Mise en lumière du projet #labelbascarbone de Geoffroy éleveur laitier avec un troupeau de 75 vaches dont 70% de Prim’Holstein et 30% de Normandes. Depuis 2021, Geoffroy contribue à réduire l’empreinte carbone de sa ferme localisée dans les Coëvrons en Mayenne. Pour atteindre, les objectifs de projet Label Bas Carbone, il vient de convertir sa ferme en Agriculture Biologique. Près de 3 ans après le début de son projet, il a mis en place de nombreuses techniques afin d’éviter et stocker potentiellement 560Teq CO2🌾: ➡L’amélioration de l'autonomie protéique en réduisant la part de maïs et en augmentant la part d'herbe avec 77% de la part de surfaces en prairies ➡L’implantation de 400 mètres de haies avec des essences variées. Elles offrent aux animaux de meilleures conditions pendant la période de pâturage ➡L’installation d’un détecteur de chaleurs cet hiver permettant un gain de temps dans la gestion de l’élevage et abaissant l’âge au 1er vêlage Son projet inclut de nombreux co-bénéfices environnementaux : ◾Un impact positif sur la biodiversité grâce à l’augmentation d’éléments agroécologiques comme les haies ◾L’amélioration de la qualité de l’eau grâce à la réduction des pertes d’azote ◾L’amélioration de la qualité de l’air favorisée par l’arrêt de l’utilisation des engrais minéraux Ce projet est accompagné pendant toute sa durée par notre partenaire technique Association des Producteurs de lait Bel de l'Ouest (APBO) #labelbascarbone #transitionecologique #agriculture Vous souhaitez en savoir davantage ? Contactez-nous en commentaire ⬇
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Quelles sont les fermes représentant l’avenir de l’agriculture en Région Centre-Val de Loire ? 🎉 Jeudi dernier se tenait la cérémonie de remise des prix du concours "Centre Val de Loire" de Fermes d'Avenir récompensant les fermes aux modèles agroécologiques les plus aboutis. Nous avions reçues plus d’une soixantaine de candidatures de toute la région, et présélectionné 21 d'entre elles avec notre jury d’experts. Basés sur notre vision de la Fleur de l’Agroécologie, les dossiers et grilles de notation cherchaient à évaluer comment répondaient ces fermes aux grands enjeux de l’agriculture et de l’alimentation de demain : nourrir les populations avec des aliments sains et qualitatifs, tout en préservant les capitaux naturels pour respecter les limites planétaires, et permettre aux agriculteurs de vivre de leur métier dans des conditions dignes. Roulements de tambours…. Les 5 gagnants sont : 🥕 Catégorie Maraîchage : La Ferme de Belêtre, qui se démarque par sa forte implication territoriale et sociale, par son modèle collaboratif et collectif, et par son exemplarité agroécologique dans ses ateliers de production et de transformation qui fonctionnent en complémentarité. Un système qui gagne en résilience au fil du temps et qui inspire depuis 2015 puisque la ferme fait œuvre de pédagogie sur les modèles collectifs en région et au niveau national ! 🌱 Catégorie Grandes Cultures : La ferme de Laurent Isambert, qui témoigne d’une impressionnante technique du fait de la complexité de mener en grandes cultures des pratiques en Agriculture Bio de Conservation. Seul sur son exploitation, Laurent est également très impliqué à l’échelle du territoire dans plusieurs GIEE et de nombreux groupement d’agriculteurs afin d’échanger sur ces techniques. 🐏 Catégorie Polyculture/Elevage : La Bergerie de la Corbinière. Cet élevage ovin en pâturage tournant est autonome en intrants, pousse sa démarche écologique très loin (agroforesterie, valorisation des effluents, création de nombreux emplois), et valorise en plus des races locales ! 🌳 Catégorie Arbo/Viti : Le Domaine cidricole Ducardonnet. La viticulture et l’arboriculture sont des cultures les plus dures à tenir en bio, et dans une région où il manque d’arboriculteurs, nous avions à cœur de soutenir les actions d’Alexandre qui souhaite reconstruire une filière courte de transformation de pommes. Son modèle agroécologique est abouti dans la mesure où il intervient un minimum sur son verger et qu’il cherche à optimiser tous les postes à impact environnemental. 💼 Catégorie Installation : Anne-Aël Leroy, de la Ferme Les Prairies du Domaine. On félicite ici le courage de cette femme qui s’installe en élevage dans un département où il se rarifie ! Anne-Aël prévoit une production laitière transformée à la ferme, un projet autonome en intrants et un ancrage de l’exploitation dans le territoire.
