[NOUVEAUTÉ] 🏗️ Charles de Foucauld se transforme ! Les travaux débutent dans notre établissement avec des projets ambitieux pour moderniser nos espaces et améliorer le cadre de vie des élèves. 📲 Restez connectés, pour en savoir plus sur l’avancée des travaux !
Post de Groupe Scolaire de l'Estran
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Le Département est lauréat de l'Appel à Manifestation d'Intérêt "Territoires adaptés à +4°C" du Cerema ! Le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA), établissement public relevant du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, accompagne les collectivités territoriales pour la mise en place de politiques publiques d’aménagement. 🌡️ Afin d’anticiper la trajectoire de réchauffement +4°C et de mieux s’adapter à la surchauffe urbaine, le Département a engagé, avec le soutien du Cerema et de la La Fabrique des Transitions, des premières actions sur les parvis de quartiers de collèges identifiés comme prioritaires telles que : ➡️ Les travaux en continuité de la cour Oasis sur le principe du réemploi au collège Jean Jaurès à Pantin. ➡️ La piétonisation et la valorisation du parvis du collège Evariste Galois à Sevran avec la Ville et les élèves. La démarche a pour but d’expérimenter des solutions concrètes d’aménagement sur des collèges identifiés comme prioritaires en concertation et en lien étroit avec les Villes et toutes les parties prenantes. L’objectif : ✅ rendre ces espaces publics plus attrayants, plus rafraîchis et plus résilients pour les élèves, les habitant·es ainsi que pour l’équipe pédagogique. Cette démarche s’inscrit dans les objectifs de la Stratégie Espace Public du Département, adoptée en décembre 2022, et vise notamment à mettre en oeuvre des solutions comme la renaturation et la désimperméabilisation des parvis ou encore, par exemple, la mise en place de « rues-collèges » apaisées et végétalisées afin de favoriser le déplacement à vélo ou la marche.
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𝟓 𝐚𝐧𝐬 ! 📣 Pour les 5 ans du DU Espaces Communs, nous avons souhaité donné la parole à 10 personnes qui pour nous, illustrent différents regards complémentaires de cette notion d’Espaces Communs. Pour replacer ces lieux non plus comme des chemins de traverse, mais comme des espaces tangibles qui montrent concrètement que d’autres manières de faire sont possibles. Ces 10 voix viennent de différentes disciplines, de différentes modalités d’interventions. Elles sont à l’image du collectif apprenant sans cesse en construction. Elles viennent de la société civile, elles viennent aussi des institutions. Elles incarnent une certaine convergence (des luttes) vers un horizon commun. 💡 Jérôme Denis est enseignant chercheur et directeur du Centre de sociologie de l'innovation de Mines Paris - PSL paris. Il mène des enquêtes sur le travail invisible des données dans des secteurs variés (gestion des villes, véhicule autonome, open data, participation citoyenne, etc.). Il étudie en particulier les opérations de production, de transformation et de maintenance des données dans les coulisses de leur circulation et de leurs usages. Il a notamment écrit récemment sur les infrastructures cyclables. Avec David Pontille, il développe par ailleurs un programme de recherche sur les activités de réparation et de maintenance, en particulier dans les environnements urbains. 🔎 Nous invitons Jérôme Denis pour nous parler de soin de choses - car les Espaces Communs sont une incarnation tangible de la notion de maintenance, notamment lorsque ces derniers existent dans des logiques d’urbanisme transitoire. Occuper des lieux dont plus personne ne veut, en prendre soin, chaque jour. Faire perdurer leur habitabilité, prendre en considération et revaloriser toutes les dimensions de leur matérialité. Prendre soin du vivant, mais pas seulement. 📍 Rendez vous le 10 juillet à Bercy Beaucoup Inscription ici : https://lnkd.in/d6MdJFzi 🗯 Le Diplôme Universitaire Espaces Communs c'est l'expérimentation apprenante de Yes We Camp, Ancoats, Université Gustave Eiffel et avec le soutien de Codesign-it et SNCF IMMOBILIER
