A propos du post que j'ai publié cette semaine sur l'idée de faire connaître la gastronomie lorraine au Village Olympique, voici un message reçu ce jour en MP de L'Est Républicain Nancy : "Bonjour, je ne saisis pas votre remarque. De quelle gastronomie lorraine parlez-vous ? Entre nous, la région ne brille pas spécialement par sa gastronomie. Je ne dis pas qu'il n'y pas de bonnes tables. Mais nous n'avons pas une identité forte à ce niveau... Je veux bien qu'on soit chauvin mais franchement, défendre la gastronomie lorraine quand la France recèle de cuisines autrement plus raffinées me semble un peu exagéré." Les Lorrains apprécieront. Quand je parlais de gastronomie, je ne parlais pas de grandes tables étoilées mais comme l'indique sa définition de l'art de la bonne chère (cuisine, vins, ordonnance des repas, etc.) propre à la France, y compris en Lorraine qui n'est pas sans spécialités, produits du terroir, etc Apparemment, L'Est Républicain Nancy n'est pas vraiment d'accord. Dont acte ! Addenda : L'auteur du MP de L'Est Républicain Nancy dont je n'ai eu l'identité que 30 minutes après me demande de préciser qu'il n'exprimait là que son opinion et pas celle du journal. C'est bien noté et par égard pour lui je ne le citerai donc pas même si c'est un membre de la rédaction et pas un community manager. La formulation de cette phrase est valable également au féminin. #gastronomie #gastronomiefrancaise #produitslocaux #lorraine #lorrainetourisme #ParisOlympics2024
Post de Stephane Godet
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#LectureDominicale Ah… ce qu’on ne ferait pas pour approfondir son expertise sur l’histoire présidentielle… ;) Histoire et anecdotes (buvables et imbuvables) sur les préférences et habitudes de consommation des résidents de la Maison-Blanche, souvent dictées par les inclinaisons personnelles, souvent influencées par l’époque ou les événements. Un prisme historique instructif sur l’évolution du rapport à l’alcool de la société américaine : de la consommation aux litres, au mouvement de la tempérance, puis à la #Prohibition. Des réceptions “sèches” à la M-Blanche, à celles –des années plus tard– ou le champagne coulait à flots. De l’époque des liquid-lunches, à celle de la modération. C’est aussi un panorama sur l’évolution des habitudes de consommation de la société américaine : du vin de madère et porter, tant aimé par les pères fondateurs, à la recherche du champagne et grands vins Français, puis au développement et promotion de production locale de vin--encouragé par Madison qui y voyait une alternative nationale aux démons dy whisky et au déficit commercial. Puis, l'ère des cocktails, où le Martini, inventé en 1911, occupe depuis une place de choix dans les préférences prez. Bref, une aventure historico-éthylique, à consommer sans modération ==== CATÉGORIES PRÉSIDENTIELLES ! __ *** Les buveurs du bout des lèvres *** - #Taylor, #Fillmore, B. #Harrison, #Lincoln, #Carter, #Reagan __ *** Ceux qui aiment bien lever le coude *** - #TR, #FDR, #Ford (et ses “lunch à 3 martinis), #Nixon __ *** Les Éponges *** - Ceux pour qui l’alcool eu un effet quasi-destructeur : #Pierce, A. #Johnson, et #Grant –ce dernier étant "davantage un mauvais buveur qu'un gros buveur". - Ceux à la capacité d'absorption défie la science : #Adams, #Buchanan, #Arthur, #Cleveland, #Truman, #LBJ, et surtout, #VanBuren __ *** Les Festifs modérés *** - #Washington, #JFK, #HwBush, #Obama __ *** Les Cachotiers *** -#Taft et #Nixon : servaient à leurs invités une libation de qualité moyenne… mais dans leurs verres à eux, des élixirs de qualité supérieure. On a appelé ça : “Pulling a Nixon” - #Harding, en pleine prohibition, avait bouteille de whisky dissimulée dans son sac de golf pour agrémenter sa pratique. - #Hoover: aussi pris avec le délire de la prohibition, la respectait... aux États-Unis. Membre des cabinets Harding et #Coolidge (1921-'29), il visitait ambassade de Belgique à D.C. Officiellement territoire Belge, il pouvait alors prendre un verre (un martini) en toute légalité ! - #FDR, qui, alors qu’il était gouv. et prez, faisait ses cocktails en cachette de sa mère et de sa femme ! __ *** Les Abstinents *** - #Hayes, #Garfield, #wBush (après jeunesse trouble), #Biden, - et #Trump (voilà qui nous prive d'une explication logique à ses déclarations !) ==== ANECDOTES (buvables... et imbuvables !) En voici qqunes... https://lnkd.in/enqUNg8g
