Un billet d'humeur fort intéressant, écrit par Cédric et François de LA CAPSULE CAVE A BIERE à Nancy "La scène brassicole française reste immature sur bien des points, tant sur le plan des producteurs, que des vendeurs ou des consommateurs. Comprenez à cela que producteurs, distributeurs et revendeurs ont de gros efforts à faire pour que les consommateurs puissent s'y voir plus clair. Le secteur tout entier souffre d'un manque de formation, d'information et de recul. Certes, des instituts de formations existent et se donnent bien du mal en ce sens, certes, des professionnels de tous horizons, appliqués et passionnés font tout leur possible pour répandre la bonne parole au travers de foires, de magazines, de salons ou de parutions sur le net, mais force est de constater que cela ne suffit pas encore. Si l'ensemble des acteurs ne fait pas un effort profond et conséquent de professionnalisation pour, in fine, transmettre des informations pertinentes auprès des consommateurs, la crise ne risque pas de se résoudre. " https://lnkd.in/enakZw3J
Post de Il était une brasserie
Plus de posts pertinents
-
La revue de presse du retail : Connue pour son bleu de la Mémée, la Société laitière de Laqueuille se diversifie: Raviolis et chips au bleu d'Auvergne AOP. La Société laitière de Laqueuille vend 25 % de sa production à la grande distribution, le reste est expédié ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
No title
lejournaldesentreprises.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
« La maison Poilâne sort du pétrin ». Nous aurions aussi pu écrire, pour filer la métaphore boulangère🥖 🥖 🥖 , que Poilâne a mangé son pain noir. La réalité est que le groupe de boulangerie artisanale (dont les trois quarts de l’activité sont réalisés en BtoB) vient, selon nos informations, d’obtenir la validation d’un plan de sauvegarde qui lui donne de l’air après plusieurs années compliqués. L’entreprise, célèbre pour son pain au levain 🍞 , prévoit aussi des diversifications pour développer son activité, dans un marché de la boulangerie moyen / haut de gamme devenu très concurrentiel. Nos révélations (avec les éclairages de Bernard Boutboul) sont à lire ici , dans l'Informé :
La maison Poilâne sort du pétrin
linforme.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La revue de presse du retail : Le Déclic paysan, comme son nom l'indique - Le7.info: » Le slogan fleure bon les codes de la grande distribution. Et pourtant, le Déclic paysan est éloigné de ses standards. Tout juste s'inspire-t-il ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Le Déclic paysan, comme son nom l’indique
le7.info
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Propos entendus ou « Best practice » dans le Monde du Vin (et ailleurs) Le Printemps et avec lui le décollage des ventes se faisant attendre, voilà quelques retours d’expérience de clients de Bilberry Conseil : - « nous agissons de façon contracyclique…dans les moments comme celui-ci : nous sommes encore plus présents sur le terrain » - « La raison de notre croissance ? Un sérieux qualitatif et tous les ans une dose d’innovation. » Rien de révolutionnaire certes – soutien client et innovation – mais toujours une bonne recette contre le fatalisme ou l’hyperactivité. Persévérance et sérieux pour les succès d’aujourd’hui et de demain! Et vous? Quelles recettes pour un excellent Q2 et une belle année 2024 ?
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
#TerroirMarket La sous-commercialisation des Bordeaux dits régionaux, comme pour la plupart des autres génériques d'appellation, est liée à un dyspositionnement structurel de l'offre qui ne rencontre plus la demande telle qu'est devenue, et ce depuis près de 25 ans (les générations successives de consommateurs se ressemblant de moins en moins). La baisse de la production, subie ou organisée, n'y changera donc rien, pas plus que les grandes campagnes de communication pleines de bonnes intentions, puisque c'est l'offre qui doit évoluer, voire être révolutionnée. En effet, "tout passe, tout casse, tout lasse" (1788, Mercier). D'autres vignobles en sont déjà passés par là, comme les rosés de Provence, les Beaujolais ou encore le Chenin de Loire. A suivre.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La revue de presse du retail : Malestroit. L'Escale paysanne fête ses cinq ans - Ouest-France: Le principe n'a rien à voir avec le schéma de la grande distribution, les producteurs fixent leur prix afin d'obtenir une juste rémunération de leur ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
No title
ouest-france.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La revue de presse du retail : Les crémants de Bordeaux ne veulent ni "opportunistes", ni "escrocs" - Vitisphere: ... grande distribution, on a un prix moyen inférieur d'un euro à celui des crémants de Bourgogne : il n'y a aucune raison pour que l'on ne soit pas ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Mise au point Les crémants de Bordeaux ne veulent ni "opportunistes", ni "escrocs"