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Chaque institution sur le mont Royal a vu son aménagement évoluer selon les tendances de leur époque. Dans les années 1960, la vision de l'UdeM était complètement assujettie aux codes de la Modernité triomphante au service de l'automobile, tournant le dos aux valeurs initiales où la montagne était une fierté à mettre en scène plutôt qu'un obstacle à vaincre. En 2021 se tenait une consultation sur le plan directeur de l'Université de Montréal. Nous avons été nombreux à soumettre des mémoires. À mon grand plaisir, le mémoire de M Gérard Beaudet, urbaniste émérite abordait des thèmes qui me sont chers et que j'avais aussi développés dans mon mémoire. (voir image jointe) Comme moi, M. Beaudet insiste sur le caractère inhospitalier des interfaces de ce campus avec son voisinage. Pire, il évoque même le caractère militaire des bâtiments. Pour ma part, je me limitais à souligner l'absence de convivialité et de connectivité des espaces situés en bordure de la rue Édouard-Montpetit, suivi d'une requête à l'effet de transformer cette bande frontière en continuum accueillant. Comme ce professeur émérite, je soulignais la nécessité de retrouver certains aspects de la vision de Ernest Cormier. J'ajoutais qu'il fallait clairement marquer une rupture avec la vision du "tout à l'automobile" héritée de la firme Lahaie & Ouellet. Finalement, curieusement, comme lui, j'ai abordé la signification du blason de l'Université de Montréal, en insistant plutôt sur l'importance de la montagne et de la nature. Des convergences amusantes et significatives. Des mémoires complémentaires demandant une approche nouvelle. Des souvenirs précieux dans ma préparation d'une conférence sur les différentes mises en scène du mont Royal par la Ville de Montréal et les grandes institutions. #montroyal #Montreal #environment #environnement #developpementdurable #esg #parcs #Olmsted #design #lamontagnechezvous
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Méthodes basées sur le « diffus accompagné » : quelle efficacité pour porter les objectifs des politiques publiques ? Si elles sont loin d’être achevées, les opérations en cours dans le cadre du Grand Paris s’accompagnent de tendances qui peuvent d’ores et déjà faire l’objet d’analyses. C’est ainsi que le géographe D. Behar déclare, dans un article du Journal du Grand Paris, que « le marché est allé plus vite que la puissance publique ». Puis, plus loin : « On a constaté une explosion de la construction dans le diffus privé, quand les opérations publiques à l’intérieur du périmètre de 800 m autour des gares étaient toujours en préparation. » Ces opérations constituent un beau cas d’école démontrant tout le potentiel des méthodes basées sur le « diffus accompagné » pour porter les objectifs des politiques publiques de façon efficace, agile, organique et qualitative. La planification, la maîtrise foncière et l’aménagement publics ne sont pas les seuls outils que la puissance publique doit mobiliser pour opérer et maîtriser le renouvellement et la densification des tissus déjà urbanisés. Accompagner le diffus suppose de « réinventer » non seulement « le Grand Paris », les territoires, les formes urbaines … Cela suppose aussi et surtout de réinventer nos approches, nos métiers et leur découpage, ainsi que nos cadres conceptuels afin de mieux maîtriser, dans une logique systémique, les interactions entre : * l’économie du foncier, * les modèles économique de création de valeur immobilière, * le droit et le codage des droits à bâtir à travers les PLU, * les attentes et aspirations contemporaines en matière d’habitat, * les formes et les modèles architecturaux et urbains, * les critères de performance environnementale et de préservation de la biodiversité, non seulement à l’échelle du projet et de son emprise, mais également du point de vue de sa localisation dans le tissu existant et son système de mobilités. la suite ici, dans le guide des villes vivantes, Bonne lecture ☕ https://lnkd.in/ejEUYGiE