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A table !!! Parmi tous les plats qui réchauffent les cœurs et les tables familiales en France, le pot-au-feu se distingue comme un symbole de convivialité, de tradition et de savoir-faire. Ce plat simple et généreux, à base de bœuf mijoté longuement avec des légumes, fait bien plus que nourrir : il raconte une histoire qui traverse les siècles et les classes sociales, ancrée dans l’identité culinaire française. Un plat royal devenu populaire : Le pot-au-feu était le plat préféré d’Henri IV. Le célèbre roi de France souhaitait que chaque paysan ait un poulet dans son pot le dimanche. Bien que ce souhait soit plus proche d’un idéal que d’une réalité à l’époque, le pot-au-feu reste lié à cette vision d’une France unie autour de la table. Un symbole de résistance : Pendant la Seconde Guerre mondiale, le pot-au-feu a été promu par les autorités françaises pour sa simplicité et son économie. Dans un contexte de pénurie, il représentait une résistance culinaire aux privations et une manière de garder l’esprit collectif malgré tout. La marmite « sacrée » des campagnes : Dans les fermes, le pot-au-feu mijotait souvent plusieurs jours dans des marmites en fonte sur le feu. Chaque cuillère puisée dans le bouillon avait une saveur unique qui évoluait au fil de la semaine, rendant chaque repas spécial et différent. Une guerre de viande au Moyen Âge : Dans le passé, le choix de la viande variait selon les classes sociales : les nobles préféraient des viandes rares, tandis que les paysans, eux, cuisinaient le pot-au-feu avec les morceaux moins nobles mais savoureux comme le jarret. Ce choix de « bas morceaux » est devenu un acte de fierté populaire. Le pot-au-feu au Louvre : Au 17e siècle, les cuisines du Louvre servaient un pot-au-feu aux ouvriers qui travaillaient dans le palais. Ce plat consistant et économique leur permettait de reprendre des forces, tout en renforçant leur lien à la royauté. L’ancêtre du « bouillon » parisien : À Paris, dès le 18e siècle, des échoppes de bouillons, ancêtres des restaurants populaires actuels, servaient des pot-au-feu revisités. On y dégustait le bouillon chaud, transformé en une soupe tonifiante, symbole de réconfort pour les Parisiens. De Napoléon à la littérature française : Napoléon lui-même raffolait du pot-au-feu, qu’il considérait comme un plat « pour hommes forts ». Alexandre Dumas, quant à lui, en parlait avec une telle passion qu’il en a laissé des recettes détaillées dans son Grand dictionnaire de cuisine, expliquant comment ce plat pouvait être à la fois humble et majestueux.
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Paul Bocuse, surnommé le Pape de la gastronomie, est connu dans le monde entier pour avoir révolutionné la cuisine. Au fil des générations, il a su laisser une empreinte indélébile. Depuis son décès en 2018, il laisse derrière lui un empire sans précédent. Mais comment cet héritage pourra-t-il perdurer dans le temps? Au fil de cette enquête, à travers différents articles, nous dresserons un état des lieux pour observer l'évolution de l'héritage de Paul Bocuse face aux défis du temps, grâce à l'intervention de divers acteurs du monde de la gastronomie. Durant mon enquête de fin de mastère au sein de l'ISCPA - Institut Supérieur des Médias, je me suis immergée dans le monde de la cuisine, et tout particulièrement dans celui de Paul Bocuse, afin de comprendre comment son empire peut continuer à prospérer après sa mort. Mon enquête journalistique est désormais disponible sur mon blog. Si vous souhaitez en apprendre davantage sur l'héritage de Paul Bocuse, n'hésitez pas à la consulter. https://lnkd.in/eVv5aRq4
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La France est souvent reconnue pour sa gastronomie, son patrimoine historique et son influence mondiale dans divers domaines, de l’art à la mode. Mais qu’en est-il des Français eux-mêmes ? Sont-ils fiers de leur pays ? Une récente étude de Preply s’est penchée sur cette question en révélant les domaines dans lesquels les Français ressentent le plus de fierté et ceux qui suscitent davantage de désenchantement. À travers cette exploration, nous découvrons ce qui fait battre le cœur des Français pour leur patrie… et ce qui les fait soupirer.
