À la demande générale et suite à mon post d'hier sur les techniques d'achats datant de Mathusalem. (25 ans aussi) Tu pourras l'encadrer dans ton bureau Mischa des Achats 😂 Cette copie fait partie des ancêtres...Roland CONDAMIN Et oui, Aria Ballow à l'époque, c'était à couteaux tirés. Comme dit la PUB "Mais ça, c'était avant "
kristin SCRIVEN Ça s'appelle aussi "tirer la couverture à soi". C'est fondamentalement impossible en négociation. Pour avoir guerroyé pendant plus de trois décennies, j'affirme que, le plus souvent, la négociation reste primaire. Certains secteurs ont une vision plus évoluée de la négociation, tout comme une nouvelle génération (certains boomers aussi) souhaitant donner un sens à leurs actions et créer de véritables partenariats. La conclusion est qu'il n'y a pas de vérité absolue en négociation. Il n'existe que des repères et des méthodes pouvant s'appliquer ou non dans un contexte plus ou moins difficile, en faisant preuve d'intelligence commerciale. Avec de l'empathie, cela devrait fonctionner.
Bonsoir SUPERBE-FORMIDABLE …ayant été acheteur chez Carrefour suisse de 1984 à 1994 (époque bénie) où les distributeurs contribuaient aussi aux satisfactions des consommateurs et … pas forcément uniquement par des prix ..mais par des assortiments, des prestations, des disponibilités et tout cela sans "étouffer" les producteurs et fournisseurs … pour l'avoir vécu "pour de bon dans la vrai vie* je n'ai pas souvenir *des réactions négatives systématiques, faux prétextes, marchandages sans concessions*, évoqué dans vos recommandations….mais plutôt de recherche de solutions envers la qualité , l'équilibre des valeurs ajoutées, de respect et dignité … mais vos "théories confirment les images de proximité, équité, et Faire-Trade des "ACHETEUR FANS "de votre post...avec leurs partenaires et cela est surement la raison qui fait que ces groupes ont très clairement UNE VISION, UNE MISSION et UNE STRATEGIE qui ne laissent à aucun moments des doutes sur la pérennité de ces sociétés …. bien a vous et aux longues années de vos activités de conseils
Franchement, cela dépend fort du secteur. Dans la grande distri, il est vrai qu'ils fonctionnaient fort comme cela. C'est également pour cela qu'il y a eu une course à la puissance. L'acheteur peut agir de la sorte avec le fabricant de biscuit local, pas avec Nestlé ou Coca-Cola. S'en est suivi une course à la taille, typique des années 1970/90. Mais c'est toujours vrai : comment croyez-vous qu'AMAZON peut être aussi souple et généreux avec l'acception des retours? C'est devenu une règle pour tous nouveaux fournisseurs. C'est lui que paye tout les frais de retour. Pas content? Dégage...
Un peu « franchouillard » comme principes (c’est l’acheteur « Diva » des années 80). Ça fonctionnait lors de mes premières négociations (début des eighties). Ces préceptes ne sont pas du tout efficaces avec des interlocuteurs internationaux (notamment d’Asie, du Middle East, ou même américains..). Leur application mènerait très vite à une rupture de négociation.. Avec le recul des années, sans parler du Win Win des bisounours ou des asiatiques qui disent toujours oui à tout même s’ils ne peuvent pas satisfaire 10% de votre cahier des charges, je pense qu’il faut tout de même rechercher dans la négo. le point d’équilibre entre des intérêts réciproques, sans animosité, rigidité et points durs, mais en restant « aware » comme dirait l’excellent Jean Claude Vandamme par rapport aux targets que l’on s’est fixés. Mais très souvent, la pression hiérarchique, les enjeux concurrentiels, la soif d’égo empêchent cette sérénité.
❌ Ça sent le fake Ces 10 tactiques sont également attribuées à L'Oréal, enfin à quelqu'un qui connaît un acheteur chez L'Oréal : https://www.coachdeventeconseil.com/prenez-en-compte-les-10-commandements Ou à personne : https://www.yves-steinmann.ch/tics-des-acheteurs/les-10-pratiques-les-plus-fr%C3%A9quentesdes-acheteurs Le document a l’air douteux, sans logo, sans charte graphique, sans numéro de référence interne ou signature d’un chief procurement officer CPO (responsable des achats). On penche donc pour un faux document qui permet de vendre des formations à des commerciaux (à qui on conseille d appliquer la règle 1) et donc on recommande d’être modérément enthousiaste face à ce document.
Ça correspond bien aux méthodes d'achats actuelles des grands comptes, pas seulement de la grande distribution. Le seul point valide dans cette liste, que tout bon négociateur doit nécessairement appliquer, c'est de toujours négocier une contrepartie contre une concession. La concession doit idéalement avoir une faible valeur pour soi mais une valeur perçue élevée pour l'autre partie. Les autres points de la liste ne sont que de la posture toxique si l'objectif c'est effectivement d'instaurer un véritable partenariat gagnant-gagnant. Très souvent, les objectifs des directions des achats vont à l'encontre de ceux de l'entreprise qu'elles représentent. Quel type de relation client-fournisseur une entreprise souhaite instaurer ? Si cette relation n'est basée que sur le rapport de force elle est déséquilibrée par nature et donc peu ou pas génératrice de valeur ajoutée.
Il faut arrêter de dire « autre époque » ! Ces pratiques ont toujours cours dans la grande distribution et pas seulement… On déteste tous ces acheteurs et le problème, c’est que ces pratiques ne créent aucun partenariat de long terme et le jour où le vendeur peut planter l’acheteur car il trouve un autre débouché pour ses produits avec un client plus respectueux, il n’hésite pas à le faire Christian.
Où l'on (re)découvre que le monde des (grandes) affaires n'est pas l'Île aux Enfants... Le plus drôle, c'est de lire les belles "valeurs" et autres bullshit RSE de cette entreprise.
ils ont la meme chez Décathlon non ? on dirait qu'ils l'ont pas chez Auchan, c'est resté dans les placards de chez Mulliez. quelle honte de sacrifier 2400 emplois chez Auchan, et de rentrer 1 milliard de chez Decathlon ....,
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2 sem.Helmut Hintzer