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L’avenir est dans le pré ! 🌾 Alors que le Sommet de l’élevage s’est tenu du 1er au 4 octobre dernier à Clermont-Ferrand, Clotilde Bato et Mathieu Courgeau, coprésidents du Collectif Nourrir, rappellent dans une Tribune au Monde que “l’avenir est dans le pré à condition de soutenir l’élevage paysan”. En effet, l’élevage nourrit la population et maintient le tissu rural. De plus, certains modes de production agroécologique (à l’instar de la polyculture-élevage, de l’élevage en herbager pâturant et du pastoralisme) offrent de nombreux bienfaits sociaux et environnementaux : ils favorisent le renouvellement des générations agricoles et offrent un cadre de vie décent aux animaux. Les ruminants eux-mêmes entretiennent les prairies, participant ainsi à préserver la biodiversité et stocker le carbone. En dépit des bénéfices que l’élevage apporte, Clotilde Bato et Mathieu Courgeau soulignent qu’”En dix ans, le cheptel bovin a diminué de 10,6%, et nous sommes passés de près de 200 000 à 143 000 exploitations bovines. Cette érosion s’accompagne d’une concentration de la production dans des fermes de plus en plus grandes et de moins en moins résilientes.” Cette concentration décourage les nouveaux éleveurs et représente un frein à la transition agroécologique. 🔗Pour lire la tribune dans son intégralité, cliquez sur le lien suivant : https://lnkd.in/e2sZx4vR
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💸Combien coûte la préservation de la Nature et de l’Humain sur une ferme ? Comment aider les agriculteurs à mettre en œuvre des actions de préservation ? Pour répondre à ces questions, Fermes d’Avenir a développé depuis 2017 une méthode pour appliquer la Comptabilité Socio-Environnementale (CSE) aux exploitations agricoles. Née d’une adaptation du modèle C.A.R.E de la Chaire de Comptabilité Ecologique d’AgroparisTech, cette méthode a été testée sur une dizaine de fermes agroécologiques, nous permettant d’obtenir des premiers ordres de grandeurs des coûts réalisés et à réaliser pour préserver la Nature et l’Humain sur ces fermes. En 2021, la FNCUMA (Fédération Nationale des cuma) a souhaité porter un projet basé sur C.A.R.E pour : 🔎Identifier des actions de préservation de la Nature (l’eau, la biodiversité, le sol, le climat) et l’Humain (les travailleurs sur la ferme, les riverains et habitants du territoire) et leurs coûts dans les activités de 10 fermes bio et conventionnelles en bovin lait en Ile-et-Vilaine ; 🗨️Et ainsi créer un dialogue entre les acteurs du territoire permettant de soutenir les agriculteurs dans la mise en place de ces actions de préservation. Fermes d’Avenir a accompagné la FNCUMA dans l’utilisation et l’adaptation de sa méthode. Voici les principaux enseignements du projet : 🔹Toutes les actions qu’il faudrait mener pour entièrement préserver la Nature et l’Humain (ex : planter et entretenir des haies, avoir un salaire décent pour l’agriculteur, etc.) se chiffrent en moyenne à 150 000€ par ferme et par an. Aucune ferme n’est en capacité de supporter l’entièreté de ces coûts seule ; 🔹Les fermes réussissent à financer en moyenne 2/3 du coût total de ces actions de préservation ; et ce davantage par l’adaptation de leurs modèles économiques plutôt que par des subventions dédiées ; 🔹Les principaux freins des agriculteurs sont le manque de financements, de filières valorisant leurs efforts, d’appui technique et de temps pour réaliser ces actions de préservation. Ces résultats doivent interpeller les acteurs territoriaux (élus, agences publiques, entreprises…) sur leur responsabilité dans le financement, et donc la réalisation, des actions de préservation