚨 ⠀ Une prise de position historique qui s’inscrit dans le contexte de la publication d’un rapport de l’ONU sur la répression croissante des défenseurs de l’environnement en Europe. Pourtant, les JT de TF1 France 2 (France Télévisions) et M6INFO n’ont pas jugé bon d’en parler ... 🤦 ⠀ ⠀ 🔎 Depuis le début de l’évacuation il y a deux semaines, les défenseurs de l’environnement subissent de nombreuses violences psychologiques et physiques, comme la privation de sommeil et de nourriture. Le rapporteur spécial de l’ONU a ordonné à la France : ⠀ ➡️ l’autorisation sans délai et sans entrave du ravitaillement en nourriture et en eau potable ⠀ ➡️ la prise de toutes les mesures de précautions indispensables à [leur] sécurité et [à celle] des membres des forces de l’ordre chargés de leur interpellation ⠀ ➡️ l’ouverture d’une enquête et des sanctions pour les actes de privation de sommeil, de combustion de matériaux, d’allumage de feux et de déversement de produits a priori inflammables par les forces de l’ordre, qui ont pu mettre en danger la vie des “écureuils” ⠀ ➡️ de s’assurer que la presse et les membres de l’observatoire toulousain des Pratiques Policières soient autorisés à effectuer leur travail sans restriction disproportionnée ⠀ ⠀ 🤐 Ordres qui n’ont pas été respectés, en témoigne le blocage et gazage par les forces de l’ordre ce week-end face aux citoyens venus apporter de l’eau et des vivres aux écureuils. ⠀ ⠀ ⠀ Pour plus de climat dans les médias, votre soutien est essentiel ! 5€ de don —> 1.70 après défiscalisation (https://lnkd.in/eymsQbPR) 🙏

Qu’en pensez-vous ? Est-il normal que cet homme soit maintenu en détention provisoire depuis le mois de juillet 2024 au Groenland en vertu d'un mandat d'arrêt international injustifié émis par Tokyo ? Juste pour rappel : le Japon , la Norvège, l'Islande bafouent un moratoire international qui interdit la chasse de la baleine dans le monde , une espèce vulnérable menacée par les pêches à des fins commerciales , et le dérèglement climatique. Une campagne de pêche c'est plus de 1000 baleines harponnées n’épargnant pas les gestantes. Une gestation dure 10 à 15 mois, une mise bas tous les 2 voir 3 ans avec une maturité sexuelle tardive entre 5 et 15 ans. L’inébranlable soutien international et médiatique pour Paul Watson fondateur de Sea Shepherd met en lumière son combat et sa determination au sein de cette ONG dans la préservation de la biodiversité essentielle à l’équilibre de notre écosystème avec cet espoir d’être enfin entendu et soutenu par les pouvoirs politiques dans l’application des lois en territoire maritime. Du côté du pays du soleil levant la baleine est une source de nourriture faisant partie intégrante de sa culture nationale, une vieille tradition historique pourtant en plein déclin délaissée par la population japonaise depuis des années préférant d'autres sources de protéines plus abordables tels que le poulet et le boeuf. La détention de Paul Watson est tout simplement inacceptable compte tenu des faits insignifiants qui lui sont reprochés et les fausses accusations qui en découlent . Le bâillonner par la voie de la justice est une subtile façon de l'éloigner de la scène. Il est clair que nous attendons avec impatience et beaucoup de crainte la décision du ministre Danois dans 2 semaines qui laisse planer depuis des mois cette réelle menace d’extradition de Paul sous la pression du Japon. Sans faire preuve de pessimisme si c'est le cas , elle révèlera cette interdépendance qui nous lie pour permettre l'avancement du progrès économique au détriment de l’application des lois essentielle dans le maintien du projet de préservation. Alors, aurons-nous bonne conscience de laisser les "criminels" devenir les bourreaux de Paul ? Rendez-vous dans 20 ans pour faire un bilan sur l'état de santé des océans. 🙏 Hugo Clément pour votre soutien

MEGA-BASSINES Et oui ils ont raison ces milliers d' opposants aux Bassines qui dénoncent la supercherie des BASSINES depuis des années sur les volumes d'eau prélevés dans le milieu naturel. BNM a toujours estimé que les volumes agricoles étaient non seulement supérieurs aux volumes prélevés les années passées mais aussi que les ressources n'étaient pas disponibles dans le milieu naturel. La Justice a révélé dès juillet et confirmé en octobre cette supercherie grâce à un travail fabuleux de, Nature Environnement 17 et de ses juristes, adhérents, bénévoles.. Alors qui sont donc les eco-terroristes finalement ? Les militants écologistes défenseurs de l'intérêt général ou les services de l'Etat qui n'ont pas respecté la loi aux côtés des pro-bassines ? La justice a tranché : c'est bien l'Etat qui ne respecte la loi.

