Une récade du roi Béhanzin, sceptre symbole du pouvoir royal à l’époque du Royaume du Dahomey, est apparue dans une vente aux enchères privée en France, ce qui a suscité la colère de plusieurs Béninois. L’objet a finalement été retiré de la vente.
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Agence Ecofin est une plateforme d’informations économiques et financières africaines, constituée de 11 fils d’actualités spécialisées dans les secteurs suivants : Gestion publique, Finance, Agriculture, Electricité, Hydrocarbures, Mines, Transports, Tic & Télécoms, Communication, Formation et Entrepreneuriat. La plateforme intégre une riche production multimédia (vidéo et infographies) et anime une importante communauté sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter et LinkedIn. La rédaction d’Ecofin est 100% africaine, répartie essentiellement sur 6 bureaux : Yaoundé, Cotonou, Abidjan, Lomé, Libreville et Niamey.
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- 51–200 Beschäftigte
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- Genève
- Art
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- 2011
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- Enquêtes, reportages, couvertures d’événements, Journalisme, Veille d’information sectorielle, Fourniture de contenu, web et papier, Enquêtes économiques, Rédaction de journaux et magazines d’institutions ou d’entreprises und Afrique
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Updates
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Selon ATR, le partenariat fera d’Ethiopian MRO un acteur clé du marché des pièces détachées pour répondre aux besoins des 36 transporteurs exploitant actuellement 131 avions ATR en Afrique et au Moyen-Orient. Faute de compétences et d’infrastructures suffisantes, la maintenance des avions demeure l’un des principaux défis de l’industrie aérienne africaine
Le centre Ethiopian Airlines de maintenance d’avions ATR annoncé pour le 2e trimestre 2025
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La Zambie crée une société de négoce de métaux en association avec Mercuria | Estimant que « beaucoup d'ingénierie financière et de comptabilité créative » réduisaient les revenus issus de ses gisements cuprifères, Lusaka marche dans les pas du Botswana et de la RDC qui tentent de tirer plus de bénéfices des richesses de leurs sous-sols en vendant des matières premières directement aux acheteurs.
La Zambie crée une société de négoce de métaux en association avec Mercuria
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L’offensive économique des pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) en Afrique continue de s’accélérer, portée par une volonté stratégique de diversification au-delà des hydrocarbures et une reconnaissance du continent comme moteur clé de la croissance mondiale dans les décennies à venir. Des échanges commerciaux en pleine expansion En 2023, les échanges entre l’Afrique et les six monarchies pétrolières (Arabie saoudite, Oman, Koweït, Bahreïn, Émirats arabes unis, Qatar) ont atteint 121 milliards de dollars, soit plus du double des 57,7 milliards enregistrés en 2016, selon un rapport d’Afreximbank publié le 16 décembre 2024. Exportations africaines : de 28,3 milliards (2016) à 69,4 milliards (2023) Importations depuis le CCG : de 29,4 milliards à 51,5 milliards sur la même période Les principaux partenaires commerciaux sont des pays stratégiques comme l’Égypte, le Nigeria, le Maroc, le Kenya et l’Afrique du Sud, confirmant l’importance croissante de ces relations. Investissements directs : des montants record Entre 2012 et 2022, les pays du CCG ont investi plus de 100 milliards de dollars en Afrique, avec une nette domination des Émirats arabes unis (59,4 milliards), suivis de l’Arabie saoudite (25,6 milliards) et du Qatar (7,2 milliards). En 2023, pas moins de 73 projets d’investissements directs étrangers (IDE), cumulant 53 milliards de dollars, ont été annoncés. Ces initiatives se concentrent sur des secteurs à rendement élevé comme : - L’immobilier - L’agriculture dédiée à l’exportation Ces