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Afin de célébrez le succès de notre annuelle soirée Raclette du 22 février dernier, laissez-nous vous en apprendre davantage sur ce plat traditionnel suisse. D'après le site de l'𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑚𝑜𝑛𝑡 - 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑎𝑐𝑙𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑛 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛, deux principales théories existent: 𝟏. 𝐋𝐞𝐬 𝐛𝐞𝐫𝐠𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐮 𝐕𝐚𝐥𝐚𝐢𝐬: Selon cette théorie, la raclette aurait été inventée par des bergers du Valais, en Suisse. Ils auraient fait fondre du fromage sur un feu de bois, puis l'auraient raclé sur du pain. Cette technique leur permettait de profiter d'un repas chaud et savoureux lors de leurs longues journées dans les montagnes. 𝟐. 𝐋𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥'𝐚𝐛𝐛𝐚𝐲𝐞 𝐝𝐞 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐌𝐚𝐮𝐫𝐢𝐜𝐞: Cette autre théorie attribue l'invention de la raclette aux moines de l'abbaye de Saint-Maurice, en Suisse. Ils auraient utilisé le fromage fondu comme moyen de conserver le lait pendant les longs mois d'hiver. La raclette se serait ensuite répandue dans le reste du pays, devenant le plat populaire que nous connaissons tous. Indifféremment de son origine exacte, la raclette est un plat traditionnel suisse qui nous comble de bonheur depuis des siècles.
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La revue de presse du retail : Aix-les-Bains : les frères Caquot ou la passion de deux frères pour la noblesse de la bière: ... grande distribution. On a immédiatement cherché le haut-de-gamme.» Cette option pourrait vite être interprétée comme une prétention, hypothèse ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Aix-les-Bains : les frères Caquot ou la passion de deux frères pour la noblesse de la bière
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🧞♂️ Coup de génie : pour promouvoir son 7ème rapport, on a bossé avec le #GIEC pour lancer une gamme de bières ! 🌱 Résultat ? Tout le monde s'arrache la version 1,5°C et en 24h elle est déjà sold out en ligne. 🍻 Invitée de marque dans tous les apéros, stades et festivals, cette bière du climat anime vos soirées avec des quiz sur le climat et les 3 scénarios 1.5°C 3°C et 4°C. 🔥 Plus la bière est alcoolisée, plus elle est amère pour donner le goût des scénarios. 🎶 Le succès a fait pas mal de bruit puisque la queen Taylor Swift a déjà promis de mettre la version 1.5°C dans le stade lors de son show à Lyon ! 🧠 Alors comment on est arrivé à ce coup de génie ? ⏱️ Ça fait des mois que l'on prépare ça dans l'ombre avec des experts de la consigne pour les bouteilles, des biérologues pour le goût, des experts en sciences comportementales pour les messages et des agences de com pour la campagne presse. 🗺 Alors pourquoi une bière ? 🍻 On consomme 6500L de bière par seconde dans le monde et 38% en Asie et 28% en Amérique. On voulait donc un produit avec une image "cool" pour diffuser des messages sur la sobriété "worldwide" (biais du messager). 🏕️ 100% des profits sont reversés à des projets de restauration des écosystèmes (focus du dernier rapport), canon non ? 👉 Lien en commentaire pour commander votre pack ! #beer #biere #climat #climatechange #awareness #IPCC
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Partage, d’Héritage et d’Excès au Liban ! Le mezzé n’est pas qu’un repas. C’est une invitation à l’histoire, une fresque qui raconte des siècles de culture, de rencontres et d’abondance. De l’Empire Ottoman à nos tables modernes, pour danser sur ce festin oriental. Le repas qui durait des jours : Sous l’Empire Ottoman, le mezzé n’était pas juste une succession de plats. Certains banquets impériaux duraient jusqu’à 72 heures, sans pause ! Chaque service de mezzé était une forme de courtoisie mais surtout un test d’endurance gastronomique. Une arme diplomatique : Les Ottomans invitaient des ambassadeurs étrangers pour leur offrir des dizaines de plats, les forçant presque à accepter des traités, le ventre bien trop plein pour dire non. L’origine du nom : Le mot mezzé vient du persan « maza » qui signifie « goûter, savourer ». Mais à l’origine, c’était une façon d’épicer des plats fades dans les banquets royaux pour dissimuler des ingrédients bas de gamme. On ne voulait pas que les invités distinguent la qualité du plat, mais qu’ils retiennent la variété. Le mezze des pauvres : Bien que vu comme un plat raffiné, le mezzé a aussi des racines humbles. Dans certaines régions de Syrie, le mezzé était