Post de Les relocalisateurs

en 2023, le ministère de la Culture a attribué en 2023 un total d’aides directes de 204,7 M€ dont 22,7 M€ au titre des six aides au pluralisme, 133 M€ pour les aides au transport et à la diffusion, 19,1 M€ pour les aides à l’investissement en faveur de la modernisation. Ces aides visent notamment à garantir la diversité des médias, essentielle à un paysage médiatique libre et indépendant, constitué d'opinions et d'idées diverses. le tabalei a été edite le 21 juin 2024 Aides à la presse en France

𝗟𝗲𝘀 𝗘𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹𝗲𝘀, 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝗽𝗼𝗻𝘀𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗮𝗺𝗯𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝘂 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲    Lors du 106e Congrès des Maires de France, le Premier ministre Michel Barnier a rappelé trois conditions essentielles pour permettre aux communes de remplir pleinement leur rôle : liberté, moyens d’agir et simplicité.   👉 La Fédération des élus des Entreprises publiques locales (FedEpl), accueille avec satisfaction ces ambitions et appelle à des actions concrètes pour accompagner les collectivités locales. En tant qu’outils opérationnels au service des communes et des collectivités territoriales, les Entreprises publiques locales (Epl) font partie intégrante de la solution.   Nous plaidons pour des mesures ambitieuses : ✅ Simplification des procédures de création et d’administration des Epl et des filiales de Sem ✅ Accroissement des capacités de financement des Epl, tant publics que privés ✅ Sécurisation des interventions des élus mandataires au sein des Sem, des filiales des Sem, des Spl et des SemOp   La FedEpl se tient prête à travailler aux côtés du Gouvernement et des associations d’élus pour continuer à accompagner les collectivités dans la mise en œuvre de politiques publiques adaptées aux réalités locales. Consultez notre communiqué de presse 👇   #CollectivitésLocales #Territoires #simplification #sécurisation    Philippe LAURENT Benjamin Gallèpe Esteban PRATVIEL

Oui et non mais il fait faire un audit financier de chaque télé et voir si la dotation est bien utilisée à la mission et non pas à payer des salaires non-justifiés ? Et pourquoi pas mutualiser tout ce qui est comptabilité et administration ? Il y a des économies d’échelle à faire sur beaucoup de choses. Il faudrait aussi calculer quel est le coût contact d’une télévision de proximité. Quel est le temps réel que les gens regardent ses télévision, et que regarde-t-il ? Car j’ai pu constater un jour que dans un conseil d’administration, certaines personnes ne connaissaient même pas la chaîne. Il y a des questions à se poser. Et peut-être qu’il est grand temps de réfléchir à beaucoup d’éléments afin d’ entrevoir le futur positivement.

