Les lois sur le #livre ne sont pas des obstacles : elles sont des remparts pour protéger notre #souveraineté culturelle et nos librairies, des lieux de partage et d’échange. Quand certains contournent ces lois, ils ne trichent pas simplement avec des règles, mais aussi avec l’égalité et le respect de la diversité culturelle.
C’est pourquoi Fnac Darty soutient avec force toutes les initiatives visant à rétablir des conditions équitables. Ensemble, défendons un marché juste et respectueux pour les lecteurs, les auteurs et les libraires.
Le Figarohttps://lnkd.in/gP4XPYsa
Totalement d'accord avec vous Enrique ! On ne demande pas autre chose que de se battre à armes égales. Et cela vaut pour tous les secteurs, pas seulement la culture
Comme vous le dites très bien, si nous voulons protéger notre souveraineté, la première chose à faire est de créer un cadre identique à tous et des conditions équitables.
La revue de presse du retail : Falaise : 7 500 habitants et deux librairies indépendantes qui contribuent à faire vivre la culture: ... grande distribution. Commerces non essentiels pendant la crise du Covid, les libraires avaient vu affluer une clientèle nouvelle, à la faveur d ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail#distribution#commerce
En France, notre modèle de distribution, avec un réseau dense de librairies physiques et une régulation solide, a permis de garantir un accès égal au livre, partout, pour tous. Ce modèle, qui assure l’égalité et la diversité culturelle, est aujourd’hui attaqué.
Aujourd’hui, avec Alexandra Charroin Spangenberg, présidente du Syndicat de la librairie française, et Pierre Coursières, président du Syndicat des distributeurs de loisirs culturels, nous signons une tribune dans Le Monde pour soutenir la loi #Lang de 1981, et plus récemment la loi #Darcos de 2021 qui soutiennent nos #librairies, préservent la diversité culturelle et favorisent un modèle respectueux de nos #territoires.
Pourtant, ces lois sont aujourd’hui contournées par des pratiques déloyales qui piétinent la volonté démocratique et fragilisent nos librairies, ces lieux essentiels de culture et de lien social.
Chez Fnac Darty, nous refusons qu’un géant numérique impose sa loi. Défendre le #livre, c’est défendre un modèle #culturel, #durable et #humain qui nous ressemble. Ce n’est pas une opposition à la vente en ligne, mais un appel à préserver un marché équilibré, où tous les acteurs peuvent coexister, à conditions égales.
Il est temps d’agir collectivement pour garantir que les règles soient respectées. La #souveraineté culturelle de la France en dépend.
https://lnkd.in/erWgx6Fk
L’#or se négocie à ≈ 2650.00$ et est dans une #zone d’accumulation. Les vendeurs ne sont pas assez fort pour faire pousser le #prix vers le bas et ainsi créer une inversion de tendance.
Les acheteurs restent tout de même forts car on y observe un joli support en H4 (en vert) sur la zone des 2635.00~2630.00.
Je reste bien évidemment acheteur au vue des #tensions internationales mais aussi des craintes qui tourne autour des #élections américaines 🇺🇸. Observez, écoutez et prenez une décision à la fin.
➡ «On vend les bijoux de famille» : la Haute-Marne met en vente son tribunal, sa préfecture et d’autres biens sur Leboncoin
Nicolas Lacroix, président LR du conseil départemental de Haute-Marne, a expliqué la prochaine mise en vente de bâtiments occupés par l’État pour dénoncer l'«intenable» demande d’effort budgétaire.
Une solution radicale et originale. L'Assemblée nationale entame ce soir l'examen du budget 2025, qui prévoit une réduction du déficit de 60 milliards d'euros. Le projet de loi de finances 2025 demande pour ce faire un effort considérable aux collectivités : 5 milliards d’euros d’économies, dont 2,2 milliards qui doivent provenir des départements. Afin de s’acquitter de cette demande, le département de la Haute-Marne a pris l’étonnante initiative de mettre en vente sa préfecture, ses sous-préfectures, son palais de justice et près d’une dizaine de gendarmeries, une série de bâtiments tous «occupés par l’État».
Nicolas Lacroix, président Les Républicains (LR) du conseil départemental de Haute-Marne, a dénoncé au micro de Franceinfo des ponctions «directes, injustes et brutales». L’élu, qui souhaite «la réussite du gouvernement de Michel Barnier », explique qu’une vingtaine de départements sont déjà «en grande difficulté». Même si nombre d’entre eux sont prêts à faire les efforts, «plus de 60 ne pourront pas boucler le budget 2024», et encore moins «se projeter sur 2025».