composé de simples légumes crus et de pain trempé dans l’huile. Mais le grand secret étaient que les riches familles aimaient recréer ces plats simples pour prouver qu’elles pouvaient même transformer la pauvreté en luxe. Un plat qui effrayait Napoléon : En 1799, Napoléon, en pleine campagne d’Égypte, est invité à un banquet. À la vue des dizaines de plats présentés, il aurait demandé à ses conseillers : « Doit-on tout manger, ou est-ce une stratégie pour nous ralentir ? » La table comme frontière sociale : Dans les villages de montagne du Liban, la façon dont les plats étaient disposés sur la table était un code social. Le nombre d’olives sur une assiette, le choix du fromage ou encore la disposition du pain indiquaient la hiérarchie des invités. Vous n’étiez pas là pour le goût, mais pour comprendre votre place dans la société. L’introduction à l’Occident grâce aux colonies : C’est lors de l’Exposition universelle de 1867 à Paris que le mezzé fit sa première entrée officielle en Europe. Des chefs venus de Beyrouth préparaient des dizaines de plats en direct, stupéfiant les Parisiens avec leur capacité à associer autant de saveurs en un seul repas. Pourtant, ce n’est que des décennies plus tard que les européens ont adopté la culture du partage. Dans la littérature : Le mezzé est également mentionné dans la littérature, notamment dans les romans orientaux ou les écrits de voyageurs. Il incarne le plaisir des sens et l’hospitalité, symbolisant la générosité des cultures levantines. Des auteurs comme Amin Maalouf ou Naguib Mahfouz évoquent parfois ces repas. Le mezzé n’est pas un simple repas. C’est une métaphore de la vie. Abondant, chaotique, complexe, mais surtout un rappel que chaque moment doit être partagé.
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📊 Le député Éric Girardin livre les premiers résultats de son enquête sur les défis commerciaux de la filière vins et spiritueux 📊 Le député de la Marne, Eric GIRARDIN (Renaissance), livre les premières conclusions de son enquête approfondie sur les #défis et #stratégies commerciales de la filière viti-vinicole française. Initiée en janvier, cette étude, co-rapportée avec Sylvain Carrière (La France insoumise), vise à esquisser l'avenir du secteur face aux attentes des consommateurs, au changement climatique, et à la nécessité d'une structuration plus forte des interprofessions. Zoom sur les défis auxquels sont confrontés les professionnels du vin et des spiritueux : 🎯 S’adapter aux consommateurs 🌍 Survivre au changement climatique 💼 Structurer les interprofessions 💻 Se convertir aux outils du marketing 📚 Fluidifier les dossiers administratifs Avec un rapport final attendu à l'automne, cette mission d'information s'annonce comme une pierre angulaire pour l'avenir de la filière viti-vinicole française, orientant vers des stratégies durables et inclusives. 🍇 On vous en parle 📰🔍 https://lnkd.in/e4DT3BNw 👀 Cet article vous intéresse ? ➡️Abonnez-vous à Terres de champagnes ! https://lnkd.in/e_x636fk #champagne #viticulture #vigne #vignerons #champagnelovers #champagnelife #champagnemoments #vigneronsdechampagne #terroirchampenois #viticulturefrançaise #defiscommerciaux #innovationviticole
Le député Éric Girardin livre les premiers résultats de son enquête sur les défis commerciaux de la filière vins et spiritueux
lunion.fr
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C’était le centre de la mafia. C’est devenu le temple de la street food 🍕 Oubliez vos a priori sur Palerme, aucune ville ne s’est autant transformée ces 20 dernières années. Mais pas d’inquiétude, elle garde tout son charme. Rien n’est à sa place et pourtant, tout est à sa place ! La ville est riche de ses conquérants. Grecs, Romains, Espagnols, Arabes, Normands : ils y ont tous laissé une empreinte. Une diversité qui se reflète sur sa scène culinaire. Les spécialités locales, aussi variées les unes que les autres, ne ressemblent à aucune autre. Classée première ville d’Europe pour la street food par Forbes, se balader entre les stands de nourriture de Palerme est un voyage à travers son histoire. Je me définis comme une chasseuse et courtière d’artisans, mais je suis surtout une passeuse de pépites. Pour savourer Palerme, c’est par ici : https://lnkd.in/ecXGGsGb ☀️ — L’Atelier Pousse réinvente l’art de recevoir en plaçant l’artisanat au cœur de vos réceptions. Notre mission, dénicher le meilleur de l’artisanat pour transformer chacune de vos occasions. Pensez à vous abonner pour plus d’authenticité et de savoir-faire 🔔 #streetfood #slowfood #gastronomie #artisanat
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