Post de Christophe MARION

[NOMINATION DE FRANÇOIS BAYROU AU POSTE DE PREMIER MINISTRE] Les Universalistes prennent acte de la nomination de François Bayrou comme Premier ministre français, celui-ci succédant à Michel Barnier. Le moment n'est pas venu d'émettre un jugement sur la personnalité du nouveau chef du gouvernement, alors que trop d'éléments manquent pour ce faire : le gouvernement n'est pas constitué, et le discours de politique générale n'a pas été prononcé. Annoncer une volonté de censure semble donc dépourvu de tout regard critique et contribuerait à encourager une instabilité dont les ménages, les entreprises et les associations sont les premières victimes. Nous retenons cependant de cette nomination une incapacité manifeste du chef de l'État de sortir de son espace politique, alors que l'instabilité à laquelle nos institutions font face imposait la mise en place d'une forme, plus ou moins large, de gouvernement d'union nationale. Nous restons, par ailleurs, dans l'attente de toute ligne directrice en matière de protection de l'Animal et de la Nature, le MoDem que François Bayrou dirige ayant été capable du meilleur comme du pire dans ces deux domaines. À la lumière des éléments manquants, nous saurons choisir, en temps et en heure, entre un soutien vigilant et une opposition républicaine et constructive. Les Universalistes

🕵️ Savez-vous détecter les #biais dans cette #actualité ? 👇 1. Le choix de la date de dépôt peut être considéré comme stratégique pour obtenir le plus large retentissement. 2. La décision de déposer la motion après la déclaration de politique générale du gouvernement Barnier peut être interprétée comme une tentative pour coïncider avec la semaine où le gouvernement doit présenter le budget de l'État. 3. L'exigence des voix des députés du Rassemblement national pour obtenir les 289 voix nécessaires pour faire chuter le gouvernement peut être considérée comme un facteur important dans la stratégie politique. 4. La décision des cadres du groupe de Marine Le Pen d'écarter l'idée d'un calendrier qui favoriserait la chute du gouvernement peut être interprétée comme une prise de position pour préserver leur influence. 5. La mise en avant de la motion de censure par les leaders du NFP peut être considérée comme une tentative pour gagner en visibilité et influencer l'opinion publique. 🚀Toute l'actualité débiaisée est sur https://workfutur.com #Objectif #Factuel #Indépendant #Gratuit L'essentiel de l'article : ✍️ 1. Les chefs des quatre groupes du Nouveau Front populaire

Diomaye en politique pure Sur la non-présence du chef de l'État au Conseil supérieur de la magistrature, le président n'a pas été humble. La position idéale serait de reconnaître la légèreté dans l'engagement du candidat. La nécessité de la présence du chef de l'État dans ledit Conseil est certes plausible, mais cela est en porte-à-faux avec les promesses de campagne. C'est d'autant plus vrai que ce serait une folie de persister à honorer un engagé sans tenir compte des exigences d'efficacité. Par ailleurs, Diomaye relativise la déclaration du Premier ministre à l'effet que le jury populaire présenterait une qualité supérieure à celle de l'Assemblée nationale. Le problème ne consiste pas à ce que le Premier ministre ait émis une simple appréciation sur la qualité plus ou moins grande entre les deux cadres. C'est dans la légitimité institutionnelle bafouée que l'erreur est caractérisée. Au demeurant, toujours est-il que la sérénité, la courtoisie et la tempérance du président forcent le respect et lui attirent inéluctablement la sympathie des populations. Enfin, avec Ousmane Sonko, le président a essentiellement campé le débat sur leur relation sous l'angle de l'affectivité. Il nous reste à souhaiter que des différences dans la définition ou dans l'orientation des politiques publiques génèrent objectivement des conflits intraitables. Waltako

Je ne comprends pas vraiment les critiques apportées à cette nomination pour plusieurs raisons. Tout d’abord, la nomination d’un président de section du Conseil d’Etat est une prérogative de l’exécutif (art. L133-2 du CJA). La condition est que celui-ci doit être choisi parmi les conseillers en service ordinaire. Ensuite, s’il est vrai que la tradition consistait, depuis la IVeme République, à voir une présentation par le Bureau du Conseil d’État de trois noms susceptibles d’être nommés à la tête des sections administratives et un nom unique pour la section du contentieux, ce n’est pas la première fois qu’un Président de la République ne suit pas la tradition. Par exemple, Nicolas Sarkozy n’a pas donné suite à celle-ci en refusant de nommer à la tête d’une section administrative une des personnes proposées et en nommant une personne directement choisies par ses soins, témoignant « d’une volonté explicite de mettre un terme à une tradition comprise par lui comme s’opérant contre son propre pouvoir » P. Gonod. De manière plus factuelle, aucun retour négatif ne semble avoir eu lieu du côté des membres du Conseil d’Etat.