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DE MUN : C’EST POUR DEMAIN - https://lnkd.in/gGt9ekYZ Rennes, dans le quartier Sud-Gare, l’agrandissement et la modernisation du groupe scolaire Albert-de-Mun sont désormais dans les tuyaux. Face à l’augmentation des effectifs, ce projet ambitieux a été approuvé par le conseil municipal ce 2 décembre. « Ce sera un bâtiment lumineux et chaleureux », assure Gaëlle Rougier, adjointe au maire, chargée des affaires éducatives. L’école Albert-de-Mun se réinventera pour répondre aux attentes des familles et des élèves. Le programme prévoit la construction d’un édifice flambant neuf de plus de 1 000 m², qui sera livré d’ici décembre 2026. Ce nouvel espace, pensé par l’agence Atelier 56 S Architectes, comprendra une restauration moderne, des locaux pour le Centre médico-social Angèle-Vannier et des pièces accessibles à tous en dehors des horaires. « Angèle-Vannier, acteur essentiel de l’inclusion pour les petits déficients visuels, bénéficiera en notamment d’un étage entièrement dédié et adapté aux enfants », ajoute Gaëlle Rougier, adjointe au maire. UN SYSTÈME DE RÉCUPÉRATION DES EAUX PLUVIALES SERA MIS EN PLACE. IL RÉUTILISERA L’EAU POUR L’ENTRETIEN DES ESPACES EXTÉRIEURS Au-delà de sa vocation, ce bâtiment sera un lieu de vie pour les habitants du quartier, grâce à des espaces comme une salle polyvalente et un lieu pour « parents », ouverts à tous. Ce projet ne se limitera toutefois pas à l’amélioration des infrastructures éducatives : il porte également des ambitions écologiques significatives. «La nouvelle bâtisse sera un modèle de construction durable. Elle favorisera l’utilisation de matériaux biosourcés comme le bois et la paille et sera doté d’une toiture photovoltaïque pour couvrir une partie des besoins en électricité. Je ne peux que souligner la qualité environnementale du projet », confie Gaëlle Rougier. Après la construction du nouveau bâtiment, les locaux existants seront réorganisés pour accueillir une maternelle de quatre classes et une école élémentaire de treize classes.Avec un financement total de 7 millions, dont 5 millions pour le nouveau bâtiment et 2 millions pour la restructuration prévue en 2027, ce projet illustre la priorité donnée par Rennes à son patrimoine scolaire (premier poste de dépense d’investissement). La collectivité injectera plus de 82 millions d’euros sur la période 2021-2027.
DE MUN : C’EST POUR DEMAIN
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La réalisation d'un scénario tendanciel pour le projet "FAIRE LA VILLE PAR LE CAMPUS : l’UNIGE COMME REPÈRE GENEVOIS" ou nous avons imaginé le fait que la construction du nouveau quartier du PAV (Praille-Acacias-Vernet) va venir apporter une nouvelle centralité à Genève. Par conséquent, dans l’optique ou le campus de l’université n’évolue pas de manière significative, nous avons émis l’hypothèse que le « pôle académique » serait « invisibilisé » par ce nouveau quartier du PAV. En effet, le PAV va venir redistribuer les cartes des centralités de la ville de Genève par son envergure immense sachant que le campus de l’UNIGE peine à se faire une place concrète dans l’environnement urbain genevois. En accueillant le PAV, la ville se voit doter d’un nouveau quartier exerçant une influence potentielle très importante. Les pratiques d’habitants de la ville vont donc potentiellement évoluer en prenant en compte ce nouveau quartier et celui-ci se placera assez naturellement comme un nouveau centre de la ville comprenant des repères spatiaux spécifiques venant s’ajouter à la constellation de repères déjà présents dans la ville. Nous envisageons le fait que le « pôle académique » devient surtout une étape pour se rendre dans le quartier du PAV sans que l’influence de ce morceau du campus ne soit prise en compte par les gens. Dans ce cas de figure, l’UNIGE peut se voir « perdante » dans l’opération. Ses différents « pôles » se verront être encore moins considérés comme étant des éléments structurant des repères Genevois. Dans une forme de concurrence entre les centralités, l’UNIGE n’aura pas les atouts nécessaires pour que son campus exerce l’influence qu’un campus mondialement connu serait susceptible d’exercer dans une ville. Dans une telle dynamique, l’UNIGE n'observe pas un développement de son campus lui permettant d’atteindre l’influence des universités les plus prestigieuses du monde. Son intégration compliquée avec la ville, serait encore accentuée par l’arrivée du PAV.