Alors que les Deux-Sèvres se préparent à accueillir le controversé « Village de l’eau » ce week-end, rassemblement militant contre les projets de retenues d’eau géantes appelées « bassines », les autorités ont d’ores et déjà saisi pas moins de 400 objets dangereux lors de contrôles préventifs. Haches, couteaux, barres de fer, mais aussi des liquides inflammables susceptibles de servir à la confection de cocktails molotov figurent parmi l’arsenal confisqué, signe de la tension extrême autour de ce dossier explosif. Des milliers de militants attendus malgré l’interdiction Le Village de l’eau, organisé par un collectif d’associations environnementales comme les Soulèvements de la Terre et Bassines Non Merci, compte rassembler au moins 10 000 personnes selon les organisateurs, malgré l’interdiction préfectorale. Les autorités tablent de leur côté sur 6 000 à 8 000 manifestants, dont un millier d’éléments radicaux prêts à en découdre. Un important dispositif de sécurité, mobilisant plus de 3 000 gendarmes et policiers, a été déployé pour tenter de contenir les débordements. Des affrontements similaires à ceux de Sainte-Soline en mars dernier, où militants et forces de l’ordre s’étaient violemment opposés, sont redoutés. Un conflit qui cristallise les tensions Au cœur de la contestation, les « mégabassines », vastes retenues d’eau destinées à l’irrigation agricole. Pour les défenseurs de l’environnement, ces projets menacent les ressources en eau et la biodiversité. Les agriculteurs y voient eux une solution indispensable face aux sécheresses à répétition. « Ces bassines sont des aberrations au service d’une agriculture productiviste. Il faut repenser totalement notre modèle. » Un militant anti-bassines Mais au-delà de la question de l’eau, le conflit cristallise les fractures entre monde rural et néo-ruraux, agriculture conventionnelle et paysanne, écologie pragmatique et radicale. Un dialogue de sourds qui semble mener droit vers l’affrontement. La crainte d’un nouvel embrasement Les autorités redoutent que le rassemblement ne dégénère en guérilla urbaine comme à Sainte-Soline. Des appels à « reprendre les terres » et à démanteler les chantiers de bassines circulent sur les réseaux sociaux des mouvements les plus radicaux. Plus de 3 000 gendarmes et policiers mobilisés Des renforts d’unités spécialisées dans le maintien de l’ordre Des contrôles et fouilles pour empêcher l’introduction d’armes Un important dispositif pour protéger les bassines existantes Malgré les tentatives de médiation de dernière minute, le fossé semble plus béant que jamais entre pro et anti bassines. Chaque camp se prépare désormais au choc, dans une ambiance électrique. Les Deux-Sèvres retiennent leur souffle, à quelques jours de manifestations à hauts risques, dont l’issue pourrait influer durablement sur la suite du conflit. The post Démonstrations Anti-Bassines : 400 Objets Dangereux Saisis dans les Deux-Sèvres first appeared on ViralMag.fr.

Objet: Existe t'il deux systèmes de justice au Canada? Contexte: Les premières victimes du crime organisé autochtone sont les bons citoyens (es) autochtones qui demandent des interventions policières et politiques. Questionnements: Est ce que la protection de l'environnement est moins importante lorsque des déversements illégaux se produisent sur un territoire autochtone? Ou sont les manifestants professionnels que l'on a vu sur les terrains de Northvolt? Est ce qu'on peut se permettre, comme société, d'abandonner les bons citoyens autochtones aux mains des bandits, en les laissant agir dans des zones de non-droit? Est ce qu'on peut laisser des bandits incendier des maisons, menacer et frapper des gens de la communauté de Kanesatake, qui dénoncent la violence des membres du crime organisé autochtone? Et si on remplaçait l'aveuglement volontaire politique, qui menotte les policiers, depuis longtemps, par un leadership fort, on peut être assuré que des interventions policières, auraient l'approbation sociale des bons citoyens (es) de la communauté et de l'ensemble de la société. Tout ce qui entre, ou sort du territoire autochtone de Kanesatake, pourrait être contrôlé, car c'est par les airs, l'eau, le sol, que passent les contaminants, les marchandises illégales, dont les armes à feu et les membres de plusieurs autres groupes reliés au crime organisé.