investissements sont souvent portés par des fonds souverains influents tels que le Public Investment Fund (Arabie saoudite) et des entreprises publiques comme Mubadala (Émirats arabes unis). Pourquoi l’Afrique ? Selon Afreximbank, cette ruée vers l’Afrique s’appuie sur plusieurs dynamiques prometteuses : - Une croissance démographique soutenue, avec une population prévue à 2,4 milliards d’ici 2050, majoritairement jeune et connectée. - Un PIB continental projeté à 14 000 milliards de dollars d’ici 2050, avec une croissance annuelle entre 4 % et 5 %. - De vastes ressources naturelles et des classes moyennes émergentes qui renforcent l’attractivité du continent. Un partenariat à suivre Cette intensification des relations Afrique-CCG reflète une vision à long terme : diversifier les économies du Golfe tout en participant activement à la transformation économique du continent. 👉 Quels secteurs d’avenir pourraient renforcer ce partenariat stratégique ? #Afrique #Golfe #Economie #Investissement #Commerce #Développement
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Les performances des banques africaines resteront solides en 2025 (Fitch Ratings) | Malgré des défis économiques persistants, les banques africaines devraient afficher des performances globalement solides en 2025. C’est ce qu’indique un récent rapport de Fitch Ratings publié le 11 décembre, soulignant une résilience remarquable dans un contexte opérationnel complexe marqué par l’inflation persistante et la montée de l’endettement public sur le continent. Les points clés à retenir : ✅ Solidité financière : Les établissements de crédit africains maintiendront des niveaux confortables de capitalisation, de financement et de liquidité, essentiels pour faire face aux incertitudes actuelles. ✅ Impact des taux d'intérêt : La baisse des taux d'intérêt prévue dans certains pays pourrait réduire les rendements des titres d'État, mais stimulera probablement la demande de crédit, renforçant ainsi la confiance des investisseurs et favorisant une reprise économique. ✅ Gestion des risques : Grâce à des bénéfices solides liés à des taux d’intérêt élevés et à une croissance soutenue des prêts, les banques devraient être en mesure de gérer les défis liés à la qualité des actifs et aux risques souverains. Les défis majeurs : Fitch Ratings met en garde contre les risques liés à la volatilité des prix des matières premières et au surendettement de nombreux États africains. Avec une note souveraine moyenne de « B » pour les pays notés par l’agence, le secteur bancaire reste exposé aux effets de contagion en cas de détérioration des finances publiques. Un avenir à surveiller : Malgré ces pressions, la combinaison de bénéfices robustes, d’une efficacité opérationnelle élevée et d’une diversification des revenus permettra aux banques africaines de maintenir leur résilience face aux aléas économiques locaux et internationaux. #Afrique #Banques #Economie #Finance
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Côte d’Ivoire et Cisco Systems : 200 000 jeunes formés aux compétences numériques d’ici 2030 La Côte d’Ivoire franchit une nouvelle étape dans son ambition de devenir un hub numérique en Afrique de l’Ouest. Le gouvernement ivoirien et la firme technologique américaine Cisco Systems ont signé une convention pour former 40 000 jeunes chaque année pendant 5 ans aux compétences numériques. Un partenariat stratégique - Formation ciblée : 200 000 jeunes bénéficieront de formations adaptées pour répondre aux besoins croissants en compétences numériques. - Objectif à long terme : Former dès 2025 4 500 ingénieurs et techniciens spécialisés chaque année, conformément à la Stratégie nationale de développement du numérique 2021-2025. Pourquoi est-ce important Avec une révolution technologique en cours, le marché du travail ivoirien évolue rapidement. Selon la Banque mondiale, 35 à 45% des emplois en Côte d’Ivoire nécessiteront des compétences numériques d’ici 2030, représentant environ 5 millions de postes. Un investissement pour la jeunesse Comme l’a souligné Jessica Davis Ba, ambassadrice des États-Unis en Côte d’Ivoire : « Ce partenariat est une promesse concrète pour l’avenir de la Côte d’Ivoire. Les USA souhaitent accompagner le pays dans sa transition numérique. » Le numérique : un levier pour la croissance économique Ce partenariat s’inscrit dans une dynamique continentale où la demande en compétences numériques ne cesse de croître, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités économiques. Quels secteurs pensez-vous tireront le plus profit de ces nouvelles compétences en Afrique ? #CôteDIvoire #Numérique #Formation #Afrique #Économie