par les agriculteurs. Ces acteurs clefs peuvent se saisir de la CSE de différentes manières : 🔸 Faire de la CSE un outil de dialogue et de travail afin d’orienter efficacement le financement des actions de préservation menées par les agriculteurs (via des prix garantis, subventions, PSE…) ou cocréer des filières locales résilientes (création de débouchées, facilitation d’approvisionnements…) ; 🔸Se servir de la CSE pour enrichir des bases de données sur les états de la Nature et de l’Humain et évaluer avec précision les coûts des actions de préservation qui sont propres au territoire. ▶️ Nos travaux sur la CSE vous intéressent ? Consultez nos publications sur le sujet : https://lnkd.in/emvfN9Xq
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❓ Peut-on réellement parler des enjeux environnementaux en agriculture et être crédible alors qu’on n’a jamais mis les pieds dans une ferme ? ✖ Je pense que non. 📚 Que malgré tout le savoir théorique accumulé sur le sujet, nous sommes encore bien loin de la compréhension profonde, l’intégration et l’appropriation d’un sujet tant que l’on ne l’a pas vécu dans sa chair, ses sens, ses tripes. Que rien ne remplace l’expérience profonde et le vécu. Et que savoirs théoriques et immersions sont tous deux absolument nécessaires pour enrichir notre vision du monde. 😶 J’en étais donc réduite à cette formule de Sorcrate qui m’est chère et qui nous amène tous sur un chemin d’humilité et de recherche permanente : « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien». Le sentiment d’imposteur lors de mes conférences sur les enjeux environnementaux et les défis agricoles n’était jamais très loin. 🐑 C’est pourquoi j’ai décidé cet été de passer plusieurs semaines dans une ferme voisine en polyculture élevage. 165 ha de cultures et prairies permanentes, une soixantaine de brebis laitières – de race Lacaune, une trentaine de vaches et taureaux – de race Hereford, 3 cochons, 2 chèvres, et des poules. 🌻 Cette ferme, depuis 30 ans en agriculture biologique, propose à la vente les différents produits issus de leur travail : farines moulues sur meules de pierre (blé dur, blé tendre, petit épeautre, grand épeautre, sarrasin), ses "pâtes", ses lentilles, ses fromages (tome, "feta", crottins...) et yaourts au lait de brebis, ses glaces au lait de brebis, ses caissettes de viande, steaks hachés et bocaux divers. 🚜 Un travail titanesque et une réflexion profonde sur l’équilibre des écosystèmes et sur la résilience et l’autonomie de la ferme (pour limiter les intrants au maximum et réemployer tous les co-produits). ⏲ Des heures de discussion avec Jean-Pierre et Marie (pendant le soin et la traite des brebis, le curage & paillage de la ferme, la fabrication des fromages, la fabrication des pâtes, la vaisselle, le marché et j’en passe) pour parler assolement et rotation des cultures, climat et météo – notamment 2024 : année de foin, année de rien !, vacances salaires et perte des vocations, polyculture élevage et circularité, difficultés financières et projets d’avenir… 🧐 Ma seule certitude est que je suis à la fois moins ignorante et encore plus ignorante qu’auparavant. 🍀 Mais j’y retourne dans quelques semaines… 🎉 En bonus, je vous présente « Nonante », ma petite préférée, jeune femelle née dans la nuit du 26 au 27 juillet.
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Agrivoltaïsme et porcs plein air. Cet éleveur de porc plein air de Haute-Garonne s’est associé au groupe CVE (Changeons Notre Vision de l'Energie) pour imaginer le premier projet agrivoltaïque en production porcine en plein air. Prérequis : l’amélioration du bien-être animal et le maintien de la mécanisation sur les parcelles.