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🤔 La décision audacieuse des concepteurs de ce complexe universitaire : 🚫 ne pas tracer de chemins pavés à travers le campus de l'Université de l'État du Michigan. 👣 Au lieu de cela, ils ont laissé les étudiants dessiner eux-mêmes les chemins avec les déplacements quotidiens, les itinéraires les plus courts et les plus pratiques à travers le complexe universitaire. 📅 Et c'est un an après que ces chemins improvisés, surnommés "chemins d'éléphants", sont devenus une infrastructure pérenne. 🐘 Les concepteurs de Pop-Up City ont pris la décision de les tracer et d'officialiser ces sentiers spontanés. Qu'en pensez-vous ? --- Pour aller plus loin --- ↳ La journaliste Jane Jacobs adepte d'urbanisme d’expérimentation et de bon sens disait : 💘 “There is no logic that can be superimposed on the city; people make it, and it is to them (...) that we must fit our plans." 🇫🇷 « Il n’existe aucune logique qui puisse se superposer sur la ville ; les gens la façonnent, et c'est à eux que nous devons adapter nos plans. » J'apprécie cette approche qui consiste à observer les usages réels pour créer une ville en phase avec le besoin de ces habitants. ---- Si ce sujet vous intéresse, rejoignez-nous sur la newsletter Daily Green - la nature en ville : https://lnkd.in/gXhZMVQx
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« Comment résumer 3 années aussi intenses que passionnantes ?» Alors qu’une page de ma vie professionnelle se tourne avec ma fin de contrat, je tente l’exercice de résumer ici en 3 points ces 3 années intenses en tant que Directeur Général des Services de la Ville de Genay : 1. Bien structurer la machine en interne : ✅ Restructuration des services : recrutements et stabilisation d’un organigramme efficace et fonctionnel, répondant aux objectifs de l’équipe municipale, le tout en bonne intelligence avec les représentants du personnel et dans un souci d’épanouissement de chacun. ✅ Mise en place d’un process collaboratif pour la construction du budget. 2. Conduire des projets très concrets pour les habitants : ➕ Mise en place d’une tarification plus juste et équitable des services de restauration scolaire. 📣 Organisation d’une grande concertation sur les rythmes scolaires. 🏛 Réaménagement de l’Hôtel de Ville, pour un accueil du public plus moderne et plus fonctionnel. 🏪 Redynamisation de l’offre commerciale de centre-bourg avec le soutien de la SEM PATRIMONIALE DU GRAND LYON (Eric FUGER) et de la Métropole de Lyon. 🌳 Lancement du réaménagement du Parc de Rancé avec La Formidable Armada (Sarah Tayebi, Agnès Jolivet Chauveau) et The Good Factory (Xavier Coquelet) ; 3. Tout en préparant l’avenir : 🗒 Doter la commune d’outils permettant de maîtriser son développement : une charte pour la qualité du cadre de vie construite avec le CAUE Rhône Métropole (Sperto Sébastien, Grégory Cluzel), une commission d’architecture conseil mise en place avec le CAUE Rhône Métropole (David FAYOLLE) et un travail de fond avec les services de la Métropole de Lyon (Jérôme BERT, Gérald JOANNON, Laurent Fillod) et de l’agence d’urbanisme (Claire Perricaudet). 🏫 Lancer et accompagner les études préalables pour les travaux à conduire dans les écoles au regard des perspectives d’évolution démographique (Groupe SERL, Arnaud Geismar, Vincent Malfere), avec des travaux qui démarrent très bientôt. 💡 Préparer la mise en place d’un Marché Global de Performance pour la rénovation énergétique des bâtiments municipaux (SIGERLy - Syndicat de gestion des énergies de la région lyonnaise , Christine RAMI, Thomas Delattre). 📈 Et enfin, construire un plan pluriannuel d’investissement (PPI), fil rouge de l’action de la commune pour les années à venir. Tout n’est pas dit ici, mais l’essentiel y est. Merci à l’ensemble des 80 agents municipaux de Genay pour leur sens du service public, leur état d’esprit collectif et leur professionnalisme. (Une pensée pour Sophie EYMARD qui prend la suite) Merci aux élus pour leur investissement au quotidien. Et merci à l’ensemble des partenaires, ceux cités dans ce post, et tous les autres. Et à bientôt… pour de nouvelles aventures.
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Toujours très intéressant. l'urbanisme est essentiel pour des villes bonnes à vivre et belles à voir.