Pour rappel - EM a accepté officiellement la démission du gouvernement Attal le 18 Juillet, donc depuis cette date , les ministres sont des ministres démissionnaires - EM a indiqué, que pour le moment, ces ministres devaient assurer les affaires courantes, et que la nomination du nouveau PM se ferait après les JO. D'un point de vue constitution, de par l'article 23 et la loi organique associée, afin d'éviter tout cumul entre un mandat dit de ministre et un mandat parlementaire, ce qui est le cas pour nombreux ministres démissionnaires qui ont été élus députés dans la nouvelle Assemblée Nationale, EM a un mois maximum pour se prononcer et nommer un nouveau PM, soit jusqu'au 18 août Si il ne se prononçait pas à cette date, nombreux ministres ne pourraient plus exercer leur rôle de députés à l'AN, et le conseil constitutionnel pourrait être à nouveau saisi, et permettre aux groupes de l'opposition via nouveaux arguments, de remettrre en cause les différentes élections réalisées au sein de l'AN. - aucun parti ou coalition ne peut ouvertement réclamer le poste de PM en avançant avoir une quelconque majorité - tout gouvernement dans lequel il y aurait le moindre ministre LFI n'aurait aucune espérance de vie de plus de 48h face à une motion de censure. Le message est donc clair pour le PS, PC et EELV. - quelque soit le gouvernement, il se doit de représenter les français tels qu'eux l'ont voulu, donc un gouvernement d'union nationale semblerait idéal, solution souvent admise et mise en œuvre dans d'autres pays, mais qui semble en France impossible de par les orgueils et préjugés de nos élus Enfin les tentatives "comiques" de la Droite Républicaine, prête à renier certaines de leurs bases fondamentales en présentant des candidats aussi peu crédibles et le forcing de la coalition NFP avec son candidat désigné qui se permet, alors qu'elle n'a aucune fonction, de mener déjà sa propre campagne laissent un goût amer de ce qui attend les français à partir de la 2ème quinzaine d'août.

#France #Matignon #MichelBarnier Qu'en penser ? Le spread se détend un rien après la nomination du nouveau Premier Ministre, ça n'empêche pas la situation économique et financière (entre autres) d'être angoissante à #Paris et orbi, et d'aucuns trouveront préoccupant que l'homme qui a négocié le Brexit soit aux manettes de #France alors que peu de fourmis à #Berlin, cautions plus ou moins solidaires en Euroland, ou créanciers urbi et ailleurs veulent ou peuvent continuer à payer les factures de la cigale qui a encore joué tout l'été après ses années de Koakilankout irresponsable et ses décennies d'administration de bras cassés, et l'on peut craindre qu'il soit compliqué de trouver des kamikazes capables, solides et loyaux pour remplir les bureaux et cabinets ministériels, en premier lieu pour #Bercy en perdition, mais jusqu'ici tout va pour le mieux dans le moins pire des Paris possibles, habemus PM après les 55 jours de P... non, pas Pékin, c'était avant, les 55 jours de Paris (2024). Bon courage, et surtout bonne chance au Premier Ministre (enfin) nommé et aux vaillants qui vont tenter avec lui, sinon de mener le paquebot à bon port jusqu'en 2027, de ne pas laisser le navire couler entre récifs, requins et pirates malgré les usual sabordeurs, les passagers en mode amok (relire Zweig), les hibernatus dingauchos et la droite rétroviseur aux coins de la rue, et le temps en mode Perfect Storm ... Crédit #FranceInfo