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Tyme Group : la licorne fintech africaine accélère son expansion internationale | Le secteur des banques digitales en Afrique, porté par une demande croissante d’inclusion financière et l’essor des technologies mobiles, connaît une croissance rapide à l’échelle mondiale. Tyme Group, fintech africaine soutenue par le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe, s’impose comme un acteur clé grâce à une levée de fonds de 250 millions de dollars en série D. Les faits marquants : - Nouvelle valorisation : 1,5 milliard USD, consolidant le statut de licorne de Tyme. - Investissement majeur de Nubank (150 millions USD), néobanque brésilienne forte de 110 millions de clients en Amérique latine. - Partenariat stratégique pour renforcer les capacités de Tyme en marketing produit, gestion des risques et analyse des données. Un modèle inclusif et une expansion internationale ambitieuse : - En Afrique du Sud, TymeBank a conquis 10 millions de clients grâce à son offre accessible et à faible coût. - Aux Philippines, GoTyme Bank dépasse les 5 millions d’utilisateurs en seulement deux ans. - Tyme cible désormais l’Indonésie et le Vietnam, explorant même des acquisitions pour obtenir une licence bancaire locale. Pourquoi c’est important ? Avec 400 millions USD de dépôts et 600 millions USD de financements aux petites entreprises, Tyme mise sur un modèle inclusif adapté aux besoins des marchés émergents. Ce succès montre le potentiel de l’innovation africaine à transformer les services financiers mondiaux. Perspectives : Une introduction en bourse est envisagée d’ici 2028, soulignant les ambitions de Tyme pour devenir un leader des services bancaires digitaux en Afrique et en Asie du Sud-Est. #TymeGroup #Fintech #Afrique #Innovation #BanquesDigitales #InclusionFinancière #Expansion
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Santé mentale des fondateurs de start-up africaines : un défi silencieux, mais urgent Créer et diriger une start-up en Afrique est une aventure passionnante, mais souvent solitaire et éprouvante. Selon le rapport "Passion and Perseverance : Voices from the African Founder Journey" de Flourish Ventures, 86% des fondateurs africains de start-up déclarent faire face à des défis liés à leur bien-être mental. Les réalités du parcours entrepreneurial - 60% des fondateurs souffrent d’anxiété. - 52% d’entre eux traversent un burn-out. - Seulement 38% se réveillent reposés ou ressentent un calme régulier. Les principales sources de stress : 1️⃣ Difficultés d’accès aux financements (59%). 2️⃣ Incertitudes macroéconomiques, dont l’inflation (44%). 3️⃣ Sentiment de solitude et poids de la responsabilité (78%). Les défis spécifiques aux femmes entrepreneures - Déséquilibre entre vie pro et perso (53%). - Peur de l’échec (53%). - Sentiment de solitude (44%). Pourquoi ce sujet reste tabou - Moins de 25% des fondateurs se tournent vers un coach ou un thérapeute. - Seulement 14% se disent très ouverts à parler de leur stress. - Une perception négative persistante autour de la santé mentale freine les discussions ouvertes. Mécanismes d’adaptation : Pour gérer la pression - 59% des fondateurs privilégient le sport. - 49% trouvent du réconfort auprès de leurs proches. - 45% misent sur un sommeil réparateur. Une passion malgré tout Malgré les défis, 81% des fondateurs aiment ce qu’ils font et 64% déclarent qu’ils choisiraient de créer une nouvelle entreprise plutôt que de devenir salarié. Leçons pour les investisseurs et l’écosystème tech : - Prendre en compte le bien-être mental des entrepreneurs est essentiel pour assurer leur résilience et leur réussite. - Offrir des espaces de dialogue et de soutien peut faire la différence pour ces bâtisseurs d’avenir. Comment pouvons-nous normaliser la discussion autour de la santé mentale dans l’écosystème entrepreneurial africain ? Partagez vos idées. #SantéMentale #Entrepreneuriat #Afrique #Startups #Tech