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L’Institut national de recherche pour l’#agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) expérimente dans la ferme de Mirecourt des pratiques qui permettent de se passer de #pesticides. Deux cent quarante hectares de prairies, d’étables et d’entrepôts en plein cœur d’un plateau lorrain pluvieux. À Mirecourt (Vosges), le logo « Inrae » visible sur un bâtiment à l’entrée du domaine indique qu’il ne s’agit pas tout à fait d’une #ferme comme les autres. Depuis 2016, une trentaine d’agents de l’unité expérimentale ACT-ASTER (pour unité agrosystèmes territoires ressources) testent ici ce que Bénédicte Autret, ingénieure agronome et directrice de l’unité, appelle des « pratiques de rupture », afin de repenser les modèles de production agricole, en se fondant sur les principes de l’#agroécologie. La ferme expérimentale de Mirecourt est labellisée #bio, aucun intrant chimique n’y est donc utilisé. Elle est fondée sur la #polyculture et le #polyélevage, avec un objectif principal de diversification. Les cultures de lentilles, de cameline ou de colza jouxtent les prairies permanentes dans lesquelles vont pâturer les bovins ou les porcs. https://lnkd.in/dQxRF6Fc
Un laboratoire à ciel ouvert de la transition agroécologique dans les Vosges
lemonde.fr
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🐑🌾 Pâturage itinérant : une solution durable pour les fermes céréalières L'intégration de moutons dans une ferme céréalière favorise un système agricole plus résilient et équilibré, où le troupeau pâture les résidus de culture et les couverts végétaux qui viennent enrichir le sol en matière organique. C’est une méthode efficace pour restaurer la fertilité des sols grâce aux déjections animales, réduisant ainsi la dépendance aux engrais chimiques. De plus, cette méthode optimise l'utilisation des ressources, améliore la biodiversité et offre une nouvelle source de revenus pour les céréaliers. 📖 Retrouvez le retour d'expérience de Pierre Pujos, agriculteur à Saint-Puy dans le Gers (32) et découvrez comment le pâturage itinérant a transformé son exploitation : https://lnkd.in/dFqqSkzD Ce document a été élaboré dans le cadre du projet SARBIVOR. Mené en partenariat avec ELVEA HAUTS DE FRANCE, PERI-G, AgroFourrages et SOL, AGRONOMIE ET INNOVATION, il vise à explorer les synergies entre éleveurs et céréaliers dans la Région Hauts-de-France. Ce projet, à présent terminé, a parmi la réalisation de plusieurs fiches techniques disponibles en ligne. Pour en savoir plus et découvrir les résultats du projet, visitez la page SARBIVOR : https://lnkd.in/eNR8VvzU #élevage #pâturage #agriculturedurable #moutons #arbres #agroforesterie #solfertile
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[#agriculture] "C’est un cercle vertueux qui veut s’imposer dans l’agriculture de demain. Dans la métropole bordelaise, les Nouvelles Fermes produisent sous serre des salades, légumes et aromates ainsi que des truites arc-en-ciel. Les déjections des poissons servent à fertiliser les plantes installées sur des radeaux, dont les racines sont immergées. Ce faisant, l’eau est filtrée et peut donc retourner dans le bac des poissons. Un modèle atypique mais rentable, que l’entreprise souhaite généraliser à plus grande échelle, en Île-de-France. Pour l’instant, les deux fermes de l’entreprise bordelaise sont de taille assez réduite. Seulement 1000 m² pour la première serre expérimentale, installée à Lormont, et un demi-hectare (5000 m²) pour celle de Mérignac, inaugurée en juin 2023. Grâce à l’aquaponie, elles parviennent toutefois à utiliser dix fois moins d’eau et cinq moins d’énergie que l’agriculture de pleine terre (car les serres ne sont pas chauffées). «On commence à être rentables depuis le mois de mars», se félicite Thomas Boisserie, cofondateur des Nouvelles Fermes. Ce modèle agricole est intensif mais n'utilise pas de chimie de synthèse, les plantes pratiquant une forme de phytoremédiation en épurant l’eau. Permettant de ramener l’#agriculture dans les #villes, l’aquaponie développée par les Nouvelles Fermes a pour ambition de participer à la reconquête de la souveraineté alimentaire du pays, tout en rémunérant dignement les producteurs. Avec un demi-hectare, la ferme de Mérignac produit 1% des besoins des habitants de la métropole en salade et 4% en truite. Portée par ce succès, l’entreprise lance une levée de fonds et espère obtenir 1,5 million d’euros d’ici le mois de juin 2024 et 15 millions d’euros d’ici le début de l’année 2025. «L’idée est de bâtir six hectares de fermes en Île-de-France, sur un ou deux sites, dans le territoire du Grand Paris», précise Thomas Boisserie. Le développement de ce modèle en France pourrait faire des Nouvelles Fermes «la première ferme aquaponique d’Europe à être rentable par sa production», se réjouit le cofondateur de l’entreprise. La levée de fonds ouvrira le 25 avril sur la plateforme Tudigo, basée à Bordeaux. Les investisseurs pourront devenir actionnaires à partir de 1000 euros. Malgré la réussite de ce modèle, l’aquaponie n’a pas l’ambition de remplacer l’agriculture de pleine terre, mais veut participer au mix agricole de demain. «L'idée, ce n'est pas que l'aquaponie soit l'alpha et l'oméga de l'agriculture», précise Thomas Boisserie, mais «un des facteurs d’une révolution agricole nécessaire», en utilisant notamment des terrains sur lesquels la culture de pleine terre n’est pas possible, en produisant des aliments répondant peu ou prou aux critères de l’agriculture biologique - mais ne pouvant disposer du label car les racines ne sont pas enterrées - et qui sont vendus à des clients et à des magasins partenaires dans un rayon d’à peine 15 kilomètres."
Produire truites et salades sans chimie et en circuits courts : le pari réussi des Nouvelles Fermes, qui veulent s’étendre
lefigaro.fr
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🌱 Voici notre élevage d'insectes ! 🐛 Je suis ravi(e) de partager cette vidéo captivante réalisée par Perrine Bullant de Radio-Canada, qui met en lumière notre élevage d'insectes comme secteur alternatif. Cette approche ouvre la voie pour une agriculture plus durable. En tant que producteur, je suis convaincu que cette production sera essentielle pour relever les défis alimentaires de demain. 👉 [Regardez la vidéo ici](https://lnkd.in/dvWFcDeM) N’hésitez pas à partager vos pensées sur cette initiative ou à discuter des perspectives d'avenir dans l'élevage durable ! #AgriTech #ÉlevageDurable #InnovationAgricole #ProductionPorcine #mealworm
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[RDV élu.e.s à la ferme] pour les élu·e·s et agent·e·s des Collectivités d'Ille-et-Vilaine En 2023, l'Ille-et-Vilaine a perdu près de 1000ha en surface #bio. Comment atteindre 21% de bio en 2030 ? Un mauvais signal malgré l'installation de 21 nouvelles fermes bio sur le département. Une mauvaise nouvelle également pour la #biodiversité. Des initiatives locales existent pourtant pour favoriser l'installation de producteurs et productrices bio, parfois sur les fermes existantes. Des initiatives favorables au maintien du bocage breton, à la diversification de l'agriculture de proximité et donc à la résilience des territoires. Louis Collet, éleveur et maraîcher bio à Boisgervilly est l'un de ces exemples. Que ce soit : - par l'élevage d'une race ancienne et locale, la Bretonne Pie Noir, - par la culture de plus de 50 variétés de fruits et légumes différents - ou encore la mise à disposition d'un espace de test agricole. Les surfaces agricoles avec de telles pratiques sont censées augmenter et non réduire pour atteindre les objectifs nationaux. 👉 Venez-donc nous rejoindre le 3 octobre, à 14h, Les jardins de Toucanne (Boisgervilly) pour évoquer les pistes pour renverser la balance et renforcer les pratiques agricoles saines et durables pour toutes et tous. 👉 Inscription obligatoire sur : https://lnkd.in/eQgVdf5A Montfort Communauté St-Méen Montauban Communauté Brocéliande Communauté Eaux & Vilaine Département d'Ille-et-Vilaine
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