La Justice : institution méconnue et objet d’idées reçues et de contrevérités ! Merci au nouveau garde des Sceaux #didiermigaud de rappeler le travail difficile et souvent ingrat des magistrats dont les conditions de travail et les moyens ont souffert d’un abandon budgétaire pendant 30 ans. Si l’état de la justice est à ce point dégradé, ce n’est certainement pas la faute aux personnels de justice qui font bien ce qu’ils peuvent avec peu, mais bien à l’indigence des moyens qui leur ont été fournis ces dernières décennies pour faire face à leurs missions toujours plus importantes et exigeantes. C’est pourquoi l’effort budgétaire doit se poursuivre impérativement, sinon la Justice française restera classée à l’avant dernière place au niveau européen ( cf les derniers chiffres de European Commission for the efficiency of justice (CEPEJ) Si tout n’est pas résolu qu’avec des moyens c’est aussi et d’abord quoi qu’on en dise une question de moyens !!! Union Syndicale des Magistrats Ludovic Friat Alexandra Vaillant Stéphanie Caprin Natacha AUBENEAU fabienne averty https://lnkd.in/e29NhUVP

🕵️ Savez-vous détecter les #biais dans cette #actualité ? 👇 1. Les propos du Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal peuvent être interprétés comme une critique du président de la République Emmanuel Macron. 2. Le choix de Michel Barnier comme Premier ministre peut être vu comme un symbole de l'alliance entre le camp présidentiel et les LR. 3. La phrase "Nous allons davantage agir que parler" peut être interprétée comme une menace contre les forces politiques opposées au gouvernement. 4. Le message posté par Gabriel Attal sur X après la nomination de Michel Barnier peut être vu comme un appel à la division entre les Français et le nouveau Premier ministre. 5. La nomination de Michel Barnier peut être considérée comme une tentative de résolution de la crise politique, mais il est difficile de déterminer si cela sera effectif. 🚀Toute l'actualité débiaisée est sur https://workfutur.com #Objectif #Factuel #Indépendant #Gratuit L'essentiel de l'article : ✍️ 1. Le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal a transmis le flambeau à son successeur Michel Barnier lors d'une cérémonie de passation de pouvoirs à Matignon. 2. Michel Barnier a été nommé Premier ministre par Emmanuel Macron, 60 jours après les législatives qui ont débouché sur une Assemblée nationale sans majorité. 3. Le nouveau Premier ministre a promis de reprendre des projets laissés en suspens par le précédent gouvernement et d'ajouter sa propre valeur ajoutée. 4. Les grandes priorités du gouvernement viseront à répondre aux défis, aux colères, aux souffrances qui traversent les villes, les quartiers et les campagnes. 5. Michel Barnier a demandé respect envers toutes les forces politiques représentées au Parlement, ainsi que vis-à-vis des partenaires sociaux et économiques et des élus locaux. 6. Le nouveau Premier ministre va devoir tenter de former un gouvernement susceptible de survivre à une censure pour mettre fin à la crise politique. 7. Gabriel Attal a remercié le président de la République Emmanuel Macron pour la confiance accordée et a salué son successeur Michel Barnier comme "un grand élu local". 8. Le Premier ministre démissionnaire a estimé que les Français sont un grand peuple et qu'il est important de sortir du sectarisme. 9. Michel Barnier a affirmé qu'il allait dire la vérité, même si elle est difficile, notamment sur la dette financière et écologique. 10. Le nouveau Premier ministre a lancé l'appel "Au travail !" en conclusion. Plus de détail en clickant sur l'article ci-dessous 👉

⚡️ Il y a une 10 jours le Président de la République décidait de dissoudre l'Assemblée nationale par surprise. Ce changement, au-delà des conséquences immédiatement politiques, marque le début d'une période d'instabilité et d'incertitude pour les entreprises. Plutôt que de sortir le popcorn et de profiter du divertissement (encore que nous ayons aussi beaucoup aimé les "mèmes" politiques qui sont sortis à profusion), nous travaillons chez Vélite à rendre plus clair les mouvements au sein des cabinets ministériels et du parlement. 🎯 Objectif : rendre les conséquences d'un changement de majorité lisible pour nos clients. Si vous aussi vous êtes sujets à ces incertitudes, que vous souhaitez y voir plus clair et être opérationnels dès la nomination du futur Premier ministre, prenez contact avec notre responsable du pôle Affaires publiques, Cyrille Fonvielle, et parlons-en ! 📩