L'ENTRETIEN ET LE DEVELOPPEMENT DES GRANDS EQUIPEMENTS : L'URGENCE D'INSTITUER DES "PLANS DIRECTEURS" Il existe différents types de grands équipements (universitaire, hospitalier, aéroportuaire, industriel, technologique, etc), qui déterminent le positionnement de la métropole et dont les emprises au sol sont très importante, que ce soit en intramuros ou en périphérie. Les Gares, les aéroports, les universités, les hôpitaux, les parcs industriels sont gourmands en surfaces foncières, leurs emprises posent des problèmes de perméabilité du tissu urbain et d’engouements et requièrent la mise en place de plans d’urbanisme spécifiques, c’est ce qu’on qualifie de Plans directeurs. Entre éclatement et regroupement de certaines fonctions, il y a besoin de mettre en place des stratégies qui correspondent à des enjeux pragmatiques et politiques qui ne sont pas toujours explicités. Certains pôles sont monofonctionnels et ne posent que des problèmes d’aménagement urbain et d’entretien, d’autres sont configurés comme des technopoles à l’image de Silicon Valley ( santé, technologie, ..,) afin de mutualiser les moyens, de fédérer les forces et favoriser l’expérimentation en faveur de l’innovation. Le problème est que ces grands équipements, véritables villes dans la ville, sont en rapide transformation, leurs besoins en activités nouvelles et en surfaces sont tels qu’ils risquent de compromettre leur qualité architecturale et leur organisation initiale. Il y a lieu donc d’anticiper sur ces dynamiques en mettant en place des « Plans directeurs » spécifiquement dédiés à ces enclaves. Ces schémas d’urbanisme ne déterminent pas seulement l’affectation des sols mais élaborent de façon stratégique le fonctionnement du pôle ou technopole et son développement spatial, il s’agit de : - planifier son développement sur le moyen terme en évaluant la dynamique des flux et leurs impacts. - Programmer la planification des investissements selon un certain échéancier étalé sur 10 ans, et prendre en charge les travaux de réhabilitation et d’entretien des installations, - Maintenir un niveau de modernisation et de concentration, pour permettre le rayonnement du grand équipement sur son territoire d’influence, Au demeurant, il n’est plus possible que les enceintes des pôles universitaires, hospitalières, industrielles soient transformées en des parcs fourretout, où l’on morcelle, clôture, densifie les espaces, sans avoir une vision d’ensemble et stratégique pour l’avenir.
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[Bons Plans] Dans le cadre de son cycle de conférence, le CAUE de Paris met à l'honneur les usages ce soir avec une conférence et une étude de cas sur les sanitaires scolaires 🚻 Depuis quelques années, les toilettes sont devenues des espaces de plus en plus personnalisés... Aux murs de cartes postales 🌍... à la boule disco 🎶. Ils sont aussi un enjeu environnemental et sociétal. Une attente immense chez les filles ? Des toilettes sèches en festival ? Ce n'est plus un espace que l’on néglige en milieu urbain ! Et dans les écoles ça donne quoi ? 🏫 Quels impacts et quels usages secondaires ont-ils réellement… et quelles innovations techniques et environnementales imaginer dans les sanitaires de demain ? 🤔 On vous le dira jamais assez, les "besoins" des usagers, c'est primordial ! 🙂
📣 Conférence | Prendre en compte les besoins des usagers 📅 Mardi 4 juin de 19h00 à 20h30 au CAUE de Paris 🤔 Vous vous interrogez sur la place des usagers dans la production de projets ? Adapter la ville et ses équipements publics est une opportunité pour proposer des approches coopératives de conduite de projet. 💬 Raconter et tenir compte des usage(r)s, c’est tout le challenge de la maîtrise d’usage ! ↔️ Faire le pont et créer du lien entre programmes et professionnels, afin d’être utile aux endroits où il y a des problèmes. Être du côté des décideurs, des faiseurs et des usagers, gagner leur confiance et se souvenir de leurs besoins respectifs. ⚖️ C’est un vrai défi d'équilibriste, qui porte un nouveau regard sur les interactions et les exigences, afin de mettre du je(u) dans le projet. 👀 Au programme de la soirée : 1️⃣ Comment faire des équipements publics, des lieux pensés avec les usagers ? par Charlotte Cauwer, médiatrice en architecture à l'Agence Camille Alfada 2️⃣ Présentation de l'étude-action sur les sanitaires parisiens par Nolwenn Bordron, architecte à la Section Locale d'Architecture du 20e arrondissement, et Manon Besançon, cheffe de projet au CAUE de Paris 3️⃣ Accompagner les usagers et gestionnaires vers l'appropriation des innovations par Charlotte Picard, architecte à la Ville de Rosny-sous-Bois 🚻 Les sanitaires constituent un enjeu fort de l’aménagement des espaces scolaires, au croisement de diverses thématiques : santé publique, hygiène, mais aussi sécurité et intimité pour les enfants et adolescents. ♻️ Aujourd’hui, il est nécessaire de faire évoluer ces espaces pour répondre à ces défis tout en mettant en place des solutions environnementales plus vertueuses. → Quelles innovations techniques et environnementales imaginer dans les sanitaires de demain ? → Quels enseignements tirer des récentes réalisations de la Ville dans les établissements scolaires parisiens ? 📸 Sanitaires transformés de l'école Métra - Paris 20e © CAUE de Paris Direction Constructions Publiques et Architecture (DCPA) 👇 Le lien d'inscription est en commentaire !
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Marion Lannon un rapport avec le projet sur lequel vous travailliez il y a quelques temps? 🤔