Post de Crypto Holding Broker

🚨 La "Travel Rule" arrive dans le monde crypto : ce qu'il faut savoir • 📅 Entrée en vigueur : 30 décembre 2024 pour les prestataires de services crypto dans l'UE • 🎯 Objectif : Lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme (LCB-FT) • 💰 Contexte : 22,2 milliards $ blanchis via les cryptos en 2023 • 🔍 Principe : Collecte et transmission d'informations sur les parties impliquées dans les transferts d'actifs numériques • 📊 Seuil : S'applique aux transactions supérieures à 1000€ • 🌍 Portée : Règle mondiale recommandée par le GAFI (Groupe d'Action Financière) depuis 2019 • 🇪🇺 Mise en œuvre : Lignes directrices publiées par l'Autorité Bancaire Européenne (EBA) le 4 juillet 2024 • 🤝 Collaboration : Nécessité pour les exchanges de partager des données client • 💻 Défis : Adaptation des systèmes informatiques et protection des données personnelles • 🔮 Impact : Potentielle augmentation de la confiance dans le secteur crypto, mais risques de frictions pour les utilisateurs #economie #finance #business #businsintelligence #aml #lcbft #compliance #kyc #kys #droit #droitdesaffaires #droitfinancier #droitmonétaire

#ARGENT : Votre argent est-il vraiment protégé en cas de faillite bancaire ? 🏦 ➡️ Vous connaissez probablement les livrets réglementés (Livret A, LEP, LDDS), mais saviez-vous que ces dépôts sont garantis par le Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR) jusqu'à 100 000 euros en cas de défaillance de votre banque ? 🔐 🔍 Le FGDR couvre également : 📊 Les titres (actions, obligations) 💼 Les liquidités détenues pour le compte de clients par des sociétés de gestion ✅ Les cautions professionnelles réglementées ➡️ Mais attention ! Les cryptoactifs ne sont pas couverts. Selon la Banque de #France, les cryptos sont considérés comme des actifs spéculatifs et ne remplissent pas la définition d’une monnaie. 👉 Pourquoi ? ➡️ Les plateformes de trading de cryptos ne sont pas adhérentes au FGDR, car seules les banques et établissements de crédit peuvent cotiser à ce fonds. ➡️ Les plateformes doivent plutôt obtenir l'agrément de l'Autorité des marchés financiers (AMF) en tant que prestataires de services sur actifs numériques (PSAN), excluant ainsi les cryptos des mécanismes de garantie. 🚫🪙 💡 Conclusion ➡️ Votre épargne traditionnelle est bien protégée, mais en ce qui concerne vos #cryptos, il vaut mieux être vigilant ! 👀 #Économie #Banque #Cryptomonnaie #SécuritéFinancière #FGDR #ProtectionDesDépôts

Puissance des clés publiques dans la cryptographie Les clés publiques sont la pierre angulaire du monde des cryptomonnaies, facilitant la sécurité des transactions et protégeant les fonds. Une clé publique est une adresse alphanumérique unique de 64 caractères qui permet aux utilisateurs de recevoir des fonds et de consulter leur solde non dépensé, de la même manière que si vous partagez les détails de votre compte bancaire pour recevoir de l'argent. Considérez votre clé publique comme une adresse e-mail pour votre portefeuille de crypto-monnaie. Tout comme vous partagez votre adresse e-mail pour recevoir des messages, vous partagez votre clé publique pour recevoir des fonds cryptographiques sur votre portefeuille. Pourquoi les clés publiques sont importantes dans la cryptographie : - Transactions sécurisées : les clés publiques garantissent que les fonds sont envoyés à la bonne adresse, réduisant ainsi le risque d'erreurs ou de fraude. - Transparence : les clés publiques permettent à quiconque de consulter le solde non dépensé et l'historique des transactions, favorisant ainsi la responsabilité. - Accessibilité : les clés publiques permettent de recevoir facilement des fonds de n'importe qui, n'importe où dans le monde. Essentiellement, les clés publiques constituent la passerelle vers les transactions en crypto-monnaie, permettant des transferts de fonds sécurisés et efficaces. #invest #crypto