"Il faut réduire drastiquement le nombre de médias de proximité et leur dotation !" (J.G.) 1️⃣ Que dit l’accord de Gouvernement ? "Qu'un cadre permettant des fusions volontaires sera établi". Que dit la Ministre aujourd’hui avant consultation du secteur ? Que la #province (espace politique considéré comme désuet par ce même Gvmt), doit être l’espace de jeux des nouveaux futurs ex-médias de proximité. Une télé par province, ce n’est pas une réforme. C’est la mise à mort des médias de proximité. 2️⃣ Les médias de proximité (MDP) coûtent trop cher 🤑 La dotation pour les MDP était, jusqu'à la semaine dernière, dans les contrats de gestion qui nous lient à la Fédération Wallonie-Bruxelles pour une durée de 9 ans de 10.850.000€ par an pour 12 médias. Le gouvernement vient de couper unilatéralement et sans concertation avec le secteur 500k€. On parle donc de 10 millions d’euros « d’économie » potentielle sur un budget de 15 milliards d’euros… La véritable motivation politique n’est donc pas économique. 3️⃣ 12 médias, c’est trop 🙅♀️ Peut-être. 6, 4, 5, 10 aussi, si on veut. Si on regarde le nombre (6) de gouvernements pour un mini pays comme la Belgique et 3,35 milliards de budget par législature (calcul VRT 2018), pour les faire fonctionner c’est aussi beaucoup*, trop*, indécent*, inefficace* (*biffez la mention inutile). 12 médias publics professionnels contrôlés par le CSA - Conseil supérieur de l'audiovisuel sur l’exécution de missions spécifiques inscrites dans des contrats de gestion détaillés, c’est bien peu en réalité au regard de la multiplication des créateurs de contenus douteux qui d’ici deux ans représenteront 50 milliards d’euros d’intérêts financiers divers, variés et très intéressés de polluer nos #cerveaux potentiellement dociles. 4️⃣ Mont-sur-Marchienne et Comines, c’est kif kif 👯♂️ La Ministre aimerait nous le faire croire. Personne d’autre n’y croit. Les médias de proximité doivent leur existence à des réalités de dynamiques sociales, culturelles, économiques, politiques spécifiques. On peut artificiellement les amalgamer. Mais on n’aura alors juste plus de médias de proximité. On aura autre chose (et puis plus rien). Quand avez-vous entendu parler de Silly, Leuze ou Mont-de-l’Enclus dans un JT national ces 6 derniers mois ? Jamais. notélé⚡️ n’est pas là juste pour « rendre compte ». Nous participons activement au lien entre les gens et au rayonnement de nos territoires. C’est une mission d’une utilité brûlante qui s'inscrit pleinement dans la nécessité de #pluralisme et #diversité. Une mission que les 12 médias de proximité, chacun avec leurs contraintes et leur objectifs propres, relèvent avec #professionnalisme et #efficacité et avec la volonté de s'améliorer en continu. Professionnalisme, efficacité, utilité, déontologie…. Des caractéristiques qui ne sont d’ailleurs pas remises en cause. Ce n’est tout simplement pas l’objet de la fronde actuelle du Gouvernement. A bon entendeur… Réseau des Médias de proximité

Comment ne pas être solidaire avec les MDP ? Que des efforts en matière de synergies doivent être réalisés ok mais anéantir 40 ans de travail utile au service de la population c’est un peu court ! Stop aux idées courtes et à une politique d’apprentis comptables ! 😡

#2030 #RSE #RelocalisationMedia Dorothée Caulier est une femme de combats 💪 Dans cette interview pour INfluencia, elle revient sur le Colloque "Démocratie, Information & Publicité" durant lequel elle est intervenue. Elle y interpelle les pouvoirs publics, les annonceurs et l'écosystème média, en rappelant que l'échéance de 2️⃣0️⃣3️⃣0️⃣ ne concerne pas uniquement les enjeux #climatiques (aussi important soient-ils) ! N'oublions pas en tant qu'acteurs de la communication, les enjeux #démocratiques et #économiques autour des investissements publicitaires des annonceurs. Soutenons nos médias français et locaux ! Extrait : 💬 "Les rapports RSE des annonceurs devraient inclure les bilans de leurs investissements publicitaires (...) Durant le colloque, j’ai été surprise de voir l’absence des annonceurs. Tant qu’ils ne seront pas convaincus de la nécessité de rééquilibrer leurs investissements publicitaires, il ne se passera rien. Il faut mieux éduquer les media planneurs et les jeunes annonceurs. Après la crise, tout le monde parlait de relocalisation industrielle mais n’oublions pas non plus la relocalisation des médias. Le gouvernement doit également cesser d’utiliser sans cesse les réseaux sociaux pour communiquer. Ils peuvent aussi faire leurs campagnes sur les autres médias."

