ECO DE L'AIN | Actualités économiques de l'Ain | Groupe Ecomedia

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ECO de l'Ain ? Ce sont les actus économiques de l'Ain.

À propos

ECO Ain, ce sont les actualités économiques des entreprises et des collectivités locales. Parce que c’est vous qui faites l’actu éco de nos territoires, nous nous devons de vous offrir plus qu’un journal économique. Notre slogan ? “Plus qu’un média, un outil de travail”. Voici pourquoi. Notre équipe de journalistes et notre rédaction ont à coeur de vous offrir une presse économique locale indépendante qui couvre l’ensemble de nos territoires : l’Ain (01), Bourg-en-bresse, le bassin de Bourg-en-bresse, Oyonnax, Bellegarde-sur-Valserine, Ambérieu-en-Bugey, Gex, Belley, Miribel, Saint-Genis-Pouilly, etc. et plus généralement la Bresse, le Pays de Gex, le Haut-Bugey, le Bas-Bugey, Revermont, les Dombes, Côtière, le Val de Saône, etc. Mais pas que : vous trouverez aussi des informations économiques qui traitent de la région Auvergne Rhône-Alpes, de la France et de l’international (Suisse, Italie, etc.) lorsqu’elles sont en lien avec nos territoires. ECO Ain, c’est aussi un panel d’outils pour faciliter la vie d’entreprise : création et publication d’annonces légales en ligne (devis immédiat, attestation légale envoyée par mail, paiement sécurisé), tableau de ventes immobilières (enchères publiques), une offre de publicité en marketing direct pour nos annonceurs, et l’abonnement en ligne à notre magazine de presse (papier et numérique). Premium, vous avez dit premium ? Oui, plus qu’un média : un outil de travail. Les voici : feuilletage en ligne de toutes nos publications, téléchargement des magazines en .pdf, sélection d’articles web premium, accès aux archives numériques, etc. Car oui, ECO de l’Ain vous ressemble. Bienvenue chez vous !

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Secteur
Édition de journaux
Taille de l’entreprise
11-50 employés
Siège social
Bourg-en-Bresse, Auvergne-Rhône-Alpes
Fondée en
1830

Lieux

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Nouvelles

  • #France / #Suisse : le B.A BA de l’#implantation de l’autre côté de la #frontière. S’implanter en Suisse ou en France est une option qui intéresse de nombreux entrepreneurs. Mais les questions sont complexes, allant du choix de la forme juridique – succursale ou filiale – aux éventuelles aides de l’Etat et à la location de locaux. Chaque projet entrepreneurial est unique, mais quelques principes de base peuvent être appliqués. En 2023, le rythme des implantations de chaque côté de la frontière des entreprises françaises et suisses avait été particulièrement soutenu. Une tendance qui se poursuit cette année, comme l’illustre le nombre important de demandes enregistrées par la CCI France Suisse (CCIFS). « Notre service implantation se charge chaque année de l’ingénierie complète de la création d’une trentaine d’entreprises. Un petit peu plus de vingt-cinq de la France vers Suisse et cinq dans le sens inverse », souligne Olivier Dupont, directeur implantations de la CCI France Suisse. Cependant l’installation de l’autre côté de la frontière reste délicate et se doit d’être minutieusement pensée, tant sous l’angle économique que sous l’angle de la prise en compte des différences culturelles. « La France et la Suisse ont des philosophies de création d’entreprises et des systèmes juridiques très différents. En France, schématiquement, on s’attache beaucoup à l’idée de l’entrepreneur. On peut donc créer une société avec très peu de capital, et il y a de nombreux dispositifs de soutien, explique Olivier Dupont. En Suisse, il ne suffit pas d’une bonne idée pour créer une entreprise, il faut disposer de capital et compter sur les perspectives très concrètes d’un marché. Il y a beaucoup moins d’aides, hormis pour des projets extrêmement innovants. Les banques prêtent moins facilement qu’en France. » Il est donc impératif pour une entreprise française de s’assurer d’avoir déjà des clients avant de se lancer dans une création d’entreprise en Suisse d’autant plus qu’il existe de nombreuses possibilités de développer un... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dnAc6_Ne

