La revue de presse du retail : CAUSSADE : Le point de vente écomiam, point relais pour les paniers anti-gaspi: ... grande distribution qu'elle vend ensuite sous forme de « paniers anti-gaspi » afin de leur donner une seconde vie. « Précurseur en matière de ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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Consommation - Quand économie rime avec paniers anti-gaspi à Clermont-Ferrand
lamontagne.fr
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Anti-gaspi, une combinaison accrocheuse pour dire "par cher et un peu écolo", deux thèmes fort en Europe. Le consommateur va-t-il accepter de baisser ses critères qualité ? Je gage que oui, avec ce prix hyper compétitif à 1,20 euro la barquette de salade toute prête à manger. Un terme à retenir et à utiliser: ANTI GASPI
Carrefour s’offre l’exclusivité sur une salade emballée antigaspi
lineaires.com
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Quand Michel Onfray confond pragmatisme économique et absurdité, il rate l'essentiel. Dans un contexte où la grande distribution fait face à des défis croissants, l'interview de Michel Onfray sur le vol de chocolat et les dispositifs anti-vol semble réduire un problème complexe... à une caricature simpliste. Il est important de rappeler que les dispositifs anti-vol ne sont pas un caprice, mais une réponse nécessaire à une réalité économique. La démarque inconnue pèse lourdement sur les comptes des enseignes, menaçant leur rentabilité et leur capacité à offrir des prix compétitifs aux consommateurs. En protégeant des produits de consommation courante comme le chocolat, nous protégeons également le pouvoir d’achat. Onfray semble minimiser cette réalité, en sous-entendant que protéger des biens alimentaires relèverait de l'absurde. Pourtant, c'est précisément parce que ces produits sont ciblés que des mesures s'imposent. Les pertes se répercutent directement sur les marges des entreprises et, in fine, sur les prix en rayon. Plus largement, cette analyse omet de prendre en compte un aspect sociétal fondamental : la montée des incivilités et du vol. Plutôt que de critiquer les mesures prises par les supermarchés pour se protéger, ne devrions-nous pas réfléchir à comment enrayer cette banalisation du vol et restaurer un cadre de respect collectif ? Une réflexion honnête et complète sur le sujet exige de dépasser les simplifications idéologiques. Pour voir l'interview d'Onfray : https://lnkd.in/eRgHDG2V
«Certains sont prêts à payer un dispositif pour empêcher qu’on vole le chocolat qui coûte plus cher que le chocolat», constate Michel Onfray
cnews.fr
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Tromper le client ne dure qu'un temps. En attendant on paie une plus value sur des produits du libre échange. Apres c 'est aussi aux consommateurs d être vigilant sur l authenticité du produit et comment il a ete produit pour notre sante et d être certain que le contenu soit de la bonne origine avec un prix en adéquation . Et pour les Produits Bio Etranger La c'est très compliqué pour le consommateur d être sur cette appellation Bio. Vaste sujet Et la règlementation qui permet de réduire le contenu mais toujours au même prix . On pourrait aussi évoquer les Produits non alimentaire CE . Après la crise agricole, premiers contrôles des étiquettes Dans ce supermarché de Grand-Quevilly (Seine-Maritime), ces inspectrices vont contrôler l'origine des produits du rayon fruits et légumes. D'abord, ce choux annoncé français. Pour le vérifier, direction la réserve du magasin. Le légume est bien français, produit dans la Manche, tout est en règle. Mais en regardant dans les stocks, l'une des inspectrices tombe sur des paniers anti-gaspi. Seul rappel à l'ordre ce mardi matin : "même avec tout ce qui est promotionnel et anti-gaspi, il ne faut pas qu'on perde la traçabilité de l'origine des produits ; il faut que l'information donnée aux consommateurs soit la bonne". La semaine dernière, dans un autre supermarché, le grossiste avait falsifié les étiquettes. Celui-ci risque une pratique commerciale trompeuse, donc c'est au maximum 300 000 euros d'amende. Et pour le directeur, il y a éventuellement de la prison. Le made in France se fait vendre, alors les marques n'hésitent pas à en abuser, quitte parfois à tromper les consommateurs qui n'ont pas l’œil rivé sur les étiquettes. TF1 | Reportage J. Roux, C. Nieulac, N. Clerc https://lnkd.in/eVAQqbuX
Après la crise agricole, premiers contrôles des étiquettes - Journal de 13 heures | TF1
tf1.fr
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La revue de presse du retail : Dossier. Grande distribution, grandes manœuvres : voyage au pays des supérettes: Quel rôle joue les supérettes dans nos manières de consommer ? Parlent-elles à toutes les générations ? Éléments de réponse dans trois commerces ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Dossier. Grande distribution, grandes manœuvres : voyage au pays des supérettes
https://www.lasemaine.fr
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A Mamers, cette enseigne est primée pour sa lutte contre le gaspillage alimentaire
actu.fr
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L’arnaque à la fausse origine France envahit les marchés
60millions-mag.com
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En pleine folie électorale, l’information n’a pas retenu l’attention de tout le monde mais elle mérite que l’on s’y attarde un tant soit peu. Elle en dit en effet beaucoup sur l’un des effets imprévus du hard discount et des difficultés qu’ont les Français à boucler leurs fins de mois. Le 28 juin dernier, le site gouvernemental Rappel Conso a lancé une alerte sur des canettes de Coca Cherry (goût cerise pour les non-initiés) de 33 cl. Le revêtement de l’intérieur de celles-ci comporterait un dérivé du fameux Bisphénol A, ce perturbateur endocrinien interdit en France depuis 2012 car fortement soupçonné d’être à l’origine de multiples troubles de santé, voire de maladies graves. Dans ce cas précis, le rappel porte sur 1 lot et ne concerne qu’une seule chaîne de magasins, celle du discounter britannique B&M Retail. Après avoir ouvert sa première surface en 2019 dans notre pays, celui-ci y compte aujourd’hui pas moins de 126 implantations. Au vu des fins de mois difficiles qui n’ont cessé de s’accumuler depuis quelques temps déjà, on comprend que de Castres à Montluçon en passant par Brive, Thonon, Vesoul ou encore Bagnolet, le succès commercial soit au rendez-vous. Le hic, c’est qu’il peut se faire au détriment de la santé de clients de plus en plus nombreux. D’après NielsenIQ, 6 français sur 10 ont déjà fait des achats dans un magasin de déstockage (chiffres 2022). Dans cette histoire The Coca-Cola Company n’est pas en cause et a d’ailleurs tenu à le rappeler. Les canettes incriminées ont été produites hors de France où les normes étaient jusque-là moins sévères. J’emploie le passé car depuis le 24 juin dernier, l’Union Européenne a interdit l’usage de Bisphénol A dans tous les emballages alimentaires. Une fois les stocks potentiellement dangereux écoulés, ce type de menace devrait donc se réduire. Mais cela ne signifie pas pour autant que les clients de ces commerces du XXIe siècle n’ont pas tout intérêt à réfléchir à deux fois à ce qu’ils achètent au paradis du discount. Que ce soit l’enseigne danoise NORMAL A/S ou la néerlandaise Action dont on voit les énormes camions envahirent les autoroutes, peut-être serait-il temps d’exiger l’affichage de la traçabilité de tous les produits ? Histoire de ne pas finir tous totalement transformés...
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REPORTAGE. "Les industriels gèrent de mieux en mieux leurs stocks" : quand la lutte contre le gaspillage alimentaire pénalise les associations
francetvinfo.fr
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Face aux fraudes, la FNSEA appelle les supermarchés à retirer les miels asiatiques
lanouvellerepublique.fr
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