🔹 La relocalisation des investissements média : un enjeu commun qui doit être soutenu collectivement ! Retrouvez la tribune d'Alexis Goujon, DG des Relocalisateurs, partenaire de la 2e édition du #GPRMedias24, à l'occasion du palmarès du Grand Prix de la Responsabilité des Médias et de la Communication ! 🏆

🚀 À tous les jeunes de la région Souss Massa : Votre voix compte ! 📢 L'Instance Consultative des Jeunes et de l'Avenir, placée sous l'égide du Conseil Régional de Souss Massa, lance une étude cruciale pour mieux appréhender vos besoins et aspirations en matière de Gestion Régionale. Cette initiative vise à mieux comprendre la situation des Jeunes et leur engagement dans la gestion des Affaires Régionales. L'objectif principal de cette consultation numérique, accessible via le lien suivant https://lnkd.in/eE2DAuNG , est d'identifier les besoins et attentes des Jeunes de la Région Souss Massa en matière de Gestion Régionale, tout en offrant une tribune pour recueillir leurs opinions sur leur implication dans ces Affaires. En outre, cette démarche vise à relever les défis auxquels sont confrontés les Jeunes dans ce domaine et à rassembler les solutions et recommandations qu'ils proposent pour renforcer leur contribution à la gestion des Affaires Régionales. Participez dès maintenant à cette consultation numérique via le lien ci-dessous et contribuez à façonner l'avenir de notre région. #Jeunesse #GestionRégionale #SoussMassa

🚨 1er janvier 2025 : Fin de la distribution de la presse écrite en Polynésie française Les buralistes viennent d’être informés par une note de l'entreprise Hachette Pacifique, l’importateur local de la presse écrite française et internationale, que le 1er janvier 2025 il cessera définitivement la distribution de la presse écrite en Polynésie française. Cette décision marque donc la fin d’une ère pour la presse écrite en Polynésie française, qui s’inscrit dans une tendance mondiale d’abandon progressif du papier au profit du numérique. 📉 Une transition mondiale vers la fin de la presse écrite Aux États-Unis, en Europe, en Asie, les éditeurs réduisent drastiquement les éditions papier de nombreux titres de presse emblématiques quand ils ne passent pas entièrement au numérique. La France métropolitaine n’échappe pas au phénomène. Alors qu’entre 1880 et 1910 la presse écrite atteint son âge d’or, jusqu’à devenir entre 1945 et 1970 la principale source d’information, à partir des années 2000, l’essor d’Internet amorce son déclin. L’apparition des médias en ligne entraîne une baisse des tirages papier depuis lors jamais démentie. Montée du numérique avec un accès facilité à l’information via les smartphones et ordinateurs, explosion des coûts de production et des coûts logistiques, baisse des revenus publicitaires, baisse continue de la demande pour le papier, la Polynésie française incarne la première la disparition totale de la presse écrite. Mais passer au tout numérique mise donc sur l’accessibilité pour tous à internet. À défaut, la disparition de l’accès à l’information papier incarnerait alors une régression de l’accès à l’information. 🌐 La fracture numérique reste une réalité dans certaines îles de Polynésie française. Le cas polynésien n’est pas neutre puisque des îles de l’archipel ne disposent pas d’un accès stable ou abordable à Internet, ce qui pourrait alors priver une partie de la population de cette transition. En Polynésie comme ailleurs, le numérique offre donc l’avantage d’un accès rapide et immédiat à l’information mais dans les zones isolées, ce passage complet au digital n’est pas sans défis. Contrairement aux grandes villes où la transition numérique est à maturité, certains territoires nécessitent encore des solutions spécifiques. Bientôt, les derniers exemplaires papier des journaux qui ont marqué notre histoire au quotidien ne seront peut-être plus visibles que dans les musées. Une page se tourne, avec une pointe de nostalgie… #innovation #digitaltransformation #futureofmedia

Au lieu de nous plaindre de tout et de tous, et si nous construisions ensemble le meilleur Programme Politique pour la France en 5 Pages pour les 5 prochaines Années ? Que modifieriez-vous dans ces Propositions ? Seriez-vous prêts à suivre ce Mouvement ?