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  • L’ex-patron des patrons, Yvon Gattaz, s’en est allé Décédé le 12 décembre à l’âge de 99 ans, Yvon Gattaz « était un homme passionné par les jeunes, par l’entreprise, par la création d’entreprise, par le management participatif et humain », comme l’évoque son fils, Pierre Gattaz, sur les réseaux. Et depuis l’annonce de la disparition de l’ex-patron des patrons (ancien patron du CNPF devenu MEDEF-Mouvement des Entreprises de France) de 1981 à 1988, les hommages se succèdent et les réactions sont nombreuses en Isère. Né le 17 juin 1925 à Bourgoin (Département de l'Isère), de parents instituteurs, il n’a jamais oublié ses racines. « Ma mère était institutrice au collège de Bourgoin et elle voulait que ses fils réussissent. Elle nous a poussé, mon frère Lucien et moi, à faire des études. Nous sommes sortis ingénieurs et nous avons saisi l’opportunité du moment. Nous avons fondé la société Radiall, dans des locaux de 110 m2 situés dans le fond d’une cour à Paris, à côté du cirque d’hiver. C’était en 1952. Entreprendre, cela ne s’apprend pas. Cela se transmet par l’exemple. Il faut remettre à l’honneur la vertu de l’exemplarité », nous avait confié Yvon Gattaz lors d’une conférence qui s’était tenue sur l’entrepreneuriat, à Ville de Bourgoin-Jallieu, le 13 mars 2015. Aujourd’hui, Radiall s’est forgé une solide réputation de leader mondial dans les solutions d’interconnexion, et l’histoire entrepreneuriale se pérennise avec son fils Pierre (notre photo : Pierre et Yvon Gattaz en « pèlerinage » familial à Bourgoin-Jallieu, en 2016)... Lire la suite sur : https://lnkd.in/eSNfWeQK

    • Yvon Gattaz (à droite) et son fils, Pierre.
  • ECO DE L'AIN | Actualités économiques de l'Ain | Groupe Ecomedia a republié ceci

    Le journal Éco de l'Ain publie le classement des plus gros employeurs de l'Ain : le Département est en deuxième place de ce classement 🥈   Le Département de l'Ain, c'est 2 300 agents, 80 métiers différents, répartis sur 132 sites partout sur le territoire Aindinois 💛💙   Rejoindre le Département de l'Ain, c'est exercer un métier qui a du sens. Enfance, collèges, personnes âgées et personnes en situations de handicap, ou encore culture, sport, patrimoine, sans oublier l'entretien des routes, la préservation des ressources, l'aménagement du territoire, les bâtiments, l'informatique, le juridique... il y a forcément un domaine fait pour vous dans notre collectivité ! Le Département est toujours à la recherche de nouveaux talents. N'attendez plus et rejoignez-nous : www.ain.fr/offres-emploi/   #Icicestlain #recrutement #attractivité #marqueemployeur #ain #emploi ECO DE L'AIN | Actualités économiques de l'Ain | Groupe Ecomedia S. Jacquart François Genest Jérôme DUSSARDIER Olivier Bessard laurent tissot Marlene Terrasse Juliette Defoulounoux clement thierry' Florian Souilliart Céline CARRIER Gilles Ripollés Romain Benayoun

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  • #Ain : Bail Rénov'’ accompagne #propriétaires et #locataires. Ce dispositif associe l’ADIL de l'Ain, SOLIHA et Habitat et Humanisme pour promouvoir la #rénovation énergétique et inciter à la #sobriété. « L’idée est de conduire les propriétaires vers un parcours de travaux. D’abord en les aidant à comprendre le DPE et le sens de l’interdiction progressive de location, puis en faisant le lien avec les programmes d’aides mobilisables. Il faut qu’ils sachent quoi faire, pour quel coût et pour quelle valeur ajoutée pour leur bien », a expliqué Isabelle Chanel, directrice de l’Adil (Agence départementale d’information sur le logement), lundi 2 décembre. « Cela doit permettre aux propriétaires de se projeter et ainsi, remobiliser du parc immobilier vacant. Des dispositifs fiscaux et des accompagnements sécurisés existent pour qu’ils puissent amortir leurs travaux, mais aussi sécuriser les loyers. » L’agence s’apprêtait alors à signer une convention avec Soliha (Solidaires pour l’habitat) et Habitat & Humanisme (association de lutte contre le mal logement) pour la mise en place du dispositif Bail Rénov’. Ce programme, financé par les certificats d’économie d’énergie, prévoit des actions gratuites pour la période 2025-2026, en direction des propriétaires bailleurs et des locataires, en trois axes : promouvoir la rénovation thermique, inciter à la sobriété, garantir la performance énergétique. Il s’inscrit dans le cadre d’un engagement national entre sept acteurs, l’Agence nationale d’information sur le logement, Habitat & Humanisme, Soliha, l’Union nationale des propriétaires immobiliers, Casbâ et Énergies Demain. « Ce programme a été déployé pour la période 2023-2026, mais pas partout en même temps. Nous sommes dans la quatrième vague, ce qui nous permet de bénéficier de l’expérience des autres », a précisé la directrice de l’Adil. Le premier axe est en direction des bailleurs, le deuxième en direction des locataires. « Une fois les travaux réalisés, nous assurons un suivi. Mais il faut aussi apprendre à vivre dans un logement bien isolé car c’est différent d’une passoire thermique. Nous rappelons, par ailleurs, aux locataires leurs droits et leurs devoirs, pour restaurer une dynamique de confiance avec le propriétaire. » Et Clotilde Fournier, présidente de l’Adil d’ajouter : « l’État apporte régulièrement des modifications aux aides existantes. Ce n’est pas simple à suivre, même pour des structures accompagnatrices comme les nôtres. À nous trois, nous allons pouvoir mutualiser un vrai service à la population. » Lire la suite sur : https://lnkd.in/dmJpkixS