💥 ZKB, la 4ème plus grande banque de Suisse, se lance dans les cryptomonnaies ! 🇨🇭 La Banque Cantonale de Zurich (ZKB) a décidé de franchir un cap en offrant désormais des services de trading et de conservation de cryptomonnaies. C’est un pas de géant pour une institution aussi traditionnelle. En intégrant les cryptos dans son portefeuille, ZKB prouve que les actifs numériques font maintenant partie du monde de la finance classique. Ce que cela montre, c’est que les cryptomonnaies ne sont plus réservées aux experts du secteur. Une grande banque comme ZKB n’aurait pas pris cette décision si les cryptos n’avaient pas prouvé leur valeur. Pour les investisseurs, cela signifie une plus grande accessibilité et surtout, un cadre sécurisé pour explorer ce marché. 🔗 Pourquoi ça devrait t’intéresser ? Que tu sois déjà dans les cryptos ou que tu hésites encore, c’est une opportunité en or de te familiariser avec ces actifs dans un environnement sécurisé. Plus les banques adoptent les cryptos, plus leur légitimité grandit. 📈 En conclusion : Si des banques aussi grandes que ZKB s’y mettent, c’est le signe que les cryptos s’intègrent de plus en plus dans notre système financier. Il est temps de réfléchir à ton propre plan d’action, car les opportunités ne vont pas manquer. #Crypto #Banque #Investissement #Suisse #Opportunité

Le Comité de Bâle* a finalisé ses règles d'exposition bancaire aux cryptomonnaies, incluant des mesures strictes pour les stablecoins. Après des discussions débutées en 2019 et des consultations en 2023, ces règles seront publiées ce mois-ci et appliquées dès janvier 2026. L'objectif est d'améliorer la transparence et la discipline du marché en imposant aux banques de divulguer leurs expositions aux crypto-actifs, tout en surveillant les risques liés aux stablecoins, surtout ceux avec des mécanismes de stabilisation jugés inefficaces. * Le Comité de Bâle est un groupe de supervision bancaire établi par les gouverneurs des banques centrales du G10 en 1974. Il élabore des normes de régulation et de surveillance bancaire visant à renforcer la stabilité du système financier mondial. Les recommandations du Comité de Bâle, telles que les accords de Bâle I, II et III, sont adoptées par les régulateurs nationaux pour gérer les risques bancaires et améliorer la résilience des banques face aux crises financières. https://lnkd.in/eqk4gVYD

La crypto, c’est le far west 🤠 🔴 Faux ! Le secteur est régulé en France depuis 5 ans. Deblock est la seule fintech à avoir : - Un agrément EME (Établissement de Monnaie Électronique) de la Banque de France : pour vous proposer un compte en euros et une carte de paiement. - Un enregistrement PSAN de l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) : pour acheter et vendre des cryptos directement sur votre wallet depuis/vers votre compte courant. Vous voulez en savoir plus ? Consultez notre article sur MiCA pour découvrir comment la régulation peut transformer le marché des cryptomonnaies. 👉 En savoir plus : https://lnkd.in/eWfjfxHc 

🔔 La Banque de France dévoile les résultats de ses expérimentations sur la MNBC interbancaire La Banque de France a mené une série de tests sur l'utilisation de la monnaie numérique de banque centrale (MNBC) interbancaire, aussi appelée MNBC de gros, une version dématérialisée de la monnaie émise par les banques centrales et utilisée pour les transactions entre grandes institutions financières. Le 5 septembre dernier, elle a partagé les résultats de deux nouvelles expérimentations. Utilisée exclusivement par les banques centrales et commerciales, cette monnaie facilite le règlement de transactions sur des actifs tokenisés – des actifs financiers transformés en jetons numériques circulant sur des technologies de registre distribué (DLT) comme la blockchain. Les récentes expérimentations de la Banque de France ont montré des résultats prometteurs. Ces tests ont permis de synchroniser des paiements en monnaie commerciale avec des règlements en monnaie de banque centrale grâce à un protocole d’interopérabilité appelé Hash Time Locked Contract (HTLC). Tandis que la MNBC de gros est vue comme un moyen efficace pour améliorer la sécurité et la rapidité des transactions interbancaires, la MNBC de détail suscite plus de débats, notamment dans l'industrie crypto, du fait de l'implication des banques centrales dans un secteur historiquement décentralisé. Pour en savoir plus : 👉 https://lnkd.in/eCk39P9v 👉  https://lnkd.in/eax5AKfd #Compliance #Conformité #MNBC #CBDC #BCE #Banque #Blockchain #DLT