Les Français «premières victimes»
Il estime que «les Français vont être les premières victimes de ces restrictions budgétaires» et déclare, avec cette «annonce forte», les prendre à témoin. Au journaliste qui lui demande s’il s’agit d’un geste symbolique, Nicolas Lacroix rétorque que les bâtiments «vont vraiment être mis en vente». Les annonces, qui devraient bientôt être mises en ligne sur le célèbre site de revente Leboncoin, ne sont pas encore disponibles : les bâtisses sont «prestigieuses» et «demandent des démarches».
Le choix de la plateforme n’est pas anodin : «Leboncoin est bien connue de chacun». La plateforme est donc idéale pour «tirer la sonnette d’alarme» et «vendre les bijoux de famille», d’après Nicolas Lacroix qui souhaite que le département continue à pouvoir «assurer ses fonctions».
Des efforts à partager
En effet, un certain nombre de partenariats pourraient être remis en question d’après l’élu LR, notamment les aides aux communes, au monde associatif ou encore les investissements dans le domaine de la santé. «Toutes les aides qui sont versées par les départements seront en cessation de paiement. C’est inédit», fustige-t-il. Il estime que «l’effort doit être partagé» entre les différentes collectivités, faute de quoi de nombreux départements devront «revenir en arrière sur un certain nombre d’actions».
Nicolas Lacroix demande également le gel des allocations individuelles de solidarité, versées par le département. «Tous les Français doivent faire des efforts, les plus riches mais aussi les plus modestes, à hauteur de leurs moyens».
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Rien ne va plus pour les libraires !
Selon le dernier rapport financier de la commission des jeux de hasard, notre industrie a enregistré des chiffres record l'an dernier, mais il y a des nuances à souligner.
Une des nuances sont les paris en librairie qui ont chuté de 26% entre 2022 et 2023.
Pourquoi cette baisse ?
La réponse est double :
1 ) Une correction post-COVID. Durant la pandémie, les librairies qui ont pu rester ouvertes ont maintenu leur activité. Aujourd’hui, elles subissent un retour à la normale.
2 ) Des régulations de plus en plus restrictives qui étranglent les librairies, notamment des limites sur le montant annuel des mises par librairie.
Parallèlement, près de 8 % des magasins de presse ont fermé entre 2022 et 2023. En 2024, c'est pire : nous sommes à presque 16 %, toujours par rapport à 2022.
Ce sont bien plus que des statistiques.
Chaque fermeture représente non seulement la perte d'un commerce, mais aussi la disparition d'un espace de rencontre et de service pour les habitants.
Alors, je le dis et je le répète.
Des régulations pour protéger les joueurs ?
Absolument !
Mais elles doivent être finement ajustées en tenant compte des spécificités de chaque pan de notre secteur, et élaborées en concertation avec tous les acteurs concernés, en s'appuyant sur des analyses précises.
Ce n'est pas simple.
Comment réguler sans étouffer ? Comment protéger sans pénaliser ?
PS : Les bornes de paris, comme les produits de la Loterie Nationale, représentent des activités annexes cruciales pour ces commerces de proximité, leur permettant de maintenir une activité économique viable.
Inspirant sur les #ModèlesEconomiques! alors le meilleur moyen de gagner de l’argent est de le faire gratuit?
Envie d’échanger sur ces sujets les #FFLAWers? Rejoignez nous le 21 Juin 2024 à l’INPI de Lille! #SaveTheDate
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Le titre était accrocheur, mais 85 000$ d'achats en 21 mois, soit environ 4 100$ par mois, pour la sixième ville du Québec ne me semblait pas si pire... par contre d'être en troisième position au palmarès est plus problématique et renvoie à deux concepts importants 1) l'exemplarité de l'État et 2) l'achat local qui entre en confrontation avec un autre concept, l'utilisation de l'argent public.
L'État subventionne des emplois à coup de millions et de milliards de dollars, alors quel est l'enjeu d'acheter localement pour quelques centaines de dollars de plus au lieu de le faire sur une plateforme comme Amazon? Par acheter localement, j'entends dans sa ville en premier lieu, sinon dans une ville voisine, sinon à Montréal ou Québec, et pourquoi pas à Toronto avant de passer sur une plateforme internationale.
Associé @MAESTRIUM | Nos Managers de Transition transforment vos défis en succès ! | Transition - Transformation - Conseil
2 sem.Totalement d'accord avec vous Enrique ! On ne demande pas autre chose que de se battre à armes égales. Et cela vaut pour tous les secteurs, pas seulement la culture