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  • #Ain : relever les défis de la #parité #Femmes / #Hommes. Le 5 décembre était organisée une rencontre pour porter un regard sur la parité et les défis à relever pour permettre aux femmes de s’investir davantage dans les instances décisionnelles. « La parité en politique locale va mieux. Il y a plus d’élues municipales, mais là où elle est facultative il y a peu de femmes, notamment sur les bancs de l’Assemblée nationale », s’est exclamée Isabelle Maistre, première adjointe de la Ville de Bourg-en-Bresse et 5e vice-présidente de Grand Bourg Agglomération, le 5 décembre dernier à la Maison de la Culture et de la Citoyenneté de Bourg-en-Bresse, lors d’une rencontre organisée autour de la parité et du leadership féminin. Initiée par l’association Regards de femmes et la délégation de l’Ain des femmes cheffes d’entreprises (#FCE01), avec le soutien de la préfecture de l’Ain et de la Délégation départementale aux Droits des femmes et à l’Égalité, cette réunion a donné la parole à des intervenantes d’univers différents. « Au sein de Grand Bourg Agglomération, sur les 25 élus de l’organe exécutif, le nombre de femmes c’est moins que les doigts d’une main. Mais ce n’est pas un choix politique de son président, cela tient au fait que le nombre de femmes maires est moindre. Pour moi, l’obligation de parité est indispensable parce que si on attend que les mentalités évoluent au même titre que la place de la femme dans notre société, nous allons attendre longtemps », a poursuivi Isabelle Maistre qui évoquait ses débuts d’élue locale (en 2014), notamment d’adjointe déléguée aux travaux. « Systématiquement, et pendant plusieurs semaines, on m’a prise pour la secrétaire. Pour “contrer” cela, je me suis mise à porter des pantalons et j’ai appris ses dossiers sur le bout des ongles. » Pour Dalila BERENGER, avocate spécialisée en droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine, ancienne bâtonnière, membre du Conseil d’administration du Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de l’Ain (#CIDFF), « la formation et l’éducation sont déterminantes et il faut se bouger. Accéder à des fonctions de direction, c’est un problème de dualité entre la vie professionnelle et personnelle ». Savoir s’imposer « Dans l’industrie, la présence des femmes est extrêmement faible, constate Emmanuelle PERDRIX, présidente du groupe HYLÉANCE et membre du bureau. J’ai été présidente du syndicat national de la plasturgie (Polyvia) dont le conseil d’administration de 30 personnes comptait trois femmes. Me concernant, lorsque j’ai repris l’entreprise, j’avais face à moi des gens qui considéraient que, si j’avais pu accéder à ce poste en tant que femme, c’était uniquement parce que j’étais la fille d’un dirigeant. » Pour sa part, s’il est un lieu où elle conçoit et encourage l’obligation de parité dans le tissu économique, c’est au sein des... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dPgr6b6N