vitisphere.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La revue de presse du retail : Vin de carrière - Vitisphere: Si le fossé entre les discours des dirigeants de la grande distribution et la réalité de leurs catalogues est béant, un lecteur faisait remarquer ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Vin de carrière
vitisphere.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
En mathématiques, on appelle cela une équation: 5 000 000 = 4 000 000 (unité, le million d'hectolitres) À part en mécanique quantique (et encore !) et même avec une énorme pensée pour Peter Higgs, immense physicien décédé lundi dernier, c'est apparemment insoluble. Et, justement, lundi pendant que le monde perdait l'une des plus grandes intelligences de son temps, à Bordeaux, une quarantaine d'acteurs de la filière vin discutaient avec le Préfet de Région et Allan Shichel, le Président du CIVB, après les émois causés par des prix de bouteilles de vin (si l'on peut encore appeler cela comme ça) à moins de 3 euros pour trouver une solution. La GMS était également de la partie, il faut dire qu'ils sont au centre du game. On ne voit, en effet, pas un caviste digne de ce nom vendre des bouteilles de "vinasse" qui s'apparente à ce gros rouge vendu par millions d'hectolitres naguère sous les marques Gévéor, Vins du Postillon, Préfontaines... Le problème est que l'on produit plus de "vin" qu'il ne s'en vend (4M6 = 5M6) et les viticulteurs qui produisent ces vins sont bien contents si l'on peut dire, de pouvoir les vendre en GMS... qui en profite obligatoirement, c'est ce que l'on appelle l'offre et la demande. La poule et l'œuf. Ainsi donc, lundi, tout le monde s'est accordé à dire que le point crucial était la juste valorisation du travail du viticulteur. Il était temps. Laisser mourir de faim quelqu'un qui donne à boire au bas peuple est un scandale d'état qu'il fallait enfin dénoncer mais surtout solutionner. Même si le chemin vers une solution pérenne semble long et sinueux, il a déjà accouché d'une volonté de travailler sur un contrat de filière qui concerneraient tous les acteurs afin de "blinder" les conditions de vente et d'achat. À noter que les représentants d'Auchan, de Carrefour et d'Intermarché se sont assez vite éclipsés à cette réunion souligne La Tribune d'hier. Le nœud gordien du produit est que l'on ne doit pas tomber sous le coup d'une entente sur les prix, ce qui est contraire à la loi et aux principes de la récente loi Egalim. Bref, on doit s'écouter sans s'entendre. Est-ce donc la fin des bouteilles à 2/3 euros en GMS ? Et bien non ont prévenu les acteurs du secteur, il fait écouler ce qui est déjà planifié avec en point de mire les foires aux vins automnales 2024. Ce qui signifie que 2024 sera encore une année de sacrifice pour bon nombre de viticulteurs. Toutefois, ce premier pas vers la raison permet de se projeter pour et vers la récolte 2024 mais à pas d'escargot comme le souligne le collectif Viti33, parti prenante dans la révolte. Viti33 qui a dit qu'il pourrait encore y avoir de la casse et pas uniquement chez les viticulteurs. La GMS est prévenue, les clients aussi, 2024 ne sonnera pas le glas des vins vendus moins de 3 euros la bouteille. Vive les cavistes !!! Vive le vin !!! Le bon. #caviste #cavistes #cavisteindependant #jecourschezmoncaviste #cave #caveavin #vin #vins #winelover #winelovers #alcool #alcools
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les contraintes logistiques sont un vrai casse-tête dans votre microbrasserie ? Lisez la suite. Gérer une brasserie, produire de la bière, anticiper les commandes, optimiser le stockage... Vous avez sûrement la tête dans le guidon en tant que brasseur·se. Une mauvaise organisation de vos flux peut générer des dysfonctionnements qui ont tendance à vous agacer. 💢 Besoin de prendre un peu de hauteur sur tout ça ? Stengel Nicolas a travaillé pendant 6 ans dans une ferme-brasserie, où il a notamment occupé le poste de responsable commercial & logistique. Aujourd'hui, il est consultant et formateur brassicole. Dans son prochain atelier, il parlera de son expérience et partagera avec les participant·es : 🔨 outils, 📏 indicateurs, 💡 astuces, pour simplifier vos flux en brasserie - et retrouver un peu de sérénité. 🧘♀️ Comme d'habitude, le nombre de places est limité. Le prix ne bouge pas : 40€ les 2 heures, pour faire le plein d'idées et échanger avec vos pairs sur les meilleures pratiques. Prêt·es à gagner du temps et de l'énergie ? Inscrivez-vous juste ici 👉 https://lnkd.in/emBhHDS3
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
1 068 abonnés