La crypto pour les paiements grand public ? Pour en parler Yves Choueifaty et Lilian Aliaga sont sur le plateau de BFM Crypto présenté par Amaury de Tonquédec

🚔 🚨 👮🏻♂️ ALERTE SYNTHÉTIQUE 🚔 🚨 👮🏻♂️ C'est l'heure de faire le point sur la fiscalisation des opérations sur cryptos ! 1️⃣ J'achète des cryptos avec des euros = ce n'est pas un fait générateur d'imposition sur le revenu : utiliser votre argent pour obtenir une contrepartie économique est un emploi de revenus ou du patrimoine, pas une acquisition de revenus. Rappelez-vous, l'IR frappe l'acquisition et pas la dépense de revenus. Comme il n'y a pas de TVA (qui est économiquement un impôt sur la dépense) sur les opérations fiat-crypto, cet emploi de monnaie est totalement défiscalisé. 👨🏻🏫 À noter : Acheter des cryptos avec de la monnaie étrangère ne devrait pas être fiscalisé au-delà d'une certaine somme si l'on considère que les devises sont soumises au régime des plus-values de biens meubles. 2️⃣ Je vends mes cryptos contre de la monnaie fiat (euros ou autre) = c'est un fait générateur d'imposition à déclarer 3️⃣ Je paye une dette, un bien ou un service avec mes cryptos = c'est un fait générateur d'imposition à déclarer, car il y a une contrepartie. 4️⃣ J'apporte mes cryptos en société = c'est un fait générateur d'imposition à déclarer 5️⃣ Je prête mes cryptos ou je les affecte en garantie = C'est potentiellement un fait générateur d'imposition, prudence !!! consultez un avocat (j'en connais des bons 😌 ) 6️⃣ J'échange mes cryptos contre d'autres cryptos (au sens de la loi fiscale) = ce n'est pas un fait générateur d'imposition. Maitriser la notion "d'actifs numériques" (= crypto-actifs) est essentiel. 7️⃣ Je reçois des jetons de staking liquide/de restaking contre mes cryptos = ce n'est probablement pas un fait générateur d'imposition, la qualification de produits dérivés ne me semble pas pertinente pour des tokens représentant un droit à restitution en nature d'autres tokens (et ça foutrait un bordel monstre dans les déclarations). 8️⃣ J'échange mes cryptos contre des options short/long sur cryptos = c'est un fait générateur d'imposition car pour le coup les options sont des contrats financiers, des contrats qui ont pour objet de parier sur comportement de certains cryptos mais qui ne sont pas eux-mêmes des cryptos. Ce n'est pas un échange, mais un achat d'option avec des cryptos, cf. plus haut. 9️⃣ Je réalise un bridge crypto (ex. des USDT depuis Solana vers Ethereum) = ce n'est pas un fait générateur d'imposition (échange avec soi-même, deux bonnes raisons que ce n'en soit pas, même si le droit fiscal fiscalise parfois les opérations avec soi-même...). 🔟 Je donne des cryptos = ce n'est pas un fait générateur d'imposition à l'IR.... mais aux droits de donation ! Évidemment, je n'ai fait que poser des principes : à la marge, certaines situations particulières peuvent ne pas tout à fait correspondre aux cas exposés. Il faut donc avoir une compréhension pleine et claire de chaque situation pour pouvoir la qualifier et donc la traiter fiscalement. 🦍 🐍CPFE 🦍 🐍

🎬 Unhosted #5 : Il parle crypto, sa banque ferme ses comptes. C'est une histoire que l'on entend trop souvent : Pascal Tallarida, entrepreneur dans la crypto, est venu nous raconter la fermeture de ses comptes bancaires professionnels et personnels. Découvrez son histoire et ses techniques pour vivre sans banque aujourd'hui 🔽 https://lnkd.in/epubTU-z