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UEMOA : Les OPCI, un levier pour dynamiser le secteur immobilier régional | Les organismes de placement collectif immobilier (OPCI) représentent une solution prometteuse pour financer le secteur immobilier dans l’UEMOA. Actuellement, les fonds immobiliers cotés pèsent déjà 20% de la capitalisation boursière régionale, avec une croissance annuelle moyenne de 10%, selon l’APSGI-UEMOA. Les défis et les opportunités Lors de la 2e édition des "Rendez-vous de l’APSGI", les experts ont souligné : - Le besoin urgent d’un cadre réglementaire clair pour favoriser les investissements. - Le rôle crucial des marchés de capitaux pour offrir des financements longs adaptés à l’immobilier. - Une structuration de l’écosystème avec des acteurs spécialisés comme les gestionnaires d’actifs et évaluateurs. Exemple inspirant : le Maroc 🇲🇦 Depuis 2016, le royaume a mis en place un cadre favorable aux OPCI, atteignant 8,5 milliards USD d’actifs nets en 2023. Une feuille de route similaire pourrait transformer le secteur immobilier dans l’UEMOA, où le besoin de logements décents est estimé à 3,5 millions d’unités, avec un déficit croissant. Quelles solutions concrètes ? - Cadre fiscal harmonisé pour attirer les investisseurs. - Projets pilotes pour prouver l’efficacité des OPCI. - Une meilleure implication des marchés financiers pour répondre à la demande annuelle de 250 000 logements dans la région. Selon Jean-Bernard Eponou, DG de Kaydan Asset Management : « Le financement par les marchés de capitaux peut répondre efficacement aux besoins en logements, notamment en Côte d'Ivoire où la demande augmente de 10% par an. » Un potentiel inexploité à valoriser Avec une croissance régulière et un écosystème en plein développement, les OPCI peuvent redéfinir le paysage immobilier régional. Mais pour cela, l'harmonisation réglementaire, la confiance des investisseurs et des initiatives concrètes restent essentielles. #UEMOA #Immobilier #Investissement #OPCI #Afrique #Développement
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Adoption des cryptomonnaies : l’Afrique en tête du classement mondial | Le Nigeria et l’Afrique du Sud se démarquent comme des leaders mondiaux dans l’adoption des cryptomonnaies, selon le Global Survey on Crypto and Web3 2024, publié par ConsenSys et YouGov. Chiffres clés : - 73% des Nigérians possèdent ou ont déjà acheté des cryptos (1er mondial). - 68% en Afrique du Sud, positionnant le pays en 2e place. - Suivent les Philippines (54%), le Vietnam (54%) et l’Inde (52%). Pourquoi un tel engouement ? Dans les économies en développement, les cryptomonnaies servent souvent de bouclier contre l’inflation et de moyen de stockage de valeur. Ainsi : - 58% des Nigérians et 47% des Sud-Africains estiment que les cryptos représentent "l’avenir de l’argent". - Une tendance très différente des pays développés où cette perception reste faible (19% au Royaume-Uni, 17% en Allemagne). Les défis à relever : - Volatilité du marché (20%) et prévalence des escroqueries (17%). - Manque de compréhension et difficultés à débuter freinent encore l’adoption dans certaines régions. 📌 L’Afrique en pointe sur les cryptomonnaies : Ces chiffres démontrent le potentiel des actifs numériques sur le continent pour répondre aux défis économiques et monétaires. Toutefois, pour un développement durable, il est essentiel d’apporter des solutions en matière de régulation, d’éducation financière et de sécurité des transactions. Quel rôle les cryptomonnaies peuvent-elles jouer dans la transformation économique de l'Afrique ? #Cryptomonnaies #Blockchain #Nigeria #AfriqueDuSud #Afrique #Innovation #Fintech