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  • #Emploi : qui sont les plus gros #recruteurs dans l’#Ain (01) ? Hôpitaux et administrateurs territoriaux : à eux deux, ces employeurs arrivent en tête de ce classement dans l’Ain avec plus de 6 500 personnes employées. L’industrie suit immédiatement derrière. Ce #classement regroupe les plus gros employeurs du département, aussi bien publics que privés. Il montre l’importance de la sphère publique dans l’emploi local et met en lumière les gros employeurs privés qui n’ont pas leur siège sur le territoire. Classement des plus gros effectifs dans l’Ain (01) : https://lnkd.in/deEV5Ene

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  • #Sport : Bourg-en-Bresse, capitale mondiale du #padel. AINTEREXPO accueille jusqu’au 15 décembre, le master international de la discipline, le #CupraFIPFinal2024. La compétition commence ce mercredi 11 décembre et se poursuit jusqu’à dimanche, à Ainterexpo – Bourg-en-Bresse, avec les huitièmes de finale ce jeudi, les quarts vendredi, et cætera jusqu’au 15, inclus. La ville préfecture reçoit l’élite mondiale du padel, hommes et femmes, avec le Cupra FIP Final 2024. « Nous avions déjà organisé un tournoi international, mais de premier niveau, FIP Rise, l’an dernier. Et nous avons obtenu la meilleure note du circuit 2023, de sorte que nous nous sommes vus proposés d’accueillir, cette fois, le plus haut niveau », se félicite Alexandre PICQUIER, le directeur du tournoi. « L’an dernier, le premier classé était 120e mondial. Ce coup-ci, le moins bien classé est 100e, tandis que les têtes de série tournent autour de la 15e place. » Le budget est à l’avenant, passant de 130 000 euros en 2023 à 450 000 euros cette année. Les compétiteurs s’affrontent sur trois terrains, qui occupent deux halls, pour 90 000 euros de prix, répartis équitablement entre hommes et femmes. C’est aussi l’occasion de gagner des points de classement, 150 pour les vainqueurs, 90 pour les finalistes. Ont été sélectionnées les quinze meilleures paires du classement international FIP, les deux meilleures équipes d’Amérique du Nord, les trois meilleures d’Amérique du Sud, les deux meilleures du continent asiatique et la meilleure paire africaine, tandis que deux wild cards ont été attribuées par la Fédération française de tennis. Plus de 90 partenaires sont présents sur le village des entreprises. Des structures locales pour les deux tiers, mais aussi nationales et internationales. « Nous avons même une entreprise espagnole, Elpozo, leader mondial de la charcuterie, qui a investi dans le tournoi au point d’en devenir l’un des principaux soutiens », relève Alexandre Picquier. Un sport dans le vent Organiser une compétition internationale à Bourg avait pour principal objectif de faire connaître cette discipline au carrefour du tennis et du squash, inventée dans les années 1960 par un Mexicain qui manquait de place chez lui, pour construire un terrain de tennis. Le terrain de padel est donc plus petit, de même que la raquette. La balle est similaire, mais plus molle. Et l’on joue avec les murs. Ce sport s’est d’abord développé en Espagne dans les années 1970, avant d’arriver en France, il y a une dizaine d’années. Il connaît depuis, un engouement extraordinaire. « C’est la discipline qui recrute le plus grand nombre de pratiquants chaque année, jusqu’à devenir le troisième sport national pratiqué derrière le... Lire la suite sur : https://lnkd.in/dHKZxsMt

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  • Un #budget #2025 contraint pour le Département de l'Ain. La chute du gouvernement n’y change rien. Coincé entre hausse des dépenses et baisse des recettes, les élus départementaux serrent la vis. « En l’absence de projet de loi de finances (#PLF) pour 2025, c’est la première fois que nous devons élaborer un budget avec autant d’inconnues », a regretté Pierre LURIN, vice-président aux finances du Département, lors de la session du 9 décembre, à l’heure du débat d’orientation budgétaire. « Cette situation est de nature à renforcer l’attentisme des investisseurs et faire stagner encore la TVA et les droits de mutation à titre onéreux (DMTO, les fameux “frais de notaire”, NDLR). » De -15 à -20 % de recettes La censure du gouvernement, que beaucoup de conseillers départementaux ont déploré, n’a pas que des inconvénients. Certes, les départements avaient obtenu du Premier ministre, 200 M€ pour l’Allocation personnalisée d’autonomie et 100 M€ pour les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Et leur contribution devait être moindre que ce qui avait été envisagé. Mais à l’origine, le PLF prévoyait 60 milliards d’euros d’économies, dont 5 à la charge des collectivités. Selon Pierre Lurin, l’impact se serait chiffré, dans l’Ain, à 20 M€ pour le Conseil départemental. Or, la collectivité est prise dans un effet de ciseau entre « un contexte d’inflation qui certes diminue, mais atterrit autour de 2 % » et « des recettes excessivement atones, en particulier du côté de l’immobilier et des DMTO, mais aussi du côté de la TVA ». À la clé, une baisse des recettes de l’ordre de 15 à 20 %. Le Département serre donc la vis. « Nous avons travaillé dès l’été, sur un projet de budget tenant compte de cet effet de ciseau », a indiqué Pierre Lurin. « La méthode a consisté à évaluer les dépenses pilotables ou non. Ces dernières représentant 85 % du total. L’ensemble des leviers sont mis en œuvre, tous les services et partenaires mis à contribution, afin de limiter notre endettement, le maintenir en dessous de l’encours que nous avons trouvé en 2015, à 440 M€. Nous modérons donc nos dépenses de fonctionnement de 15 M€. Elles restent malgré tout en hausse de 1,1 % par rapport au budget primitif 2024 et de 1,7 % par rapport au compte administratif anticipé. Et nous réduisons nos efforts d’investissement à 144 M€ par an pour la période 2025-2028, contre 168 M€ auparavant. » La réhabilitation du collège d’Ambérieu sera décalée, mais celles des établissements du secondaire de Péronnas et Villars-les-Dombes maintenues. Idem pour la deuxième tranche de travaux du campus de Bourg, l’éducation restant le premier budget d’investissement du Département avec 36 M€... Jean DEGUERRY Lire la suite sur : https://lnkd.in/d_tpJbMz

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  • #Trophées #ECO : 5 entreprises de l’#Ain récompensées pour leur #excellence. La soirée des Trophées Eco, qui accompagne la sortie de notre #TOP300, le palmarès des entreprises de l’Ain a été une belle occasion : « mettre en lumière toutes les industries de notre beau territoire », comme l’a souligné Thomas COLOMBARI, responsable de l’antenne de l’Ain d’Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises. La remise des cinq prix s’est déroulée mercredi 4 décembre au Technopole Alimentec, à Bourg-en-Bresse. Une cérémonie avec, en introduction, une table ronde sur le thème “Entreprises, quand l’#agilité devient la règle”, avec pour témoins, Philippe VERNE, dirigeant de Brevet Carrosserie (Viriat) et parrain de cette édition, David Soret, président de la SC FLORIOT (Bourg-en-Bresse), CHRISTELLE VAILLAT, directrice de Vaillat SAS et Vaillat Coatings (Oyonnax), et Philippe Collange, responsable des relations externes et responsable du développement du marché des mobilités douces du Groupe SAB (Montmerle-sur-Saône). « Aujourd’hui, tout va très vite. Est-ce l’effet internet ? Nous sommes dans un monde où il faut répondre tout de suite et avoir un avis sur tout. Il ne faut surtout pas être attentiste, a introduit Philippe Verne. Si l’entreprise n’est pas adaptable, ou tout du moins plus agile, je crains qu’elle rencontre quelques difficultés pour son avenir. Mais, je crois que les entrepreneurs de l’Ain répondent assez bien à ces défis. Pour autant, nous aurons beau être les plus agiles et les plus adaptables, si les règles du jeu changent tous les jours, c’est un petit peu compliqué. C’est le principal défi, aujourd’hui. À un moment donné, il va falloir avoir le courage de dire stop. » Et de poursuivre sous ses casquettes de vice-président de la CCI de l'Ain et de président de l’EGC CENTREST Campus de Bourg-en-Bresse : « Les équipes de la chambre travaillent au maximum pour aider ses ressortissants, donc nos entreprises, à cette adaptabilité. Et à l’école de commerce, j’essaie de donner un maximum d’orientations à l’équipe pédagogique, pour former nos jeunes à cette agilité et cette adaptabilité ». Plus forte progression au Top 300 : JOUSSEAU MECANO SOUDURE Meilleure entrée au Top 300 : ATEC ÉTANCHÉITÉ Initiative “Innovation” : PACKINOV / NOODDIS Initiative “Environnement” : THE 8 IMPACT Initiative “RH” : Stratus Packaging Lire la suite sur : https://lnkd.in/d7fbCc2u

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